Threadby @seb_bourdon: [THREAD] Avec @matthieusuc, j’ai enquĂȘtĂ© pour @Mediapart sur la prĂ©sence de nĂ©o-nazis au sein de l’armĂ©e française. r/journal/france Nous avons dĂ©couvert la trace d’une douzaine de cas de militaires ou d’anciens militaires qui a 3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 2034 Introduction Pris en tenaille entre les totalitarismes hitlĂ©riens et staliniens, les Ukrainiens ont dans leur immense majoritĂ© vaillamment combattu pour la libertĂ© et l'indĂ©pendance de leur terre. Un grand nombre d'entre eux se sont employĂ©s au pĂ©ril de leur vie Ă  sauver des Juifs. A ce titre, la prestigieuse institution israelienne Yad Vashem a Ă©tabli que l'Ukraine constitue le quatriĂšme pays d'oĂč sont originaires les justes parmi les nations. Mais tandis que ces hommes et ces femmes faisaient briller des lumiĂšres d'humanitĂ©, quelques Ukrainiens se sont perdus dans un irrĂ©parable engagement au service de l'occupant. Il convient de faire la lumiĂšre avec objectivitĂ© sur cette infime minoritĂ© dont les obscurs desseins ne sauraient ternir le flambeau de la rĂ©sistance ukrainienne. L’idĂ©e de former des troupes slaves chargĂ©es de lutter contre l’URSS avait dĂ©jĂ  germĂ©, chez les militaires allemands et dans l’entourage de Rosenberg, ministre nazi chargĂ© des Territoires de l’Est dĂšs aprĂšs le dĂ©but de l’OpĂ©ration Barberousse. L’hostilitĂ© des populations contre le rĂ©gime communiste semblait leur donner raison. Hitler et son entourage rejeta cette proposition il n’était pas question de former de grandes unitĂ©s indĂ©pendantes composĂ©es majoritairement d’untermenschen slaves. Au dĂ©but de l’annĂ©e 1943, les pertes s’accumulant, les critĂšres d’enrĂŽlement dans la Waffen-SS s’assouplirent et on vit la formation de plusieurs divisions dans les Pays Baltes, France, Croatie, Belgique Wallonie, etc. De son cĂŽtĂ©, le Gouverneur allemand du District de Galicie, Otto von WĂ€chter, appuyĂ© en cela par le ComitĂ© Central Ukrainien siĂ©geant Ă  KrakĂłw Cracovie, le gouvernement en exil de l’UNR et diverses organisations dont une partie de l’Eglise GrĂ©co-catholique, pris la dĂ©cision de crĂ©er une division de Waffen-SS dans son territoire et destinĂ©e Ă  combattre uniquement sur le front de l’Est. Cette dĂ©cision fut annoncĂ©e officiellement le 28 avril 1943. Pour faire passer la pilule, le nom choisi pour la division fut SS Freiwilligen Division Galizien’, reprenant ainsi le vieux nom de la province autrichienne qui permettait d’éviter l’adjectif Ukrainische’. De nombreux volontaires se prĂ©sentĂšrent. Comme toujours, on y trouvait de tout des aventuriers, des gens qui pensaient Ă©chapper Ă  leurs conditions de vie, des volontaires qui croyaient intĂ©grer une nouvelle LĂ©gion Ukrainienne identique Ă  celle les Sichovi Striltsi qui avait combattu contre les Russes dans l’ArmĂ©e austro-hongroise au cours du premier conflit mondial, des adhĂ©rents au gouvernement en exil de l’UNR et des nationalistes orientĂ©s par l’OUN, tendance Melnyk laquelle jouissait d’une certaine faveur auprĂšs d’une partie du clergĂ© GrĂ©co-Catholique de cette Ă©poque. Beaucoup croyaient que c’était le premier pas pour la formation de la future armĂ©e de l’Ukraine indĂ©pendante. Il est Ă  remarquer que l’OUN b, c-Ă -d OUN tendance Bandera marqua nettement son hostilitĂ© et donna des instructions pour Ă©viter l’embrigadement de jeunes ukrainiens dans cette unitĂ©. Pour contrebalancer la propagande allemande, elle pris immĂ©diatement l’initiative de former en Galicie des UnitĂ© Populaires d’Auto-DĂ©fense Ukrayinska Narodna Samooborona - UNS, lesquelles prirent le nom d’UPA-Ouest en janvier 1944. L’OUN tendance Melnyk, eut une attitude plus Ă©quivoque. Elle ne s’opposa pas Ă  l’enrĂŽlement de jeunes ukrainiens en invoquant le prĂ©texte que de jeunes recrues formĂ©es par les militaires allemands seraient trĂšs utiles pour des luttes futures. LA DIVISION Commandement La SS Freiwilligen Division Galizien’ Ă©tait commandĂ©e par des officiers allemands et ukrainiens. Les postes d’officiers supĂ©rieurs Ă©tant uniquement occupĂ©s par les Allemands. On comptait 600 officiers dĂ©tachĂ©s par Berlin dont la moitiĂ© Ă©taient Hollandais et l’autre moitiĂ© provenait de Prusse orientale. Il y avait aussi 300 officiers ukrainiens qui avaient servit dans l’armĂ©e austro-hongroise au cours de la 1e guerre, une centaine d’ukrainiens de Galicie ex-officiers de l’armĂ©e polonaise et une autre centaine qui avaient commandĂ© dans les rangs de l’UNR du Dniepr » en 1917-1921. Outre les officiers supĂ©rieurs, les corps techniques Ă©taient uniquement composĂ©s de troupes allemandes, ce qui crĂ©a des frictions vu leur dĂ©dain pour les Galiciens/Ukrainiens. Le commandant en chef fut, au dĂ©part, le SS OberfĂŒhrer Fritz Freitag, et son chef d’Etat-major le SturmbannfĂŒhrer Commandant Wolf Heike. Tous les commandants de rĂ©giments Ă©taient allemands Les SturmbannfĂŒhrer Binz et l’ObersturmbannfĂŒhrer Lieutant-Colonel Franz Lechthaler commandaient les rĂ©giments de police. Les Soldats Les soldats qui Ă©taient sĂ©lectionnĂ©s devaient mesurer au moins 1,65 m et devaient avoir de 18 Ă  35 ans. Les membres de l’OUN-B Ă©taient interdits mĂȘme si un certain nombre parvint Ă  s’infiltrer sur ordre. L’uniforme Ă©tait celui de la Wehrmacht ; sur l’épaule droite Ă©tait cousu un Ă©cusson reprĂ©sentant le Lion de Galicie et trois couronnes. Il Ă©tait interdit de porter le trident ukrainien le Lion de Galicie Ă©tait un symbole rĂ©gional au contraire du trident qui Ă©tait un symbole national. Au 23 juillet 1943, la commission de recrutement avait examinĂ© candidats. Seuls furent trouvĂ©s physiquement aptes pour le service. Il est vrai qu’un nombre non nĂ©gligeable de jeunes hommes bien portant » avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© raflĂ©s pour le travail obligatoire en Allemagne ! Le HauptfĂŒhrer K. Schultz fit le rapport suivant pour Berlin Si environ volontaires s’étaient prĂ©sentĂ©s, seuls avaient Ă©tĂ© acceptĂ©s. Parmi eux, furent dirigĂ©s vers d’autres tĂąches, furent utilisĂ©s pour des travaux divers, furent pris comme recrues, furent libĂ©rĂ©s » pour raison de santĂ© et furent incarcĂ©rĂ©s dans des camps ! La division se composait de trois rĂ©giments d’infanterie, d’un d’artillerie et d’un rĂ©giment de rĂ©serve Ă  l’entraĂźnement. Les unitĂ©s adjointes consistaient en trois bataillons de fusillers, des troupes du gĂ©nie, des services de communication et de DCA ainsi qu’un hĂŽpital de campagne. BATAILLES AprĂšs une formation en Prusse orientale et en SilĂ©sie, la division fut envoyĂ©e sur le front au dĂ©but de l’annĂ©e 1944. MalgrĂ© son manque d’expĂ©rience, elle Ă©tait bien Ă©quipĂ©e et avait subi un entraĂźnement sĂ©vĂšre. Brody La division fut dirigĂ©e dans la rĂ©gion de Brody oĂč avait lieu des combats trĂšs durs et attachĂ©e au 13e Corps d’ArmĂ©e qui comptait