Afinde venir à bout de ce puzzle, il vous faudra marcher sur les plaques de pression. Chaque plaque bouge une partie différente des étoiles au mur. Puisqu’il vous faut reproduire le modèle au sol, procédez comme suit : marchez 1 fois sur la plaque devant vous, 2 fois à droite, 3 fois au fond (près du mur étoilé) et 2 fois à gauche.

Il peut arriver qu’un compte bancaire soit fermé par la banque. En effet, la banque a le droit de clôturer un compte bancaire sans avoir à se justifier, en respectant cependant un préavis de deux mois. Que faire en cas de compte bancaire fermé par la banque ? Comment rouvrir un compte bancaire ? ► Notre comparatif de banque en ligne Compte bancaire fermé par la banque dans quels cas ? Clôture avec préavis de deux mois sans justification Les clients comme la banque peuvent décider de fermer un compte bancaire. Le client a en effet le droit de clôturer son compte sans se justifier, quand il le souhaite, gratuitement et sans préavis, afin de changer de banque. La banque possède toutefois un droit similaire. Elle peut ainsi décider de clôturer le compte bancaire d’un client sans avoir à se justifier, mais doit obligatoirement prévenir le client et respecter un préavis de deux mois. Généralement, la banque envoie un courrier postal, avec ou sans accusé de réception, ou un mail. Il est donc important que le consommateur ait prévenu son banquier en cas de déménagement, sous peine de ne pas recevoir ce courrier et d’ignorer que son compte bancaire va être fermé. Note la banque a une obligation d’envoi du courrier, mais pas de réception. Si le client ne reçoit pas le courrier, quelle qu’en soit la raison, la banque ne peut être tenue pour responsable. Les conditions de clôture du compte se trouvent dans les conditions générales de la convention de compte courant, que le client peut retrouver dans son espace client. Une fois le compte bancaire fermé par la banque, celle-ci doit rembourser au prorata la cotisation éventuellement déjà payée par le client. Bon à savoir la banque doit exceptionnellement justifier la raison du compte bancaire fermé dans le cas où celui-ci a été ouvert dans le cadre du droit au compte. Clôture sans préavis en cas de conduite répréhensible du client » Il existe toutefois un cas de figure où un compte bancaire peut être fermé sans préavis en cas de conduite répréhensible du client ». La banque doit toujours prévenir le consommateur, mais elle n’a pas besoin de respecter le préavis de deux mois. Les conditions générales ne sont cependant souvent pas plus précises. Difficile, alors, de déterminer exactement à quoi correspond cette conduite répréhensible. Il s’agit le plus souvent de cas où le client enchaîne les incidents de paiements et les dépassements de découvert, mais aussi de soupçons de fraude ou parce que le consommateur a communiqué de fausses informations, sur son patrimoine par exemple. Les conditions générales peuvent varier en fonction de la banque. Compte bancaire fermé par la banque ce que devient l’argent Une fois le préavis écoulé, le compte bancaire est définitivement fermé par la banque. Le client doit auparavant rendre ou détruire ses moyens de paiement, à savoir sa carte bancaire et son chéquier. Que se passe-t-il ensuite ? Il faut distinguer deux situations pour un compte bancaire fermé Le solde du compte bancaire est créditeur, c’est-à-dire qu’il est positif, lors de la clôture. Dans ce cas, la banque doit restituer les fonds le plus rapidement possible, souvent par virement bancaire, parfois par chèque. Le solde du compte bancaire fermé est débiteur, c’est-à-dire négatif. Le client doit alors absolument renflouer le compte avant sa clôture. Sinon, des incidents de paiements pourront survenir et des frais supplémentaires être facturés par la banque. Par exemple, en cas de chèque sans provision, le client pourra même être déclaré interdit bancaire. Il est important, lorsque le compte bancaire est fermé par la banque, que le client s’assure qu’aucun paiement ou chèque ne se présentera plus sur son compte. Cela pourrait également entraîner des incidents de paiement. La banque est toutefois dans l’obligation de prévenir le client si une transaction se présente sur le compte dans les treize mois suivant la clôture. Si la banque a précipité la clôture sans préavis, et que des opérations entraînant des incidents de paiement se présentent sur le compte parce que le client n’a pas eu le temps de les transférer, celui-ci peut demander à ne payer aucuns frais liés à ces incidents, ou à être remboursé. Le cas d’un compte bancaire inactif fermé par la banque Un compte bancaire inactif est considéré comme tel si aucune opération, débitrice comme créditrice, n’a été enregistrée pendant un an, et si le client ne s’est pas manifesté. Dans ce cas, la banque peut facturer des frais bancaires de 30€ par an. Au bout de 10 ans d’inactivité, les fonds du compte sont transférés à la Caisse des dépôts et consignations CDC, où ils seront conservés 20 ans. Les clients peuvent réaliser une recherche sur le site ciclade pour vérifier qu’ils ne possèdent aucun compte fermé par la banque et dont les fonds ont été transférés au CDC. Comment rouvrir un compte bancaire ? Une fois un compte bancaire fermé par la banque, le client doit en rouvrir un autre. En effet, posséder un compte est indispensable dans la vie quotidienne, pour recevoir son salaire et réaliser des transactions comme le simple paiement du loyer. La facilité, ou non, d’ouvrir un compte bancaire dépend de la raison pour laquelle l’ancien a été fermé par la banque. De plus, que le compte bancaire soit fermé par la banque peut être l’occasion de changer de banque pour une offre moins chère, et plus adaptée. Toutes les étapes 1- Choisir sa banque La première chose est de choisir sa banque. Le préavis n’étant que de deux mois, il faut faire vite. Nous conseillons notamment d’opter pour une banque en ligne, qui permet de posséder un compte bancaire gratuit. Retrouvez ci-dessous notre sélection des meilleures banques Ouvrir un compte en ligne est aussi plus rapide qu’en agence, car le client n’a pas besoin de prendre rendez-vous et que la signature est électronique. 2- Remplir le formulaire de souscription Il faudra, pour rouvrir un compte bancaire après que le sien ait été fermé par la banque, remplir le formulaire de souscription de la nouvelle banque et télécharger ses pièces justificatives pièce d’identité, justificatif de domicile…. La banque vérifiera ensuite toutes les informations avant de faire parvenir les codes de connexion et les moyens de paiement. 