six autres divisions d’infanteries allemandes dĂ©jĂ  Ă©prouvĂ©es. Le 8 juillet 1944, le 13e Corps fut transfĂ©rĂ© Ă  la 1e Panzer ArmĂ©e qui dut faire face Ă  l’offensive des forces soviĂ©tique sous les ordres du MarĂ©chal Konev. Le 19 juillet, aprĂšs de fĂ©roces combats, la division et les autres unitĂ©s allemandes Ă©taient encerclĂ©es. Toutefois une partie de ses Ă©lĂ©ments parvint Ă  s’échapper. Sur les soldats prĂ©sents Ă  Brody, environ rejoignirent immĂ©diatement la division. autres rĂ©apparurent plusieurs mois aprĂšs s’ĂȘtre cachĂ©s dans les forĂȘts avoisinantes et environ rejoignirent l’UPA. Environ hommes avaient Ă©tĂ© tuĂ©s et capturĂ©s. Slovaquie et SlovĂ©nie Les Allemands reconstituĂšrent la division, ce qui prit plusieurs mois, Ă  l’aide des troupes de rĂ©serve et de bataillons de police. Ces derniers, inclus sous la contrainte, n’étaient guĂšre disposĂ©s Ă  se transformer en combattants SS. N’ayant plus de valeur combative, la division fut envoyĂ©e dĂ©but octobre 1944 en Slovaquie pour rĂ©duire le soulĂšvement qui s’y Ă©tait produit. Fin janvier 1945, elle fut dĂ©placĂ©e en SlovĂ©nie pour y combattre les partisans de Tito tout en y maintenant des relations amicales avec la guĂ©rilla anti-communiste serbe des Tchetnik. Bien qu’un ordre supĂ©rieur fĂ»t donnĂ© pour la dĂ©sarmer, elle fut ensuite dirigĂ©e vers le front autrichien pour y boucher les trous ». Graz Du 1er avril 1945 jusqu’à la fin de la guerre, la division, forte d’environ hommes et complĂ©tĂ©e par des prisonniers de guerre soviĂ©tique d’origine ukrainienne, eut Ă  combattre contre l’ArmĂ©e rouge dans la rĂ©gion de Graz en Autriche. 1e Division Ukrainienne UNA Le 17 mars 1945, des Ukrainiens Ă©migrĂ©s mirent en place le ComitĂ© National Ukrainien pour reprĂ©senter les intĂ©rĂȘts des Ukrainiens devant les autoritĂ©s du IIIe Reich Bandera, sorti du camps de concentrations de Sachsenhausen fin 1944 dĂ©clina cette invitation ». ParallĂšlement, on crĂ©a l’ArmĂ©e Nationale Ukrainienne sous les ordres du GĂ©nĂ©ral Pavlo Chandruk. La division Galizien’ devint alors la 1Ăšre division ukrainienne et les troupes prĂȘtĂšrent un nouveau serment, celui de loyautĂ© au peuple ukrainien. A la capitulation allemande, la plupart des soldats environ se rendirent aux forces britanniques qui les transfĂ©rĂšrent Ă  Rimini, en Italie - il y passĂšrent deux ans comme prisonniers de guerre - puis en Angleterre. Lors de la reddition, environ 200 hommes avaient choisi de passer dans l’ArmĂ©e polonaise commandĂ©e par le GĂ©nĂ©ral Anders. Ils travaillĂšrent en Grande-Bretagne comme ouvriers puis furent libĂ©rĂ©s. La plupart Ă©migrĂšrent aux Etats-Unis. Le changement de nom de la division, le fait que ces soldats Ă©taient jusqu’en 1939 citoyens polonais ainsi que l’intervention du Vatican Ă©vitĂšrent pour ces hommes une tragique dĂ©portation vers les geĂŽles d’URSS. Accusations d’atrocitĂ©s Voir en anglais Le 23 fĂ©vrier 1944, il semble dĂ©montrĂ© qu’un petit dĂ©tachement de la division qui resta Ă  l’entraĂźnement jusqu’en mai 1944 pris part Ă  une action de police contre des partisans soviĂ©tiques et des soldats de l’ArmĂ©e de l’IntĂ©rieur AK polonaise dans le village de Huta Pieniacka rĂ©gion de LwĂłw / L’viv. Voir le lien ci-dessus pour plus de dĂ©tails. Quant Ă  l’allĂ©gation de sa prĂ©tendue participation Ă  la rĂ©pression du soulĂšvement de Varsovie d’aoĂ»t-octobre 1944, elle fut dĂ©mentie par des historiens et chercheurs polonais. Il s’agit d’une confusion due Ă  la prĂ©sence sur les lieux de la Brigade SS Kaminski. NOTE En discutant de la collaboration avec l’Allemagne, le Prof. Davies fit remarquer Un grand nombre de volontaires de la Waffen SS provenait d’Europe occidentale. Le pays qui fournit le plus grand nombre de divisions Ă©tait les Pays-Bas quatre. Il y eut deux divisions belges, il y en eut aussi une en France. A mon avis, il est plutĂŽt surprenant que l’Ukraine, qui Ă©tait un plus grand pays, n’en ait fourni qu’une seule 
 Il est surprenant qu’il y eut si peu d’Ukrainiens [dans l’ArmĂ©e allemande]. Beaucoup de gens ignorent, par exemple, qu’on compta beaucoup plus de combattants Russes dans la Wehrmacht ou dans les diverses forces armĂ©es allemandes qu’il n’y en eut qui Ă©taient Ukrainiens 
 GrĂące Ă  la propagande soviĂ©tique, la contribution russe Ă  l’effort de guerre nazi a Ă©tĂ© oubliĂ©e* tandis que la participation ukrainienne a Ă©tĂ© soulignĂ©e, je pense, exagĂ©rĂ©ment. » * Que dire de la pĂ©riode 1939-1941, lors de l’agression de la Pologne, de la France, de la Belgique, des Pays-Bas et de l’Angleterre ? Bibliographie Etc. Auteur PAVLO Source Note de l'auteur J’ai voulu faire un rĂ©cit neutre, mĂȘme si au dĂ©tour de quelques phrases on peut deviner mes sentiments. Pourtant, je me dois de reconnaĂźtre qu’il ne pouvait en ĂȘtre ainsi. Sur un tel sujet, la neutralitĂ© n’est pas de mise. Aussi, je vous fais part de mon sentiment qui, comme tous mes autres textes n'engage que moi. Jamais je n’approuverai les Ukrainiens qui se sont engagĂ©s dans cette 14e SS Division. Les recrues non politisĂ©es furent au minimum des cocus, c’est-Ă -dire des hommes trompĂ©s et ça n’excuse rien ! Tous prirent le parti de l’ennemi et comme tels sont, pour moi, des gens qui ne mĂ©ritent aucune considĂ©ration ni reconnaissance nationale, rĂ©gionale ou autre. Ils obĂ©issaient Ă  des organisations ukrainiennes qui jusqu’alors s’était montrĂ©es coopĂ©ratives avec les Allemands, y compris dans la collaboration affichĂ©e allant jusqu’au crime, et cela a eu pour consĂ©quence qu’allant jusqu’au bout de cette logique, ils ont endossĂ© l’uniforme de ceux qui ouvertement voulaient dominer l’Ukraine en rĂ©duisant ses habitants en esclavage. Pourtant, les crimes racistes, les arrestations et exĂ©cutions publiques des indĂ©pendantistes, les dĂ©portations massives de leurs compatriotes hommes et femmes pour le travail obligatoire en Allemagne Ă©taient autant de signaux d’alarme que les plus aveuglĂ©s ne pouvaient ignorer. Comme d’autres divisons SS levĂ©es en Occident, cette formation ne devait combattre que sur le front de l’Est, contre les Bolcheviks. Pourtant, aprĂšs la dĂ©gelĂ©e reçue Ă  Brody perte de la moitiĂ© des effectifs engagĂ©s y compris trois mille hommes qui par sursaut d’orgueil rejoignirent les vĂ©ritables patriotes, Ă  savoir l’UPA, cette unitĂ© jugĂ©e incapables de tenir le front fut dirigĂ©e vers la Slovaquie et la SlovĂ©nie pour effectuer des missions de police. On imagine tristement ce que cela signifie comme destructions, meurtres, terreur, etc. et on ne peut non plus oublier le massacre de Huta Pieniacka au dĂ©but de l’annĂ©e 1944, avant mĂȘme d’avoir Ă©tĂ© dirigĂ© sur le front, qui coĂ»ta la vie Ă  un millier de personnes. De plus, compte tenu de l’éloignement du théùtre d’opĂ©rations, l’excuse de la lutte contre l’ArmĂ©e Rouge ne tenait plus et n’importe qui, mĂȘme ceux qui avaient l’esprit le plus Ă©troit, pouvaient le constater. Pourquoi ont-il suivi les Allemands jusqu’à la dĂ©faite. Quel serment avait-ils prĂȘtĂ© ? Comme il est dit dans mon rĂ©sumĂ©, s’ils parvinrent Ă  Ă©chapper au rapatriement » en URSS qui aurait coĂ»tĂ© la vie Ă  la plupart, ce fut grĂące au changement de nom de l’unitĂ© qui quelques semaines plus tĂŽt avait troquĂ© son nom de 14e SS Division pour 1e Division ukrainienne, au fait que la Galicie orientale Ă©tait formellement polonaise jusqu’en 1939 
 et aussi Ă  l’intervention du Vatican. Je ne vois aucun titre de gloire qui puisse s’accoler au nom de cette division. Les Allemands eux-mĂȘmes se montrĂšrent trĂšs avares dans la distribution de dĂ©corations Ă  ses combattants. Je suis contre les amalgames et je sursaute Ă  chaque fois que j’apprends que dans telle ville d’Ukraine occidentale, on rend un hommage Ă©gal aux soldats de l’UPA et aux anciens SS. C’est d’autant plus grave, qu’ainsi, ces responsables municipaux ne font que renforcer les arguments de la propagande de l’ex-URSS, toujours bien vivante en Russie, Ukraine et en Occident, laquelle condamnait sur un pied d’égalitĂ© tous ceux qui s’étaient opposĂ©s Ă  la Patrie des Travailleurs ». Ainsi, les indĂ©pendantistes qui s’étaient battus depuis 1942 jusqu’en 1956 contre les Nazis et les Soviets, Ă  savoir l’UPA, d’abord bras armĂ© de l’OUN puis force armĂ©e de l’UHVR, maniĂšre de gouvernement provisoire de l’Ukraine libre qui rassemblait tous les partis politiques luttant pour une Ukraine indĂ©pendante libre de toute ingĂ©rence extĂ©rieure, se trouvent une fois encore assimilĂ©s Ă  ces individus et aux organisations qui les avaient incitĂ© Ă  trahir. Finalement, pour rappel, je reprends la fin de la dĂ©claration du Prof. Davies GrĂące Ă  la propagande soviĂ©tique, la contribution russe Ă  l’effort de guerre nazi a Ă©tĂ© oubliĂ©e tandis que la participation ukrainienne a Ă©tĂ© soulignĂ©e, je pense, exagĂ©rĂ©ment. » Cette participation est toujours soulignĂ©e aujourd’hui et sert encore Ă  stigmatiser et disqualifier l’Ukraine devant la communautĂ© internationale. Une sĂ©rie d’articles qui paraissent ces derniers temps dans divers journaux français, on se doute d’oĂč cela provient, ravive ces rĂ©criminations. C'est pourquoi j'estime qu'il est de mon devoir de mettre les points sur les i. Published by Franco-ukrainien - dans Histoire Lerecrutement pour l'engagement volontaire Le recrutement pour l'engagement volontaire fut activement pousse, en premier lieu parmi les membres de la Jeunesse hitlerienne. Par une savante propagande, les chefs allemands de la Jeunesse hitlerienne entreprirent, le plus souvent en vain, de gagner les jeunes Alsaciens a leur doctrine pour les decider a entrer comme
Drapeau de la LĂ©gion flamande. Affiche de recrutement pour la LĂ©gion flamande. La LĂ©gion flamande Vlaams Legioen fut une unitĂ© militaire composĂ©e de volontaires flamands qui combattirent, aux cĂŽtĂ©s des allemands, l'ArmĂ©e rouge sur le front de l'Est durant la Seconde Guerre mondiale. Historique PrĂ©curseurs de la LĂ©gion Standarte Westland et Standarte Nordwest DĂšs la crĂ©ation de la Waffen-SS, un conflit opposa le ReichsfĂŒhrer-SS Heinrich Himmler et l'armĂ©e rĂ©guliĂšre allemande la Wehrmacht. Les gĂ©nĂ©raux allemands voyaient dans la Waffen-SS, qui Ă©tait en quelque sorte le bras armĂ© d'une organisation politique, une menace pour leur position. La Wehrmacht reçut d'Adolf Hitler la promesse qu'annuellement seulement 2% des recrues allemandes seraient autorisĂ©es Ă  rejoindre les rangs de la Waffen-SS. AprĂšs l'invasion de la NorvĂšge et du Benelux, Himmler a vu l'occasion pour la Waffen-SS d'accroĂźtre ses effectifs avec des soi-disant volontaires germaniques, qui seraient recrutĂ©s en dehors de l'Allemagne et ne seraient donc pas soumis Ă  l'arrangement avec la Wehrmacht. À la fin juin 1940, le Standarte Westland fut créé et des appels parurent dans la presse flamande. L'Algemeene-SS Vlaanderen Ă©tait particuliĂšrement engagĂ©e dans le recrutement de volontaires. À Anvers, l'occupant allemand ouvrit une bureau de recrutement appelĂ©e ErgĂ€nzungsstelle sous la direction du HauptsturmfĂŒhrer Leib, mais en raison des critĂšres sĂ©vĂšres en matiĂšre de sĂ©lection, il ne restait que 45 volontaires pour le rĂ©giment SS-Westland, composĂ© de Flamands et de NĂ©erlandais. Ces volontaires flamands furent finalement absorbĂ©s par la 5e Panzerdivision SS Wiking. Afin d'intĂ©grer le grand nombre de personnes non-sĂ©lectionnĂ©es, Himmler dĂ©cida le 3 avril 1941 de crĂ©er le Freiwillige SS Standarte Nordwest, y assouplissant les conditions d'admission strictes. La taille minimale fut rĂ©duite Ă  1,65 m et l'enquĂȘte gĂ©nĂ©alogique fut moins approfondie. Les campagnes de recrutement eurent plus de succĂšs et environ 450 recrues flamandes se rendirent en Allemagne pour y suivre un entraĂźnement. Convictions des volontaires Bien que chaque volontaire eut ses propres raisons pour s'engager dans la Waffen-SS, on admet gĂ©nĂ©ralement que les 5 principales raisons furent Le charisme d'une armĂ©e allemande victorieuse. À l'Ă©tĂ© 1940, les Allemands semblaient invincibles et leur armĂ©e utilisait du matĂ©riel et les tactiques les plus modernes. L'aventure a attirĂ© beaucoup de jeunes. L'aspect pĂ©cuniaire. Un aspect qui ne peut certainement pas ĂȘtre sous-estimĂ© la Flandre a connu une crise majeure caractĂ©risĂ©e par un taux de chĂŽmage Ă©levĂ©. L'incorporation signifiait la sĂ©curitĂ© financiĂšre Ă©galement pour les autres membres de la famille.[rĂ©f. nĂ©cessaire] Le nationalisme flamand. C’est l’une des motivations les plus importantes la Belgique Ă©tait perçue comme un pays incapable de rĂ©pondre aux besoins flamands [rĂ©f. nĂ©cessaire] et ils souhaitaient que la Flandre prenne en main son destin. L'admiration pour le nazisme. Le VNV, le Verdinaso et l'encore plus fanatique DeVlag, les trois plus importants partisans de la collaboration en Flandre, prirent au fil du temps certains aspects de l'Allemagne nazie pour exemple et voulait contribuer au dĂ©veloppement d'une Europe dominĂ©e par l'Allemagne. Certains membres pensaient pouvoir jouer un rĂŽle dans la gestion de la Flandre aprĂšs la victoire allemande. Parce que le nationalisme flamand Ă©tait Ă  l'origine de ces partis, ce point et le prĂ©cĂ©dent sont, dans une certaine mesure, interconnectĂ©s. Les croyances des volontaires. Un exemple typique est la rĂ©sistance au communisme athĂ©e en tant que motif important pour rejoindre la LĂ©gion flamande. Juillet 1941 crĂ©ation de la LĂ©gion flamande Initialement, le recrutement en Flandre pour la Waffen-SS ne concernait que l'Algemeene-SS Vlaanderen. En avril 1941, le VNV dĂ©cida de soutenir la campagne de recrutement pour la Waffen-SS. Staff Declercq espĂ©rait ainsi accroĂźtre son influence politique. Le gĂ©nĂ©ral SS Gottlob Berger, chef du SS-Hauptamt