3- Transférer les opérations bancaires Le plus complexe, dans le cas d’un compte bancaire fermé par la banque, est de réaliser les démarches suffisamment vite. Or, changer de banque peut prendre du temps. Une fois le compte ouvert, il faudra notamment transférer toutes les opérations de l’ancien compte au nouveau. Le client a alors deux choix Transmettre soi-même le nouveau RIB à tous les organismes concernés. C’est la solution la plus chronophage pour le client, mais aussi la plus rapide. Faire appel à la mobilité bancaire. Il suffit de signer le mandat de mobilité bancaire case à cocher dans le formulaire de souscription et transmettre son RIB à la nouvelle banque. Celle-ci le transmettra elle-même aux organismes. Que faire si la banque refuse l’ouverture de compte ? Un compte bancaire fermé peut l’être pour de nombreuses raisons découvert bancaire régulier, interdiction bancaire… si bien que dans certains cas, notamment si le client est interdit bancaire, la nouvelle banque refusera l’ouverture de compte. Tout comme un compte bancaire, individuel ou joint, peut être fermé par la banque sans raison, la banque a le droit de refuser l’ouverture d’un compte sans se justifier. Dans ce cas, le client peut réaliser des demandes auprès d’autres banques en espérant être accepté. Il peut aussi demander à la banque une lettre de refus qu’il pourra transmettre à la Banque de France, qui mandatera un établissement bancaire pour que celui-ci lui ouvre un compte. En effet, selon la loi Française, tout résident en France doit pouvoir détenir un compte bancaire. L’alternative en cas de refus Toutefois, le client peut ne pas être satisfait de l’établissement choisi par la Banque de France. De plus, au bout de deux ou trois mois, le compte bancaire peut à nouveau être fermé par la banque… Les clients se trouvant dans cette situation peuvent se tourner vers un compte sans banque comme N26. Il s’agit d’une offre spécifique, sans chéquier ni découvert autorisé. Elle permet cependant à tout le monde, même aux interdits bancaires, de posséder un compte avec carte MasterCard. De plus, ce compte est gratuit. ► Découvrir l’offre de N26 Note N26 propose aussi un compte bancaire multidevises. Rédigé par Claire KrustLe 01/11/2019Modifié le 04/05/2022
Cétait fini. Quelques heures après, Arsène Lupin, aidé de son compagnon, opéra le dépouillement des portefeuilles. Il n’éprouva aucune déception, l’ayant prévu, à constater que la fortune des Imbert n’avait pas l’importance qu’on lui attribuait. Les millions ne se comptaient pas par centaines, ni même par dizaines.

CopiéDans "Hondelatte Raconte", retour sur une affaire criminelle de 2009 alors que tout semble indiquer qu'un cambriolage a mal tourné chez un couple de notables du Morbihan, plusieurs éléments conduisent les gendarmes sur une autre Hondelatte revient lundi sur une affaire judiciaire qui a secoué Grand-Champ, une petite commune du Morbihan, en avril 2009. Un couple âgé, Anne-Marie Le Couviour et Eugène Le Couviour, sont cambriolés en pleine nuit. Anne-Marie Le Couviour décède, car étouffée par le bâillon qui lui entourait le cambriolage à l'issue tragique. Dans la nuit du 9 au 10 avril 2009, Anne-Marie Le Couviour, 75 ans, est réveillée par un grand bruit. Elle se lève, en compagnie de son mari, Eugène Le Couviour, âgé lui de 90 ans, pour voir ce qui se passe. Les deux époux tombent alors nez à nez avec deux hommes cagoulés. Ils bâillonnent immédiatement le vieux couple et réclament la cachette du coffre. Après dix minutes, sans trouver de coffre puisqu'il n'y en a pas, les deux hommes repartent bredouille. Eugène Le Couviour arrive à se dégager de ses liens, se dirige vers sa femme pour la libérer, mais cette dernière est inanimée. Et pour cause. Les deux cambrioleurs ont entièrement recouvert son visage de scotch. Impossible pour elle de respirer dans ces conditions Anne-Marie Le Couviour est morte cambriolage n'a pas lieu chez n'importe qui. Eugène Le Couviour est une personnalité connue dans ce coin du Morbihan. Ancien maire de Pluvigner, ancien conseiller général et régional, il était aussi un homme d'affaires averti, patron d'une usine de lits médicalisés, revendue pour une petite fortune il y a quelques bouts de scotchs. Quand les gendarmes arrivent, ils remarquent immédiatement que quelque chose ne va pas. Les cambrioleurs masqués ont bien subtilisé quelques bijoux en évidence, mais c'est tout. Tableaux, bijoux rangés et autre argent liquide sont toujours là. Plus étrange encore, le traitement des époux Le Couviour. Anne-Marie a eu un traitement particulier 21 bouts de scotchs lui entouraient le visage, les liens qui lui retenaient les mains ont creusé sa peau, alors qu'Eugène Le Couviour a seulement quelques marques autour des poignets. Est-ce que le véritable objectif de ce cambriolage n'était pas plutôt Anne-Marie Le Couviour ? S'il s’agissait, en réalité, d'un assassinat ?Au lendemain du crime, les gendarmes constatent aussi que la famille est divisée. Anne-Marie Le Couviour et Eugène Le Couviour se sont remariés en seconde noce et les enfants de l'un et de l'autre ne se supportent pas. Après la vente de son usine, Eugène Le Couviour a procédé à un partage 18 millions pour chacun de ses trois enfants. Les enfants d'Anne-Marie, eux, n'ont rien obtenu. Et dans le salon où leur mère a trouvé la mort, ils n'en démordent pas ce sont les enfants d'Eugène qui ont fait le coup, ils en sont persuadés."S'occuper de madame mais pas de monsieur". L'affaire connaît un rebondissement important, deux jours seulement après la mort d'Anne-Marie Le Couviour. Un gendarme reçoit les confidences d'un homme un ami à lui, Wenceslas Le Cerf, lui a confié qu'un contrat pour "rayer une femme" lui avait été proposé. Il a accepté et a fait le coup avec un certain "Guénolé". Ce témoin clé raconte des détails que seuls les enquêteurs peuvent connaître, il sait tout du meurtre. Alors Wenceslas Le Cerf est arrêté immédiatement. Il avoue tout. On lui a proposé euros pour "s'occuper de madame mais pas de monsieur", et faire passer ça pour un cambriolage. Il a enrôle Guénolé Madé pour faire le coup. La commanditaire serait une femme, qui serait passée par un jardinier du nom de quelques recherches, les gendarmes tombent sur le fameux Loïc, qui n'est autre que le jardinier de... Jean-Jacques et Josiane Le Couviour le fils et la belle-fille d’Eugène. Le jardinier est arrêté, tout comme le couple, et c'est lui qui craque le premier. Sa patronne lui a bien demandé d'éliminer Anne-Marie Le Couviour. En garde-à-vue, cette dernière avoue en partie. Elle reconnaît avoir commandité le cambriolage, mais pas l'assassinat elle voulait seulement récupérer le testament de son beau-père. Quant à Jean-Jacques Le Couviour, le fils d'Eugène, il semble tomber des nues. En réalité, il n'était au courant de rien et découvre, en même temps que les gendarmes, que sa femme est sans doute la commanditaire de l'assassinat d'Anne-Marie Le Couviour. C'est pour des raisons d’héritage, de peur qu'Anne-Marie Le Couviour ne capte l'héritage au profit des enfants d'Eugène en cas de décès de ce dernier, que la belle-fille serait passée à l' procès en assisses, Josiane Le Couviour va maintenir sa version elle a commandité un cambriolage, pas un assassinat, ce n'est pas ce qu'elle voulait. Une ligne derrière laquelle vont finir par se ranger les trois autres accusés Loïc Dugué, Wenceslas Le Cerf et Guénolé Madé malgré leurs aveux précédents. Même lors du procès en appel, malgré des excuses répétées, Josiane Le Couviour ne changera pas de version. Il s'agit seulement d'un cambriolage qui a mal tourné. Si, comme dans le premier procès et lors de l'appel, l'assassinat n'est pas retenu, les peines restent lourdes 20 ans pour Wenceslas Lecerf, 15 ans pour Guénolé Madé, 9 ans pour Loïc Dugué et 16 ans pour Josiane Le Couviour. Comme si les jurés avaient voulu dire "nous n'avons pas la preuve irréfutable de l'assassinat, mais nous en avons l'intime conviction."

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Paroles de la chanson Elle et l'autre par Jul J’aime celle qui sent bon, qui sort d’la douche Pas celle qui m’gratte, qui sent d’la bouche J’l’aime naturelle, sans rouge à lèvre J’aime quand son boule me donne la fièvre Elle s’met en valeur pour qu’elle ait l’air jeune L’autre à cent ans, elle m’dit qu’elle est vierge Elle s’entretient, elle va cavaler L’autre reste au tieks, préfère parler Elle pleure quand son copain la quitte L’autre non, elle préfère le T-Max kitté Elle boit pas, elle fume pas L’autre non, c’est l’alcool et le shit J’vais la charger, j’vais vers les Gouttes L’autre elle veut pas, elle préfère le hood Elle, la galère elle veut pas la voir L’autre tue sa vie dans les parloirs Elle, a fini aux bords des larmes L’autre, s’est sentie abandonnée Elle, c’est la beauté qui fait son charme L’autre, c’est tout c’qu’elle peut donner Pour elle sortir le soir c’est pas permis L’autre est venue franco sans permis Elle y’a Papa qui tient la poussette L’autre c’est elle-même qui paye ses dettes Elle, elle a son daron L’autre galère pour avoir un garant Elle, elle coffre pour Miami L’autre a pas respecté son préavis Pour elle tout va bien en c’moment L’autre est retournée chez Maman Elle sort à l’occasion, Fiat 500 location L’autre aime trop les bastons Mais elle a l’bracelet mon garçon Elle aime trop se faire belle, Alice au Pays des Merveilles L’autre en a rien à foutre, souvent jogging énervé Elle a la boco, elle mérite des baffes L’autre a les crocs, elle sort d’la masse Elle askip elle raconte sa life, elle raconte sa life Elle, a fini aux bords des larmes L’autre, s’est sentie abandonnée Elle, c’est la beauté qui fait son charme L’autre, c’est tout c’qu’elle peut donner Elle, a fini aux bords des larmes L’autre, s’est sentie abandonnée Elle, c’est la beauté qui fait son charme L’autre, c’est tout c’qu’elle peut donner Elle, a fini aux bords des larmes L’autre, s’est sentie abandonnée
Étape1 - Elle va finir par se faire coffrer Le capitaine Gladis vous a confié une mission de la plus haute importance : escorter une jeune recrue en Enutrosor et l'aider à s'aguerrir en affrontant NurPhoto via Getty Images Des femmes de policiers manifestent le 16 août 2019 à Toulouse, Paris et Lille pour protester contre le "mépris" selon elles du Ministère de l'Intérieur, notamment face aux suicides en hausse dans la police. 47 policiers se sont suicidés depuis le 1er janvier 2019. NurPhoto via Getty Images Cela fait une dizaine d’années que je suis entré dans la police. J’ai toujours été affecté en Île-de-France, dans des quartiers épargnés par les violences urbaines. Ce que j’ai toujours eu envie de faire faire, c’est de l’investigation. J’ai voulu devenir policier parce que j’avais envie d’être utile aux autres. J’ai été scout dans mon enfance, mon père a été scout toute sa vie. Et dans la loi scout, le plus fort protège le plus faible. Je me suis donc dit que si j’avais une certaine force d’esprit, je devais la mettre au service des autres. À l’époque où j’ai commencé dans la police, les commissaires étaient des flics, pas des super-DRH ou des gestionnaires d’entreprise. Quand on faisait une connerie, eh bien on se faisait engueuler. Et quand il y avait des dossiers qui n’avançaient pas, on nous demandait pourquoi et on le justifiait. C’était des commissaires qui savaient récompenser par un écrit dans le dossier individuel, une petite lettre de félicitations quand on avait sorti une belle affaire. Ça ne mangeait pas de pain quoi. Je ne suis plus qu’un gratte-papier. On ne me demande presque plus de faire mon métier, mais on me demande de faire du chiffre, et de la quantité. Je n’ai pas connu au début de ma carrière ce que l’on appelle la politique du chiffre. C’est venu bien après. Depuis que je suis en commissariat, je suis en unité judiciaire de proximité, où je fais ce que beaucoup appellent injustement “le petit judiciaire”. Rien de passionnant, mais je fais mon travail. Il faut aller très vite, avec des journées de prise de plainte, le portefeuille de dossier. Je m’y suis mis à fond. Il y a des victimes derrière qui comptent sur nous… Mon travail, c’est d’être fonctionnaire de police. Il y a beaucoup de collègues qui ne sont plus que fonctionnaires, moi je suis policier. Je réalise que je fais un métier par passion, mais que je ne suis plus qu’un gratte-papier. On ne me demande presque plus de faire mon métier, mais on me demande de faire du chiffre, et de la quantité. On est dans l’improvisation. Ça n’a plus aucun sens, mais au moins on a de bons chiffres et l’administration est contente. Sauf que nous, on n’est pas comme Peugeot on n’a rien à vendre. On doit assurer la sécurité des biens et des personnes, et ça c’est une mission gratuite, une mission régalienne. On a une obligation morale de résultats, mais on ne produit pas de valeur ajoutée, on n’est pas en concurrence, on ne doit pas faire de profit. On est un service public. C’est un métier qui m’a esquinté. Et pourtant, c’est un métier que j’aimais profondément. Tous les policiers sont d’accord pour vous dire qu’ils aiment ce métier et l’institution, mais qu’ils détestent l’administration. En 2018, j’ai fait un burn-out. À un moment, tout lâche. Je suis arrivé au travail et je me suis mis à trembler comme une feuille. Je suis monté dans le bureau du patron et je me suis mis à pleurer. J’ai été désarmé immédiatement, puis mon médecin m’a arrêté pour deux mois et demi. J’ai demandé l’aide d’une psychologue de la police pour préparer une reprise douce, et je suis revenu au bureau, reposé certes, mais sous médicaments. Et quand je suis revenu, j’ai eu l’impression de le payer. Des collègues m’ont fait passer pour un branleur dans mon dos, évidemment alors que je suis passionné par mon métier et que j’ai toujours tout fait pour ne pas donner une image négative. De toute façon, il n’y a jamais de bon moment pour se faire arrêter plusieurs semaines. Ça