und SS-ErgĂ€nzungsamt, avait en effet promis au VNV qu'en Ă©change d'un recrutement actif, le VNV deviendrait le seul parti politique en Flandre. La campagne de recrutement du VNV a vraiment commencĂ© aprĂšs l'attaque allemande contre l'Union soviĂ©tique le 22 juin 1941. Reimond Tollenaere, chef de la propagande du VNV, fut la principale inspiration de cette campagne de recrutement qui appelait la jeunesse flamande Ă  combattre le communisme sans Dieu. Le 7 juillet 1941, Staf Declercq annonçait la crĂ©ation d'une lĂ©gion flamande. Selon les promesses qu'il avait reçues de l'occupant allemand, cette unitĂ© serait entiĂšrement composĂ©e de Flamands, aussi bien officiers que soldats, et se battraient sous leur propre drapeau, le lion flamand. Le commandement serait dirigĂ© par un commandant SS, mais ils ne feraient pas partie de la Waffen-SS. Des personnalitĂ©s du VNV telles que Reimond Tollenaere, Jef François et Paul Suys postulĂšrent pour la lĂ©gion. Le 6 aoĂ»t 1941, environ 450 volontaires quittĂšrent Bruxelles pour le camp d'entraĂźnement Dębica en Pologne. EntraĂźnement ImmĂ©diatement aprĂšs leur arrivĂ©e au camp d’entraĂźnement, les premiers problĂšmes se posĂšrent. En plus de la LĂ©gion de volontaires nĂ©erlandais, les Waffen-SS flamands du Standarte Nordwest se trouvaient Ă©galement Ă  Dębica. Le HauptsturmfĂŒhrer Otto Reich, commandant du camp d'entraĂźnement, ordonna de rĂ©unir les Flamands dans une seule unitĂ©. Les hommes du Standarte Nordwest considĂ©raient les lĂ©gionnaires comme des soldats infĂ©rieurs et refusaient de coopĂ©rer avec eux. Les lĂ©gionnaires quant Ă  eux, ont tenu les promesses faites par Staf Declercq et refusĂšrent de porter un uniforme SS. Il Ă©tait clair que le SS-HauptsturmfĂŒhrer Otto Reich n'Ă©tait pas au courant des Ă©ventuels accords et qu'il n'allait pas s'immiscer dans ces diffĂ©rends politiques. Il rassembla tous les Flamands et leur proposa le choix de se battre contre le bolchevisme ou de rester en rĂ©serve derriĂšre le front. Environ la moitiĂ© choisit de se battre et ils furent affectĂ©s au Standarte Nordwest. Le reste fut temporairement affectĂ© Ă  la LĂ©gion de volontaires nĂ©erlandais. Au cours de la dure formation, il y avait peu de temps pour mener des discussions politiques. La discipline militaire ne faisait aucune distinction et les instructeurs allemands les entraĂźnaient Ă  la limite de leur endurance. Le 24 septembre 1941, le SS-Hauptamt et le SS-ErgĂ€nzungsamt dĂ©cidĂšrent de procĂ©der Ă  une profonde rĂ©organisation. Pour des raisons de propagande, il fut dĂ©cidĂ© qu'il Ă©tait plus intĂ©ressant d'utiliser des lĂ©gions de volontaires. Le Standarte Nordwest fut supprimĂ© et transformĂ© en la SS-Freiwilligen Legion Niederlande et la SS-Freiwilligen Legion Flandern. Sur le front Le 4 novembre 1941, le commandement de l'armĂ©e allemande estima que l'entraĂźnement de la LĂ©gion flamande Ă©tait terminĂ© et l'unitĂ© fut envoyĂ©e au front. Environ 1100 soldats rejoignirent le front Ă  LĂ©ningrad dans des conditions mĂ©tĂ©orologiques difficiles. Initialement, la LĂ©gion ne fut pas utilisĂ©e comme unitĂ© de premiĂšre ligne, mais employĂ©e dans la lutte contre les partisans. Les dirigeants de l'armĂ©e allemande ne faisaient pas suffisamment confiance aux unitĂ©s de volontaires Ă©trangers pour les dĂ©ployer au front. Dans le cadre de la 2. SS-infanteriebrigade, la lĂ©gion joua le rĂŽle d'unitĂ© de surveillance des ponts et des voies ferrĂ©es. Les premiers lĂ©gionnaires sont morts durant des combats contre les partisans. Cette façon de combattre donna aux Flamands l'expĂ©rience nĂ©cessaire et, au bout de six semaines, la lĂ©gion fut dĂ©ployĂ©e comme unitĂ© de premiĂšre ligne. La LĂ©gion flamande s'est vue attribuer un secteur de front dans la rĂ©gion marĂ©cageuse de Wolchow. Les volontaires espagnols se trouvaient au nord des flamands. Le 7 janvier 1942, la 2e ArmĂ©e de choc soviĂ©tique lance une attaque en direction de Leningrad dans l'espoir de briser l'encerclement de la ville par les Allemands. Les Russes ont fait un Ă©cart de 20 km dans les lignes de dĂ©fense allemandes, mais l’attaque s’enlisa vite dans les marais. De concert avec les Espagnols, la LĂ©gion flamande rĂ©ussi Ă  maintenir sa position aux prix de lourdes pertes. L'entĂȘtement avec lequel les Flamands dĂ©fendirent leurs positions donna aux Allemands la possibilitĂ© d'envoyer des renforts. Durant ces combats, Reimond Tollenaere est tuĂ© dans son bunker, touchĂ© par l'artillerie espagnole. Directement aprĂšs sa mort, le VNV dĂ©marra une campagne de propagande autour de sa personne, dissimulant habilement qu'il avait Ă©tĂ© tuĂ© par sa propre artillerie. Le 19 mars 1942, la contre-attaque allemande commença et la 2e armĂ©e de choc soviĂ©tique fut encerclĂ©e. La LĂ©gion flamande fut ensuite chargĂ©e de dĂ©truire les troupes soviĂ©tiques encerclĂ©es. Ces combats furent extrĂȘmement difficiles car les SoviĂ©tiques s'Ă©taient fermement retranchĂ©s dans d'innombrables bunkers et tranchĂ©es. Ce n'est que le 29 juin 1942 que les derniĂšres unitĂ©s soviĂ©tiques se rendirent. Pendant les combats, la LĂ©gion flamande fut mentionnĂ©e Ă  trois reprises dans le Wehrmachtbericht. AprĂšs six mois de front ininterrompus, la LĂ©gion flamande Ă©puisĂ©e fut relevĂ©e. Sur les 1100 soldats d'origine, il n'en restait qu'une centaine. AprĂšs une pĂ©riode de repos et l’'arrivĂ©e de nouvelles recrues, la LĂ©gion flamande fut de nouveau envoyĂ©e sur le front Ă  LĂ©ningrad le 21 juillet 1942. Les lĂ©gionnaires se distinguĂšrent dans cette guerre de position. Par petits groupes, ils attaquaient les bunkers soviĂ©tiques et la nuit, leurs patrouilles pĂ©nĂ©traient profondĂ©ment dans les lignes ennemies, oĂč ils effectuaient des embuscades. Le 12 janvier 1943 l'ArmĂ©e rouge lança sa seconde tentative pour libĂ©rer LĂ©ningrad. Le 10 fĂ©vrier 1943, la 55e armĂ©e russe attaqua les positions de la division Azul pour tenter de dĂ©gager la route reliant LĂ©ningrad Ă  Moscou. PrĂšs de Krasny Bor, les Espagnols rĂ©sistĂšrent Ă  trois divisions soviĂ©tiques, mais la force d'attaque soviĂ©tique fut finalement trop grande. La LĂ©gion flamande a reçu l'ordre de lancer une contre-attaque pour reprendre les hauteurs de StaraĂŻa Roussa. Bien que cette action fut un succĂšs, la LĂ©gion ne comptait plus que 50 soldats aprĂšs la bataille. Le 14 avril 1943, la LĂ©gion flamande fut renvoyĂ©e au camp d'entraĂźnement de Dębica et transformĂ©e en la 6. SS-Freiwilligen-Sturmbrigade Langemarck. Une partie des volontaires refusĂšrent de prĂȘter serment. Ils considĂ©raient leur intĂ©gration dans la Waffen-SS comme une violation des accords passĂ©s avec les dirigeants du VNV lors de la crĂ©ation de la LĂ©gion flamande. Commandants Nom Grade DĂ©but Fin Michael Lippert SS-SturmbannfĂŒhrer Septembre 1941 Avril 1942 Hans-Albert von Lettow-Vorbeck SS-ObersturmbannfĂŒhrer Avril 1942 Juin 1942 Hallmann SS-HauptsturmfĂŒhrer Juin 1942 Juin 1942 Josef Fitzthum SS-ObersturmbannfĂŒhrer Juin 1942 Juillet 1942 Conrad Schellong SS-SturmbannfĂŒhrer Juillet 1942 Mai 1943 Voir aussi Algemeene-SS Vlaanderen Division Langemarck Lien externe nlLĂ©gion Flandres Bibliographie nlBruno De Wever, Oostfronters. Vlamingen in het Vlaams Legioen en de Waffen-SS, 1984, ISBN 9789020911923 nlWilly Massin, Limburgers in het Vlaams Legioen en de Waffen-SS, 1991 nlKarl Unruh, Langemarck. Legende und Wirklichkeit, 1995, ISBN 3763759492 nlKristof Carrein, Vlamingen in de Waffen-SS en het Vlaams Legioen. Een sociografie, licentiaatsthesis UGent, 1998 nlPieter Jan Verstraete, Vlamingen aan de Narva. Kampfgruppe D'Haese, zomer 1944, 2015, ISBN 9789461536648 nlFrank Seberechts, Drang naar het Oosten. Vlaamse soldaten en kolonisten aan het oostfront, 2019, ISBN 9789463100830 Sources nl Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en nĂ©erlandais intitulĂ© Vlaams Legioen » voir la liste des auteurs.