aura forcément un impact sur le groupe, notamment pour les congés. Quand on y regarde bien, en début d’année il y a les vacances de février, puis les vacances de printemps, le week-end de Pâques, les ponts du mois de mai, les deux mois d’été, la rentrée scolaire, la Toussaint, les vacances de Noël. Si on attend le bon moment pour s’arrêter, il n’arrivera de toute façon pas. J’ai eu beaucoup de mal à me remettre de tout cela. Peut-être que la dépression couvait déjà, et que je n’ai pas correctement été diagnostiqué. Je n’en ai aucune idée. Il a fallu faire avec les piques et les attaques de certains collègues, puis avec le sentiment que rien n’avance. Faire du boulot débile, qui n’a plus aucun sens. Et au bout d’un moment, vous commencez à penser à la mort. J’ai finalement été ré-armé, puis j’ai à nouveau été arrêté il y quelques mois. Ça avait repris quelques semaines plus tôt. On me reprochait des retards le matin parce que j’emmenais mes enfants à l’école. J’ai fini par me rendre en uniforme au travail, chose que je ne faisais jamais, pour ne pas avoir à aller au vestiaire et ne pas perdre de temps. Je me retrouvais à arriver à 7h30 pour une prise de service à 8h30 tellement j’avais peur de cette pression. Et là, j’étais tout seul dans le bureau, à pleurer en attendant les autres. On cogite énormément... J’arrivais en pleurant le matin au travail, je pleurais le soir en rentrant à la maison. Et le dimanche après-midi, je ne vous raconte même pas j’en étais au point d’aller me coucher, de dormir pour échapper à ce sentiment terrible qui vous saisit avant la reprise du lundi. C’est quelque chose de profond, où vous sentez votre énergie qui vous lâche complètement. Ce n’est pas un manque de sommeil, c’est plutôt l’inverse. À partir du moment où vous mettez la tête sur l’oreiller, vous sombrez dans le coma. Le matin quand vous vous réveillez, au lieu de vous souvenir quelques instants d’un rêve amusant ou au pire d’un cauchemar, il n’y a rien du tout. Quand vous vous couchez le soir, vous êtes anesthésié, et quand vous vous levez le matin -parce que vous êtes obligé de vous lever-, vous êtes tiré de votre sommeil profond par votre réveil. Vous avez des maux de tête incroyables, la nausée, et puis déjà l’envie de pleurer. Dès le réveil. C’est difficile. Il a fallu faire avec les piques et les attaques de certains collègues, puis avec le sentiment que rien n’avance. Faire du boulot débile, qui n’a plus aucun sens. Et au bout d’un moment, vous commencez à penser à la mort. Ça ne m’est arrivé qu’une seule fois, comme un flash. C’était un mardi, et j’étais rentré la veille de vacances. J’avais déjà été désarmé. Je ne me disais absolument pas “Je vais en finir et ce sera terminé”. C’était plutôt “Ceux qui se flinguent ont raison, parce que là j’ai une vie de merde…” C’est une pensée qui ne dure qu’une fraction de seconde. Et à ce moment-là, j’ai réalisé que quelque chose n’allait pas. Qu’il était temps d’arrêter. Et je me suis dit “Demain je vais chez le médecin, et je vais tout lui raconter.” Ce flash m’est arrivé, puis je l’ai oublié. Mais fort heureusement, je m’en suis arrêté là. Parce qu’ensuite l’idée revient. Ça fait quand même des mois que je me remets en question, que je me repasse le film, et que je me dis “Ah ouais, quand même…” On s’est engueulés avec ma femme au mois de juin, et dans la colère je lui ai avoué que j’avais pensé à la mort. Et que si je l’avais fait je me serais mis une balle dans le cœur pour ne pas être défiguré. Le projet suicidaire non, mais l’idée de la mort, je suis convaincu qu’on finit par y penser… Quand j’ai été arrêté à nouveau, des collèges m’ont avoué qu’ils m’avaient vu mort. Une collègue m’a dit “Heureusement que tu t’arrêtes, j’ai cru que tu allais grossir le compteur de la honte.” Maintenant je peux le dire heureusement que ma hiérarchie était là. Quand ils ont vu que je n’allais pas bien, ils ont pris les devants et ont demandé à ce que je vois le médecin du travail. Il m’a dit que j’étais en rechute complète, qu’il me mettait en arrêt un mois, le temps que je vois le psychiatre de la police. Quand j’ai été arrêté à nouveau, des collèges m’ont avoué qu’ils m’avaient vu mort. Une collègue m’a dit “Heureusement que tu t’arrêtes, j’ai cru que tu allais grossir le compteur de la honte.” Ma femme a eu très peur aussi. Quand le médecin m’a mis en inaptitude pendant un mois, elle m’a dit qu’elle était soulagée. Mes parents étaient soulagés. Ils me l’ont dit pourtant, que je devais m’arrêter. Tout le monde me l’a dit. Mais je n’écoutais personne. Pourquoi je vous raconte mon histoire? Parce que ça me fait du bien d’en parler, déjà. Et puis parce qu’il faut que les collèges réalisent que ce n’est pas une fatalité d’aller mal dans la police. Même si on a une étiquette de branleur, on fait avec, ce n’est rien. On a le droit de ne pas aller bien. On ne se met pas en arrêt volontairement. C’est un médecin de l’administration qui décrète une inaptitude et qui nous prescrit un arrêt de travail. Le désarmement, l’inaptitude ne sont que temporaires, le temps de se soigner. Ma femme s’inquiète tous les jours pour moi. Il y a des jours où elle me voit et où je ne suis pas bien, elle est totalement désemparée. Mes parents, c’est la même chose. Ils prennent régulièrement des nouvelles et voient quand ça ne va pas. Je n’ai de toute façon jamais rien su cacher. Quand quelque chose ne va pas chez moi, mes proches le savent tout de suite. Mes parents, ma femme me voyaient totalement épuisé, en train de dépérir. Ils m’ont vu sombrer. Il y a quelques mois, je suis rentré à la maison armé. J’ai un coffre-fort dans lequel je rangeais mon arme, mais pas seulement. Un soir où ça n’allait pas spécialement, j’ai eu besoin de quelque chose dans ce coffre. En entendant les bip de la serrure électronique, ma femme a déboulé à une vitesse incroyable en pensant que j’allais faire une connerie. Ma famille a eu très peur pour moi. Les deux-trois premiers mois d’arrêt, je ne voulais plus entendre parler de la police. Rien que d’entendre un deux-tons, ça me foutait des angoisses. Les médicaments que je prends ont des effets secondaires très fatigants, ils sont usants pour le moral. Mais ça va mieux que depuis mon arrêt, malgré des moments de profonde mélancolie ou d’angoisse. Je m’occupe de mes enfants, je les vois grandir. Je prends soin de ma petite femme. Je m’occupe de moi aussi, je fais de la peinture, j’écris, je lis, j’essaie de rencontrer du monde. J’essaye de me sortir de tout ça. Aujourd’hui, je ne me sens absolument pas prêt à reprendre le travail, ça m’angoisse. Depuis mon arrêt maladie, on a augmenté quatre ou cinq fois mon traitement en antidépresseurs. Et il a fallu que je change de psy, donc je vais devoir remettre des choses en place. Je vais chercher une reconversion, et je pense que j’ai absolument besoin de faire autre chose. J’ai appris qu’un poste m’attend quand je reviendrai. Mais je le perçois comme une mise au placard. Il n’a rien à voir avec mes aspirations professionnelles. Bah oui, que voulez-vous faire d’un flic dépressif? C’est un flic qui ne sera pas armé, qui ne sera pas complètement opérationnel et il va se passer des longs mois avant qu’il se reconstruise pleinement. Et puis il y a le manque de considération, le manque de reconnaissance ou plus exactement l’absence de reconnaissance… Mais tout cela aura été un mal nécessaire, et surtout salvateur. Le jour où je suis parti en arrêt maladie, ma hiérarchie m’a reçu. Quand j’ai évoqué un projet de reconversion dans la boîte, on ne m’a pas spécialement encouragé dans ce sens, j’ai plutôt ressenti l’inverse. Je suis rentré en larmes à la maison, et je suis allé voir mon médecin en racontant qu’on m’avait dit que j’étais quelqu’un de faible. Encore aujourd’hui, ma femme me répète sans arrêt que je ne suis pas quelqu’un de faible, mais que je suis quelqu’un de malade. Il me faut du temps pour l’accepter. Et il y a encore des jours où je me dis que je ne suis plus bon à rien. La marche du 2 octobre, c’est une noble cause. Une très noble cause. Mais je suis beaucoup plus circonspect sur les effets qui suivront. La ligne verte SOS suicide pour les policiers, c’est très bien par exemple. Mais le fond du problème n’est pas traité. Si quelqu’un a des douleurs à cause d’un cancer, s’en occuper avec des anti-douleurs c’est bien, mais le fond du problème n’est pas traité. Il faudrait repenser totalement le fonctionnement au sein de la police, se pencher sur les problèmes de management, sur la politique du chiffre qui pousse les gens à faire des conneries, qui finissent pas se mettre en danger. Est-ce que cette marche changera les choses? Je ne sais pas. Il faudrait repenser totalement le fonctionnement au sein de la police, se pencher sur les problèmes de management, sur la politique du chiffre qui pousse les gens à faire des conneries, qui finissent pas se mettre en danger. Aujourd’hui, il faut qu’il y ait une réelle information sur ce qu’est la dépression, sur le burn-out, sur ce que sont ces pathologies. Et ce dès la formation initiale. Ce mal n’arrive pas qu’aux autres. Avec le métier que nous avons, de plus en plus difficile, en totale perte de sens, face à la montée de l’animosité vis-à-vis du métier, nous sommes tous concernés. Il ne faut surtout pas que les agents de nos forces de sécurité se demandent pour quoi ils vont passer s’ils admettent qu’il ne vont pas bien. Je suis marié, j’ai une femme qui est extraordinaire, on a des enfants, on est propriétaires de notre maison, jusqu’ici on n’a pas de problèmes d’argent, on a mes parents juste à côté par rapport à des collègues qui sont loin de leur famille… Ma vie privée va parfaitement bien. Elle n’est pas idyllique, mais elle est harmonieuse. Dans mon cas, c’était uniquement le boulot qui n’allait pas. La police, ce sont des hommes et des femmes. Derrière les uniformes, derrière les cartes de police, ce ne sont pas des machines. Quand un effectif ne va pas bien, il faut l’inciter à parler et que le N+1 n’hésite pas à rendre compte dès les premiers signes. Les policiers doivent entretenir une cohésion solide au sein d’un groupe. Et puis nous avons la chance d’avoir des psychologues qui peuvent nous recevoir de façon anonyme. Il faut que les collègues comprennent que leur chef de service ne sera pas informé sauf péril concernant le fonctionnaire. Il faut aussi que la hiérarchie agisse immédiatement, dès les premiers signes. Peut-être que d’assigner un psychologue dans chaque service serait une bonne chose. À voir également sur Le HuffPost
Henryest démangé par cette angoissante envie de voir ce fameu coffre.Il va voir tout seul le coffre dans une obscurité inquiétante.Quand il ouvre le coffre, il regarde dedant, se pose des questions, se rappelle de bons souvenirs, il regarde autour de lui pour voir si il n'est point observé et il se couche dans le coffre pour ensuite le refermer.Quelque minutes après, les
Cette usine permettra de transformer toutes les buches que vous y mettez en charbon de bois. Toutes les 8 buches nombre maximal d'item pouvant être cuit par un charbon, vous recevrez 7 charbons de la part de la machine qui en gardera un pour elle afin de ne pas avoir à la réapprovisionner manuellement h24. 