Ilrecrute des volontaires pour l'“Azad Hind”, la LĂ©gion “Inde Libre”. Les succĂšs militaires allemands contre l'Union SoviĂ©tique, Ă  partir de juin 1941, et contre les Britanniques en Afrique du Nord, encouragent Bose Ă  former une “LĂ©gion indienne” en 1942, dont l'objectif est de libĂ©rer l'Inde avec l'aide des forces de l'Axe. Les quelque 3500 volontaires de la “LĂ©gion
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Le2 aoĂ»t, rĂ©pondant aux appels de Habib Meyer et Éric Ciotti, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a accusĂ© la gauche d'antisĂ©mitisme. Son gouvernement ne ce
Des SS en Allemagne dans les annĂ©es 30. - Archives fĂ©dĂ©rales allemandes via Wikimedia Creative titre d'une loi de 1950, l'Etat fĂ©dĂ©ral allemand continue des verser des indemnitĂ©s Ă  d'anciens soldats allemands ou auxiliaires de l'armĂ©e blessĂ©s durant la seconde guerre mondiale, ainsi qu'Ă  leurs ayants droits. Une cinquantaine d'entre eux vivent en France, dont quatre ex-Waffen SS. Paris demande des explications Ă  de cette loi allemande de 1950 conserve quelque chose de consensuel elle a en effet pour visĂ©e "l'assistance aux victimes de la guerre". Dans les faits, elle conduit Ă  indemniser les soldats allemands, ainsi que les auxiliaires de l'armĂ©e allemande, blessĂ©s entre 1939 et 1945, ou leurs ayants droits. Cette aide est versĂ©e Ă  des ressortissants allemands comme Ă©trangers et Ă  des individus vivants dans les lĂ€nder ou hors des frontiĂšres germaniques. L'ouverture de cette indemnisation Ă  des "auxiliaires" de la Wehrmacht est Ă  l'origine d'une consĂ©quence bien troublante des anciens de la Waffen SS, c'est-Ă -dire la section militaire des SS, ces unitĂ©s de nazis particuliĂšrement violents et fanatiques, initialement groupes de protection d'Hitler devenus avec le temps un empire dans un empire, la mai dernier, 1450 personnes vivant hors d'Allemagne mais en Europe percevaient ces sommes allouĂ©es. Et fin mars, ils Ă©taient 54 en France, a rĂ©vĂ©lĂ© ce mardi une longue enquĂȘte du Monde, qui prĂ©cise que ce nombre est tombĂ© Ă  52 deux mois plus tard. C'est un journal belge qui en fĂ©vrier dernier avait levĂ© cet embarrassant liĂšvre. Le dĂ©tail des indemnisĂ©s hexagonaux L'ambassade d'Allemagne a livrĂ© le dĂ©tail du contingent d'indemnisĂ©s vivant sur notre territoire. L'institution a Ă©voquĂ© 27 mutilĂ©s, 21 veuves et six orphelins. Au sein des 27 mutilĂ©s, on dĂ©nombre 18 Allemands et neuf Français. Parmi les 18 Allemands, on note dix ex-militaires, comptant dans ce nombre la prĂ©sence d'un ancien de la cavalerie de la Waffen SS. Parmi les neuf Français, se trouvent quatre femmes victimes de bombardements durant le conflits et cinq anciens soldats, dont trois Waffen SS. L'un est un ancien de la division Charlemagne, ces volontaires hexagonaux, versĂ©s Ă  la SS, qui ont combattu en Union soviĂ©tique. Le deuxiĂšme est un Allemand naturalisĂ© qui a aussi revĂȘtu l'uniforme noir. Le troisiĂšme est un Alsacien qui s'est engagĂ© volontairement aux cĂŽtĂ©s des Allemands et qui a servi dans la 3e division blindĂ©e des SS "Totenkopf" "tĂȘte de mort" qui, entre autres, ont encadrĂ© l'administration des camps de la mort. En moyenne, ces 27 personnes touchent 350 euros d'indemnitĂ© ministĂšre fĂ©dĂ©ral des Affaires sociales allemand, en charge de ces virements, le jure aprĂšs recoupement auprĂšs du centre Simon-Wiesenthal, du nom du cĂ©lĂšbre "chasseur de nazis" d'aprĂšs-guerre, aucun criminel de guerre ne figure plus au nombre des rĂ©cipiendaires. Une affirmation qui fait donc une curieuse distinction entre le crime de guerre et les agissements de la SS, une organisation pourtant jugĂ©e officiellement et intrinsĂšquement criminelle lors du procĂšs de Efraim Zuroff, actuel directeur du centre Simon-Wiesenthal, a de plus infirmĂ© la version des autoritĂ©s allemandes. Selon lui, pour tout recoupement, il n'y a eu que la transmission, en 1998, par le centre d'une liste de criminels de guerre Ă  destination de l'Etat allemand. AprĂšs quoi, ce dernier en a fait Ă  sa guise. "Vous comprenez bien qu’on ne peut pas dire qu’il y a eu croisement des fichiers, mais plutĂŽt autoĂ©valuation. Ce n’est pas la mĂȘme chose. VoilĂ  pourquoi, aujourd’hui, je considĂšre que la gestion de cette affaire reste un problĂšme sĂ©rieux encore non rĂ©solu", a dĂ©veloppĂ© Efraim Zuroff auprĂšs du quotidien du soir. La liste du centre Simon-Wiesenthal comportait noms. Celle, consĂ©cutive, des radiations du panel des indemnisĂ©s, seulement 99. Il faut dire que l'examen au cas par cas des dossiers ne dĂ©pend pas de l'Etat fĂ©dĂ©ral mais des rĂ©gions. Or, d'aprĂšs les spĂ©cialistes de cet Ă©pineux sujet, on remarque de nombreuses disparitĂ©s entre les rĂ©gions. La Sarre, par exemple, est responsable des cas français. Stefan Klemp, historien allemand et auteur d'un rapport sur les radiations des registres de la loi de 1950, a lancĂ© au Monde "Expliquez-moi pourquoi le Bade-Wurtemberg a rayĂ© 29 noms et la BaviĂšre 11, alors que la Sarre n’en a effacĂ© qu’un seul et la Saxe aucun ?"En attente de clarificationsLes autoritĂ©s françaises ont rĂ©agi. Fin mars, la secrĂ©taire d'Etat auprĂšs de la ministre des ArmĂ©es, GeneviĂšve Darrieussecq, a demandĂ© des "explications prĂ©cises" Ă  l'Allemagne. Fin mai, le ministre des Affaires Ă©trangĂšres, Jean-Yves Le Drian, a expĂ©diĂ© quant Ă  lui une lettre Ă  l'attention du gouvernement allemand. Cette affaire aussi dĂ©rangeante qu'embrouillĂ©e se complique encore d'une derniĂšre interrogation. Certains observateurs, dont des dĂ©putĂ©s belges, se demandent ainsi tout haut si ces indemnitĂ©s ne sont pas en fait des "pensions", indiquant par lĂ  qu'elles ne seraient, possiblement, pas seulement versĂ©es au titre d'une compensation aprĂšs une blessure mais comme une retraite. Berlin va devoir clarifier la situation devant ses voisins au plus vite.