1 coffre 1 coffre-piégé Les nouvelles versions permettent de placer 2 coffre du même type côte côte, mais je préconise le coffre piégé afin de pouvoir récupérer le contenu en cas d'erreur 50 entonnoirs 14 droppers 18 comparateurs 11 répéteurs 21 torche de redstone 53 poudre de redstone 8 fours 87 blocs comprend les supports redstone Nous aurons également besoin de 8 charbons pour initialiser la machine, la machine garde pour elle 65 charbons par fours pour fonctionner, pour éviter d'attendre qu'elle s'initialise vous pouvez démarrer avec 520 charbon de bois. Une fois les 520 charbons de bois dans la machine, elle vous produira 7 charbons de bois pour 8 bûches elle en garde un pour elle. 1 Input et Répartition équitable du bois a. On va d'abord placer le coffre piégé qui nous servira d'Input, à partir de ce coffre on va placer une ligne de 9 entonnoirs, le premier sous le coffre piégé et partant vers l'arrière, le bois dans le coffre sera aspiré pour être emmené tout à la fin. b. Sous les 8 derniers entonnoirs nous allons en replacer 8 se dirigeant dans un bloc placé sur le côté. Au bout de ses 8 entonnoirs nous allons placer un bloc support pour y poser un comparateur qui compare le dernier entonnoir de la ligne du dessus et qui va alimenter un bloc sur lequel vous aurez une torche de redstone sur le côté par rapport au comparateur, cette torche alimentera un répéteur se trouvant à côté du comparateur et alimentant une ligne de redstone posé sur les blocs qui alimenteront les entonnoirs à côté. c. Encore en dessous nous allons placer une autre ligne de 8 entonnoirs visant dessous, votre répartiteur d'items est techniquement terminé. Le fonctionnement est le suivant, le bois ou tout items que vous ferez passer dedans vont aller un par un jusqu'au bout et ne pourrons pas être aspirer par les entonnoirs du dessous car ils sont alimentés, quand le premier item de la file arrive au bout il sera comparé et les entonnoirs du dessous seront déverrouillés, comme les items se déplace un par un dans les entonnoirs vous aurez donc un items par entonnoirs qui se retrouveront dans la ligne du dessous et le système se reverrouille jusqu'aux prochains. Comme les entonnoirs du milieu sont verrouiller ils ne pourront pas libérer leurs contenus, la 3ème ligne d'entonnoirs vient donc les aspirer pour ensuite les redistribuer. 2 Le Coeur de la machine a. Nous allons placer nos 8 fours sous notre répartiteur d'items. On va partir du principe que l'avant des fours se trouve sous la ligne de redstone du répartiteur c'est pour la compréhension, le sens n'a pas d'importance technique. Sous nos fours nous allons placer des entonnoirs, visant vers l'arrière des fours, Ils alimenteront des droppers, visant vers le haut où se trouvera un entonnoirs, qui lui alimentera le four par l'arrière. b. Nous allons placer une ligne de bloc le long des droppers, puis décaler encore de 1 vers l'arrière et vers le bas et faire une plate-forme de 3 x 9 qui nous servira de support redstone le long de la machine. Nous allons comparer nos droppers au travers des blocs, répéter le signal et l'allonger avec la poudre jusqu'à arriver à côté du premier répéteur, nous continuons en plaçant un répéteur à côté du premier comparateur. Nous allons prolonger le signal de 1 à la même hauteur, puis le faire monter d'un étage pour pouvoir le faire courir au dessus des entonnoirs alimentant les fours par l'arrière. c. Nous allons comparer les entonnoirs alimentant les fours par l'arrière, les comparateurs alimenteront une ligne de blocs éteignants des torches de redstone se trouvant de l'autre côté des blocs. Au dessus de ces torches nous placerons une autre ligne de blocs avec de la poudre dessus, à l'arrière de la machine, nous allons descendre notre signal de 1 étage pour le prolonger de 1 vers les fours, pour éteindre une torche de redstone qui se trouvera à côté des comparateurs. d. Nous allons placer un bloc, 2 étage sous la torche que vous venez de placer, afin d'y mettre de la poudre. Placez une ligne de blocs 2 étages sous vos droppers et faites la rejoindre le bloc sous la torche, mettons y de la poudre et des torches de redstone sur le côté des blocs sous les fours. Pour finir nous allons placer une ligne d'entonnoirs au dessus de ces torches visant tous vers l'avant de la machine. Notre usine a charbon est techniquement terminée, il nous suffirait de placer un coffre à la sortie qu'on vient de faire avec les entonnoirs. Cependant nous allons voir plus bas comment remonter notre charbon afin qu'il finisse dans un coffre à côté de l'Input. Le fonctionnement est le suivant, le bois est répartit équitablement dans les 8 fours, ce qui fait 8 bois par four pour un stack de bois. Un charbon brûle pour 8 items, donc nos 8 bois seront transformés en consommant un seul charbon qui sera remis dans le système, vous aurez donc 7 charbons sur 8 à la sortie. Par défaut vos fours auront chacun 64 charbons et l'Entonnoir derrière en aura 1, lorsque vous allez utiliser la machine, 1 charbon sera consommé, vos fours descendront donc à 63 charbons et ceux se trouvant dans les entonnoirs derrière viendront remplir les fours. A ce moment la les comparateurs s'allumeront ce qui va venir allumer les torches se trouvant sous la sortie et donc la verrouiller. Lorsque le premier bois sera convertit en charbon il ne va donc pas pouvoir prendre la sortie, il sera réinjecter via la boucle entonnoirs/droppers. Arrivé dans le dropper il sera comparé et le courant ira activer les droppers au travers des entonnoirs, les entonnoirs seront vérouillés au même moment mais c'est pas grave. La sortie sera donc déverrouillée et les 7 prochains charbons pourront se diriger vers la sortie. 3 Output a. Pour faire un ascenseur à items, nous allons faire une colonne de dropper visant vers le haut partant de l'étage de la sortie jusqu'à un étage en dessous des coffres et le dernier alimentera notre 2ème coffre ou votre seul coffre non piégé, vous placerez également un dernier entonoir pour relier la sortie à votre colonne de droppers. b. Comparons le dropper du bas en longeant les entonnoirs de la sortie, répétons le signal et amenons le avec de la poudre jusqu'à atteindre le côté du dropper n'utilisez pas de bloc après le répéteur pour ne pas verrouiller la sortie. Placons un bloc au bout du fil qui éteindra une torche sur son côté et à côté du dropper du bas, plaçons un bloc au dessus de la torche puis 1 étage sur 2 jusqu'au dernier dropper du haut, mettons une torche de redstone sur les blocs. Voilà le tutoriel est terminé ! Salutà tous !N'hésitez pas à vous abonner et à faire tourner les vidéosBiz à tous.