Lettreen franchise du Bureau de Recrutement de la Waffen pour la région nord de la France à destination de Thivencelles avril 1985 du Club Philatélique de la Seconde Guerre Mondiale "La Waffen SS" par André Bayle, Bulletin No 4, décembre 1985 du Club Philatélique de la Seconde Guerre Mondiale Une liste (hélas incomplÚte) d'un grand nombre de Feldpostnummer
Sujet Images de propagande , Ă©ditĂ©es durant la seconde guerre mondiale . Lu 9239 fois 0 Membres et 1 InvitĂ© sur ce sujet AFFICHE N° 86AUCH DU ...! Toi aussi ! Les jeunes de la " Hitlerjugend " Jeunesse hitlĂ©rienne pouvaient demander Ă  ĂȘtre volontaires dans la Waffen SS Ă  partir de 17 ans . Hitler a d' abord encouragĂ© ce recrutement pour des raisons idĂ©ologiques , il se proposait de substituer insensiblement Ă  sa vieille armĂ©e , rĂ©actionnaire et aristocratique , une nouvelle armĂ©e nationale - socialiste . Puis , lorsque les armĂ©es alliĂ©es menaçant le territoire mĂȘme de l'Allemagne , c' est parce qu' il a besoin de mobiliser toutes les forces vives de l' Allemagne pour l ' ultime rĂ©sistance qu' il envoie au combat des garçons de 15 ans . ********************AFFICHE N° 87BISERTA in mano francese e una pistola puntata contro la SICILIA .Bizerte au mains des Français , est un pistolet braquĂ© contre la Sicile !Les alliĂ©s sont Ă  Bizerte lrut prochain objectif est la Sicile , dont ils ont prĂ©parĂ© le plan d' invasion avant mĂȘme la fin de la campagne de Tunisie . . L'Italie n'ignore pas que l' intĂ©gritĂ© de son territoire est dĂ©sormais menacĂ©e puisqu' avant le seconde guerre mondiale la propagande fasciste prenait argument de la valeur stratĂ©gique de Bizerte pour revendiquer l' annexion de la base française ainsi que celle de la Tunisie tout entiĂšre . Si la France n'a pas su se servir de l'arme qu' elle possĂ©dait en 1940 , les Anglais , et les amĂ©ricains s'en sot emparĂ©s en 1943 pour viser l'Italie au coeur !!!! ****************************************AFFICHE N°88Rush British armsto british hands ....Ju de mots intraduisible en français ! aussi bien que par !Cette affiche anglaise est une réédition d'une affiche soviĂ©tique parue en 1941 , et publiĂ©e par " La fenĂȘtre de l' agence TASS .La poigne de mains anglo- soviĂ©tique , qui Ă©trangle Hitler est devenue une rĂ©alitĂ© en 1943 ....mais , si avant la conclusion des accords , la propagande menait grand bruit en URSS , autour des succĂšs qu' on pouvait attendre de l' alliance avec les pays capitalistes , les dĂ©clarations officielles ne font plus la moindre allusion aux fournitures occidentales depuis qu'elles arrivent en quantitĂ© vraiment importantes en Union SoviĂ©tique .... ********************************************* Ă  Suivre ....... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Et de prĂ©fĂ©rence pas avec les doigts dans le nez mais plutĂŽt avec une K7, capito ?La charitĂ© chrĂ©tienne n'a pas de prix. Quelques autres seront rĂ©cupĂ©rĂ©s par la CIA, en gĂ©nĂ©ral des officiers de renseignements avec leurs fichiers, les "moins pires" ! Cela a permis, entre autre, de former l'organisation Gehlen. Mais finalement, tout anti-communiste fĂ©roce Ă©tait le bienvenu pour les encore des "chimistes" comme Werner von Braun, lĂ , on l'a Ă©chappĂ© belle !C'est ce haut gradĂ© des SS SturmbannfĂŒhrer, qui a encore fait travailler les prisonniers et travailleurs forcĂ©s, Ă  une Ă©poque Ă  laquelle il Ă©tait dĂ©finitivement acquis que le rĂ©gime s'Ă©croulera. On se rappelle du camp Dora, oĂč les Français Ă©taient les bienvenus. On doit rendre hommage Ă  la maniĂšre dont il s' est montrĂ© capable de faire de chaque fils d' immigrants Ecossais , irlandais , allemand , scandinave , italien , espagnol slave , grec voire japonais , un patriote , qu' elles que soient sa classe , sa race , sa religion . Sous son impulsion , l' armĂ©e amĂ©ricaine s' acquitte brillamment de la mission libĂ©ratrice qui lui a Ă©tĂ© confiĂ©e .Je me permets quand-mĂȘme d'exclure ceux ayant les yeux bridĂ©s, car ils ont Ă©tĂ© internĂ©s dans des camps. IP archivĂ©e Affiche 80Bonne analyse, c'est effectivement avec le soutien de cette crapule patentĂ©e de von Papen qu'Hitler accĂ©da au pouvoirAcquittĂ© Ă  Nuremberg, il vĂ©cut encore assez longtemps au sud de Bade et eut le temps d'ouvrir un compte Ă  l'Ă©tablissement financier de BĂąle oĂč je travaillaisTombĂ© sur son dossier, je regarde mon chef et lui demande c'est .... ? Il a juste acquiescĂ© en hochant la tĂȘte ! Ceci n'est qu'une anecdote ...Et ce que j'ai dĂ©couvert aussi, c'est que le futur pape Jean XXIII alors Roncalli qui intercĂ©da en sa faveur pour qu'il recouvre sa "dignitĂ©" de chambellanOn ne prĂȘte qu'aux riches !Que tu veut tu certains de ces crapules de sont bien tirĂ© d'affaire, enfin un de cela Ă  Ă©tĂ© bien retrouvĂ© dans un coffre Ă  Mulhouse, lui qui Ă©tait pendantla 2Ăšme guerre mondiale parait-il qu'il Ă©tait l'un des responsable de la politique d'extermination en TchĂ©coslovaquie IP archivĂ©e Affiche 80Bonne analyse, c'est effectivement avec le soutien de cette crapule patentĂ©e de von Papen qu'Hitler accĂ©da au pouvoirAcquittĂ© Ă  Nuremberg, il vĂ©cut encore assez longtemps au sud de Bade et eut le temps d'ouvrir un compte Ă  l'Ă©tablissement financier de BĂąle oĂč je travaillaisTombĂ© sur son dossier, je regarde mon chef et lui demande c'est .... ? Il a juste acquiescĂ© en hochant la tĂȘte ! Ceci n'est qu'une anecdote ...Et ce que j'ai dĂ©couvert aussi, c'est que le futur pape Jean XXIII alors Roncalli qui intercĂ©da en sa faveur pour qu'il recouvre sa "dignitĂ©" de chambellanOn ne prĂȘte qu'aux riches !Que tu veut tu certains de ces crapules de sont bien tirĂ© d'affaire, enfin un de cela Ă  Ă©tĂ© bien retrouvĂ© dans un coffre Ă  Mulhouse, lui qui Ă©tait pendantla 2Ăšme guerre mondiale parait-il qu'il Ă©tait l'un des responsable de la politique d'extermination en TchĂ©coslovaquieTu veus parler de ceci Benny ???? IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . IP archivĂ©e Merci et bon appĂ©tit !!!! IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . AFFICHE N° 89>Lorsqu' elle veut frapper les foules , L' URSS matĂ©rialiste marxiste reprend le langage de l' Evangile qui des siĂšcles durant a façonnĂ© l' esprit du peuple russe . En faisant sienne la phrase du Christ au mont des Oliviers , elle s' identifie avec l' innocence et le bon droit bafouĂ© par les mĂ©chants . Mais l' Ă©pĂ©e qui tranche les mains avides des dirigeants nazis , s' orne de l' Ă©toile rouge , ainsi que de la faucille et du marteau , et les cheminĂ©es qui fument sont celles de villes industrielles du Caucase dont Hitler n'a pu s'emparer . ****************************************AFFICHE N° 90AUSTELLUNG UNSER KAMPF ZUR SEE .EXPOSONS NOTRE COMBAT SUR MER !!!!!AFFICHE annonçant l'exposition consacrĂ©e Ă  la guerre sur mer par le Kaiser Friedrich MusĂ©um de BERLIN du 13 juin au 30 septembre 1942 , L'Attraction y est un U-BOOT livrĂ© Ă  la curiositĂ© des visiteurs . C' est Ă  juste titre que l'Allemagne admire ses sous marins , exalte l'hĂ©roĂŻsme de ses Ă©quipages . ******************************AFFICHE N° 92......Because somebody talked !......Parce que quelqu' un a parlĂ© !!!!!L' Action des sous marins allemands contre les convois alliĂ©s est si prĂ©cise que le Haut Commandement anglo - saxon soupçonne des " fuites " !!! La trahison seule peut expliquer les embuscades tendues par douze Ă  seize submersibles au point le plus favorable du parcours de chaque convoi . Inlassablement on rappelle donc Ă  l'opinion la grande consigne du secret militaire Recommandations inutile puisque le " service B " de la marine allemande continue malgrĂ© toutes ces prĂ©cautions prises , Ă  dĂ©crypter les communications ennemies et que durant 3 ans DÖNITZ lit , pour ainsi dire par dessus l'Ă©paule de ses adversaires . ********************************************************************************* Ă  SUIVRE ...... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . AFFICHE 86Et pas seulement des gamins de 15 ans, mais mĂȘme des Alsaciens n o n volontaires mais dont le physique faisait "profil" et mĂȘme, au diable l'avarice, des Bosniaques musulmans Division SS Handschar lesquels ne se firent pas beaucoup d'amis en Serbie, ce qui explique - partiellement - les retours de flammes lors de l'Ă©croulement de la Yougoslavie encore une rĂ©ussite du traitĂ© de Versailles et autres obliger Ă  coexister des personnes aux cultures diffĂ©rentes et qui n'avaient surtout rien demandĂ© !! IP archivĂ©e Et pour changer un peu , tout en restant dans le sujet .....Dans le garage de mon fils au milieu de son immense bric Ă  brac ..... ICI LONDRES ..... ICI LONDRES ... Les Français parlent au Français .... Les Français parlent au Français ..... Ă  BientĂŽt . ADN 40 IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Vivement les marchĂ©s aux puces !Il fut un temps avec deux de mes fils, on les faisait tous, le dimanche ... moi surtout pour les bouquins dont mes annuaires ! IP archivĂ©e Gehlen Ă©tait chargĂ© de fournir Ă  Hitler tous renseignements utiles sur l'armĂ©e russe. Quand ça ne convenait pas au caporal fureur, il hurlait et finalement a limogĂ© le petit gĂ©nĂ©ral de brigade comme Charlie, mais ce dernier Ă  titre temporaire ... ! Grand bien lui fit, il Ă©chappa aux investigations aprĂšs l'attentat du 20 juillet 44 et sauva sa peauLe garçon a mis tous ses papiers Ă  l'abri et - fait prisonnier - les a finalement refilĂ©s aux AmĂ©ricains pour qui tout ce qui touchait les Russes en matiĂšre militaire Ă©tait du pain bĂ©niLe SchreibtischtĂ€ter scribouillard d'Ă©tat-major fut renvoyĂ© dans ses foyers avec pour mission de continuer d'espionner les "amis", ce qu'il fit trĂšs bienPendant la guerre d'AlgĂ©rie, il s'occupait bien aussi du FLN qui cherchait Ă  se procurer des armes en RFA. Les relations De Gaulle - Adenauer l'amĂšneront Ă  mettre la pĂ©dale douce de ce cĂŽtĂ©-lĂ  ... peut-on supposer ... et encore ! IP archivĂ©e AFFICHE N° 9TERNER DURO !tenez bon .!A mesure que la menace d'un dĂ©barquement alliĂ© en Italie se prĂ©cise , , les slogans fascistes appellent plus impĂ©rieusement Ă  lamobilisation gĂ©nĂ©rale de la population contre les anglo -saxons., ennemis de l' Europe rĂȘvĂ©e par Hitler et Mussolini . Mais derriĂšre ce raidissement apparent , le rĂ©gime est Ă©branlĂ© ; les dignitaires fascistes se partagennt entre deux courants ceux qui avec Grandi , Clano et Bottai veulent Ă  tout prix retirer l'Italie de la guerre , et ceux comme Farinacci veulent la consolider Ă  la vie Ă  la mort avec l' Allemagne . ************************AFFICHE N° 93NON MOLLEREMO !Nous ne cĂ©derons pas !Affiche Ă©ditĂ© par la fĂ©dĂ©ration fasciste de Rome pour informer la population de la rĂ©ponse faite par le Duce Ă  l' exigence de capitulation sans condition imposĂ©e par les puissances de L'AXE par Churchill et Rosswelt Ă  l'issue de la confĂ©rence de Casablanca .Mais malgrĂ© les slogans bellicistes , l'invasion de la Sicile voit la dĂ©bandade des dirigeants italiens et la redditionde nombreux gĂ©nĂ©raux aprĂšs un simulacre de dĂ©fense . ROMMEL Ă  qui on demande s' il connaĂźt un leader fasciste capable de galvaniser la rĂ©sistance et de sauver la coopĂ©ration italo - allemande rĂ©pond ! ******************************AFFICHE N° 94ECCO IL NEMICO !Voici l' ennemi !Quelques minutes aprĂšs la proclamation radiodiffusĂ©e de l' armistice italien , HITLER dĂ©clenche l' opĂ©ration ACHSE les troupes italiennes sont dĂ©sarmĂ©es , , celles qui rĂ©sistent sont dĂ©truites . Les Allemands rĂ©organisent la PĂ©ninsule ! Le haut- Adige , et la VĂ©nĂ©tie - Julienne sont placĂ©es sous l' autoritĂ© de Gauleiter . Le reste du pays est divisĂ© en une zone opĂ©rationnelle soumise aux commandements des armĂ©es , et en une zone d' occupation .L' ancien alliĂ© devient alors le plus implacable des adversaires , multipliant les exĂ©cutions sommaires de tous ceux qui appliquent les consignes du gouvernement Badoglio ou de la rĂ©sistance italienne . ************************** Ă  SUIVRE ...... IP archivĂ©e Les faits sont sacrĂ©s , les commentaires sont libres . S/O. ADN 40 . Affiche 94 ou l'art de retourner la veste et le pantalon, Ă  la prochaine rĂ©volution, comme chantait Dutronc Par la mĂȘme occasion, Ă©vĂ©nement peu connu, malgrĂ© la "tendresse qui le liait Ă  Benito ! , le caporal Fureur en profite pour "remettre de