18 h 17. Les expertises se poursuivent. Depuis plus d’une heure, la psychologue évoque chaque victime dont le dossier a été traité aujourd’hui, et les répercussions qu’ont eues les agressions sur leur vie. 17 h 14. Le bonheur est presque vertigineux. » Autre victime, autre analyse psychologique. Pour cette dame agressée à Jeumont, la psychologue explique que celle-ci a l’impression que le sort s’acharne sur elle. Obésité, cancer, les répercussions sont nombreuses depuis son agression. Aujourd’hui, elle est sursitaire », développe la spécialiste. Son avocate, Me Bruyerre, estime de son côté que sa cliente a l’impression que le moment de bonheur, elle va le payer cher ». Des propos confirmés par la psychologue. Pour elle, le bonheur est presque vertigineux. » 17 h. Me Machart réagit à l’audition de sa cliente. Découvrir plus de vidéos 16 h 43. L’audience reprend. L’audience reprend avec les résultats des analyses psychologiques des victimes du jour. La psychologue évoque la première, agressée à Assevent. En 1999, sept ans après les faits, elle est diagnostiquée schizophrène. Elle a eu plusieurs épisodes délirants et a dû être hospitalisée à Maubeuge. Elle a dû vivre seule à la majorité mais a dû retourner au domicile maternel. Ses capacités d’autonomie sont réduites. » Selon elle, l’agression a pu contribuer à cette décompensation psychique », au même titre que d’autres facteurs. 16 h 23. L’audience est suspendue. L’audience est suspendue quelques instants, puis les auditions reprendront. 16 h 07. En quête de victime. Dino Scala reconnaît que le 12 novembre 2012, il est allé au Quesnoy pour une agression à but sexuel ». Il dit À ce moment-là, je suis en mode je cherche une victime. » La victime va se débattre, et l’accusé va partir en raison de sa résistance. Je me suis défendu, elle aussi. Pour la maîtriser, il aurait fallu que j’aille plus dans la violence. J’ai abandonné et je suis reparti. » 15 h 46. Merci les séries policières. » Bond dans le temps, puisqu’il est question ici de faits datant de 2012, au Quesnoy. C’est l’une des seules fois où Dino Scala s’éloignera du val de Sambre. J’essaie de le griffer. J’ai attrapé quelque chose et la chose glissait, explique la victime. J’ai pensé à l’ADN. Merci les séries policières. » 15 h 40. Retour à la normale. Dans cette agression, Dino Scala ne va pas au bout de ses pulsions, arrêté par le lien qui rompt. Quand vous n’y arrivez pas, qu’est ce qui se passe ? Vous êtes encore excité ? », l’interroge Me Bruyère, avocate des parties civiles. Non, ça s’arrête là. Je retourne à mon occupation. » 15 h 35. Il n’y a pas de notion de mal. » Nouvelle agression à Maubeuge, rue Sculfort, en septembre 1996. Une photo d’époque de la victime, aujourd’hui décédée, est projetée. On voit la trace de strangulation. Cette fois-ci, pas d’attouchement relevé. Il me semble que le lien a cassé, donc je pars. C’est peut-être un foulard… Comme ce sont des choses souvent que j’ai déjà utilisées que je prends dans le coffre… » Quand Me Pietrzak lui demande pourquoi utiliser un lien, alors que sa cliente a toujours cru à une tentative de meurtre, Dino Scala assure que ce n’était pas du tout sa volonté. Pour moi, il n’y a pas de notion de mal, de violence. Elle viendra seulement après quand je serai arrêté. » 15 h 12. L’après. L’un des assesseurs demande à Dino Scala s’il a conscience à ce moment-là qu’il franchit un cap, et comment il se sent après. Oui, je sais. Et ça ne va pas s’arrêter. Ça va même aller croissant. Après, on essaie de s’oublier. » 15 h. Premières traces d’ADN. On évoque le dossier d’une victime âgée de 15 ans et demi en 1996. Celle-ci a été violée par Dino Scala à Leval, alors qu’elle allait à pied à l’école. Il s’agit là du premier viol avec pénétration vaginale. C’est la première fois que la police va récupérer des traces d’ADN. C’est aussi suite à cela qu’un dossier d’instruction va être ouvert. Je me suis battue pour qu’il le reste. Je pense à toutes ces victimes qui sont là, derrière moi, et toutes celles qui n’ont pas eu la force de déposer plainte. » 14 h 24. Chronologie des faits. À la question de Me Mathieu, son avocate, sur pourquoi il reconnaît aujourd’hui les faits, alors que la victime n’est pas là, Dino Scala répond Je sais que j’ai agressé à cet endroit-là. L’agression sexuelle, c’est les seins. Les intentions de viol viendront plus tard. » 14 h 17. Je n’ai plus jamais mis de jupe. » Nouvelle audition ce jeudi après-midi pour une tentative de viol datant du 26 octobre 1994. Ceux-ci se sont produits rue du progrès à Maubeuge, sur une femme âgée à l’époque de 33 ans. La victime est absente de l’audience. Le président lit le rapport d’infraction. On peut y lire notamment que celle-ci n’a plus jamais mis de jupe » suite à l’agression. Alors qu’il avait nié être l’auteur des faits dans un premier temps, Dino Scala les reconnaît aujourd’hui. 14 h 06. Reprise de l’audience. L’audience reprend avec la diffusion des photos prises dans la voiture de Dino Scala le jour de son interpellation. On y voit un bonnet, une cordelette, un couteau Opinel de taille 12, des gants, du ruban, un sac de sport avec à l’intérieur un préservatif. En cas d’agression. » 12 h 38. Suspension de l’audience. L’audience est suspendue. Elle reprendra à 14 heures. 12 h 25. Toute agression a un but sexuel. » Interrogé par Me Riglaire sur la dimension sexuelle de ses agressions, Dino Scala assure qu’elles avaient toutes un but sexuel. Ce n’est jamais une simple agression ». 12 h 09. Apparition de la cordelette. Cette agression marque l’apparition de la cordelette dans le mode opératoire de Dino Scala, après celle du couteau en 1991. Interrogé par l’avocat général, l’accusé explique que celle-ci lui permettait de sécuriser son mode opératoire ». Vous confirmez que celui-ci évolue ? » Oui. » Il affirme avoir appris la méthode à l’armée. Je sais qu’il ne faut pas rester tendu trop longtemps. » 11 h 30. Coups de fil. La victime explique que dans les mois qui ont suivi son agression, une personne appelait chez elle. Il disait qu’il allait terminer ce qu’il avait commencé. » Jusqu’à présent, Dino Scala a toujours nié passer des appels à ses victimes. Plusieurs d’entre elles les ont pourtant évoqués. Je ne les connaissais jamais », a-t-il déjà répondu plus tôt dans la matinée. 11 h 17. On m’a demandé si je ne m’étais pas fait ça moi-même. » L’audience a repris. Nouvelle audition de victime pour une tentative de viol en 1993. Elle raconte les faits, à Jeumont, en voulant aller prendre le bus à la gare d’Erquelinnes. À l’époque, auditionnée chez elle par le commissaire de police, elle explique que ce dernier lui avait demandé si elle ne s’était pas fait ces lésions toute seule. J’étais victime, et on ne voulait pas me croire. C’était terrible. » 10 h 48. L’audience est suspendue. Après que Dino Scala a assuré une nouvelle fois qu’il était dans une démarche de tout avouer, l’audience est suspendue quinze minutes. 10 h 15. Je voudrais avoir une raison. » C’est un moment fort qu’est en train de vivre la cour. Les échanges entre la victime et Dino Scala sont dignes. L’accusé, qui assure ne pas avoir les mêmes souvenirs qu’elle, assure qu’il ne veut pas aller contre elle. Vous devez avoir raison. » Devant elle, il poursuit. Ce n’est pas parce que je ne montre pas mes émotions que je ne suis pas mal. Depuis hier, je suis pas bien, j’en prends plein la gueule. Et je suis pas le plus à plaindre. » Il continue à dire qu’il n’a pas d’explications pour ses gestes. Je cherche, nous cherchons. Un psychiatre me parle de dissociation d’esprit. Ça me convainc pas. Je voudrais avoir une raison. Depuis un peu plus d’un an, je ne ressens plus cette rage, cette frustration qu’il y avait en moi. En prison, je ne suis pas à l’aise, mais je ne suis pas mal. » 10 h. Les larmes de l’accusé. Pendant le témoignage de la victime, Dino Scala lâche quelques larmes. Lorsque celle-ci lui dit que ses propos ne sont pas forcément à la hauteur de la douleur des victimes, l’accusé assure qu’il se rend compte de la souffrance qu’il a provoqué à toutes ces femmes. Je m’en suis rendu compte en lisant les résultats psychologiques. Mais en écoutant toutes les victimes, je me rends compte encore plus de ce que j’ai fait. » 9 h 49. Je ne suis pas là pour vous plomber. » Cette victime explique avoir mis en place des parades toute sa vie ». Ces faits n’ont plus jamais été évoqués dans sa famille, jusqu’en 2018. La femme explique même s’être fait disputer le soir des faits par son père pour être sortie du bus plus tôt. Et répète à plusieurs reprises à l’accusé Je suis désolé Monsieur Scala, mais… » Elle s’adresse à lui en disant C’est grave ce que vous avez fait. Vous avez vos raisons. Vous avez travaillé avec mon père… Je ne suis pas là pour vous plomber. Je suis désolée, je veux juste dire les faits. Je suis désolée, je vous ai vu… Je suis désolée pour tout le monde. » La victime estime faire son devoir de citoyenne, et d’être là pour les autres. Je suis aussi venue pour vous laisser une chance de vous excuser. » Ce que l’accusé fait. Ce n’est pas à vous d’être désolée, c’est à moi. » 9 h 30. Je me suis vue mourir. » L’une des victimes de Dino Scala est à la barre. Elle explique son agression du 22 novembre 1993. Elle est âgée à l’époque de 16 ans, à Marpent. Un récit plein de dignité. Un lundi matin, près d’un arrêt de bus, elle croise un homme. Je ne me dis pas du tout à ce moment-là qu’il va m’arriver quelque chose. » À ce moment-là, l’homme la fauche et l’emmène dans un champ. J’ai poussé un cri inhumain. Ce jour-là, je me suis vue mourir. » Après lui avoir demandé de lui avoir baissé son pantalon, il lui dira Je ne te ferai aucun mal, je ne te ferai que du bien. » Elle parle d’un regard déterminé. Elle sera l’une des seules à le voir de face. Il finira par la laisser partir. Prends ton sac. Je m’excuse, je me suis trompé. Ce n’était pas toi. C’était pour une vengeance. » 9 h 08. C’est mon mode opératoire » Après avoir nié les faits devant le juge d’instruction en 2019, Dino Scala reconnaît cette dernière agression. Ça ne ressemble pas, monsieur le président. C’est mon mode opératoire. Même si c’est assez vague dans ma tête. » L’accusé va même plus loin et dit qu’il ne faut pas se fier à ce que j’ai dit en 2019 ». Une déclaration qui change beaucoup de choses. Me Richard, qui défend trois victimes dont deux non reconnues par Dino Scala, s’engouffre dans la brèche. Ce dernier continue de nier ces derniers pour deux raisons il n’agissait pas le soir, et n’a jamais appelé ses victimes en amont. Je ne les connaissais pas. » 8 h 40. L’audience est ouverte. Cinquième jour du procès de Dino Scala à la cour d’assises de Douai. Ce jeudi matin, trois des 56 faits vont être évoqués. Deux des trois victimes sont pour le moment absentes. Premier dossier évoqué, celui d’une femme âgée de 18 ans au moment des faits, le 25 novembre 1992, à Assevent près d’un arrêt de bus. Ce sera la seule victime de Dino Scala cette année-là. Lors de son dépôt de plainte, elle explique que l’homme lui a dit Ne crie pas, je ne suis pas un violeur », tout en précisant qu’il avait un couteau. Celui-ci lui avait caressé la poitrine, avant de lui couper son soutien-gorge et de partir avec.

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elle va finir par se faire coffrer