l'ordre" dans son ancienne patrie le Haut-Adige redevient le Tyrol du SudBizarrement, aujourd'hui, ses habitants sont satisfaits de leur statut et ne veulent plus en changer, ce qui prouve que les Italiens savent aussi nĂ©gocierUne visite dans la rĂ©gion est, aujourd'hui, des plus agrĂ©ables, pas comme en 1943 ! IP archivĂ©e AFFICHE N° 95 Tout ce qui est tombĂ© de la charrette est fichu . Les slogans rĂ©vĂšlent profondĂ©ment l' Ăąme d' un peuple , car ils sont faits de mots qui peuvent le mieux la toucher . Ce dicton rural plein de malice et de bonhomie , appliquĂ© avec humour Ă  l' arme la plus rĂ©volutionnaire de la seconde guerre mondiale , les parachutistes , montre bien que le peuple soviĂ©tique pensait avant tout Ă  son " isba " natale lorsqu' il se battait comme l' a Ă©crit Erhenbourg . ImprĂ©gnĂ© de verve terrienne , l' Ă©crivain soviĂ©tique utilise d' ailleurs les mots d' un campagnard pour exprimer l' incomprĂ©hension des jeunes gens devant la longueur de la Guerre . !!!!! **********************AFFICHE N° 96PANZER ... , deine Waffe !Les BlindĂ©s .... ton arme ! .L' armĂ©e blindĂ©e allemande sur laquelle Hitler fait reposer la dĂ©cision de la guerre , reçoit une puissante impulsion lorsque en janvier 1943 ,Guderian en devient le grand maĂźtre En Juillet le FĂ»hrer , la lance inconsidĂ©rĂ©ment dans une offensive que GudĂ©rian dĂ©sapprouve car il redoute qu' elle se heurte aux blindĂ©s soviĂ©tiques utilisĂ©s dĂ©fensivement . C ' est ce qui se produit Ă  KOURSK oĂč se dĂ©roule la plus grande bataille de chars de la deuxiĂšme guerre mondiale . elle met aux prises plus de 4500 engins blindĂ©s et chenillĂ©s . **************************AFFICHE N°97Wuen ??? It's up to You !Quand ??? C' est votre affaire .!Depuis Juillet 1942 , les Etats Unis accomplissent d' immenses prĂ©paratifs en Angleterre en vue d' effectuer des bombardements diurnes sur l' Allemagne . Dans le mĂȘme temps le Bomber Command britannique multiplie les raids nocturnes sans toutefois parvenir Ă  remplir l' objectif que les alliĂ©s se sont assignĂ© paralyser le III Ăšme Reich .De la coordination de leur action dĂ©pend l' exĂ©cution du plan de guerre pour 1943 , dĂ©veloppĂ© Ă  Casablanca jeter une quan
5 montrez que cette affiche révÚle le point de vue des nazis à l'égard de l'urss. «l'affiche allemande de recrutement pour la waffen ss (1943)» Total de réponses: 1 Montrez les réponses, Une autre question sur Histoire. Histoire, 24.10.2019 02:52. Boujours je voudrais savoir ce qui c'est passé pendnat la bataille de marignant et la cause de la bataille merci. Answers: 1.
Enfant, ma grand-mĂšre me soufflait une chanson que je prenais pour une comptine futile Vous n’aurez pas l’Alsace et la Lorraine,Et malgrĂ© nous, nous resterons Français,Vous avez pu germaniser la plaine,Mais notre cƓur, vous ne l’aurez jamais. » [Thierry Gloris, scĂ©nariste] Comme il le souligne dans le prĂ©ambule de cet album, le moyen d’expression de l’auteur, nĂ© en 1974 en Franche ComtĂ©, est la dramaturgie. Il a donc Ă©crit cette histoire dans l’Histoire sous la forme d’une pure il y a les faits. En 1942, Le Gauleiter Wagner, chef de l'administration civile en Alsace s'efforce depuis deux ans d'inciter le plus grand nombre possible d'Alsaciens Ă  se porter volontaires pour la Waffen-SS ou la Wehrmacht. Mais les rĂ©sultats du volontariat ne sont pas Ă  la hauteur des attentes du Chancelier vient l'invention. En 1942, Louis Fisher n'a pas 21 ans. Son pĂšre a perdu un bras pour l’Allemagne en 1917, son frĂšre est mort pour la France en 1940. Depuis que l’Alsace a Ă©tĂ© annexĂ©e de fait et de force au IIIĂšme Reich, la germanisation de la province est en marche. Et Louis - Ludwig -, assiste, impuissant Ă  l’inĂ©luctable est Ă©tudiant, entre ses livres et sa famille, et en dĂ©pit de la guerre, il tente de vivre. Sans faire de vagues, comme le lui martĂšle son pĂšre. Qui lui-mĂȘme tente de protĂ©ger sa famille... Louis est romantique, exaltĂ©, amoureux. D’Annette Lux. Annette, ou comment en plein conflit, la grĂące a trouvĂ© un nom ». Il supporte de moins en moins l’endoctrinement, les brimades. L’alsacien est tolĂ©rĂ©, le haut allemand imposĂ©. Parler français devient un acte terroriste. L’universitĂ© est mise en coupe rĂ©glĂ©e et est souvent le théùtre de sĂ©ances d’invitations », de sessions de recrutement Ă  venir grossir les rangs de la SS pour aller combattre sur le front russe. © Louis est amoureux, mais l’histoire dĂ©cidera tout autrement de sa destinĂ©e. Et il se verra incorporĂ© de force, aprĂšs un odieux chantage. Il deviendra Panzergrenadiere SS. Un jour de 1942, l’incorporation des Alsaciens et des Lorrains sera promulguĂ©e. DĂ©sormais, il ne sera plus Gloris et Marie Terray signent avec MalgrĂ© Nous, un rĂ©cit sensible Ă  la croisĂ©e de l’histoire et de la fiction. Ils mĂȘlent subtilement romance et faits rĂ©els pour faire resurgir, faire ressentir, au travers du destin du jeune Louis-Ludwig, ce douloureux Ă©pisode de l’histoire de Ă  l’Allemagne prussienne aprĂšs la dĂ©faite de 1870, rĂ©intĂ©grĂ©e Ă  la RĂ©publique en 1919 suite Ă  la ratification du traitĂ© de Versailles, l’Alsace aura connu alternativement et successivement germanisation et francisation forcĂ©es et maladroites. Le destin des MalgrĂ©-nous » formule que dĂšs 1920, des associations d'anciens combattants alsaciens et lorrains de la Grande guerre employĂšrent pour mettre en avant le fait qu'ils avaient dĂ» se battre dans l'armĂ©e allemande contre la France est illustrĂ© de maniĂšre rĂ©aliste et romanesque par Marie Terray avec une palette de couleurs lĂ©gĂšres et pĂ©nĂ©trantes. Et abordĂ© ici avec une volontĂ© affichĂ©e de servir un devoir de mĂ©moire. © A l’heure oĂč le dĂ©bat sur l’identitĂ© nationale dĂ©chaĂźne les passions, il est intĂ©ressant de voir MalgrĂ© Nous, Elsaß, une bande dessinĂ©e, raconter le destin d’un jeune homme en quĂȘte de sa personnalitĂ©, de son identitĂ©, face au chaos de l’histoire dans un pays en guerre. Une fiction, certes, qui n’a pas la prĂ©tention de faire Ɠuvre historique ni de relater par le dĂ©tail et l’exactitude, le drame des MalgrĂ©-nous’, ni de l’Alsace en particulier ». Mais qui veut faire percevoir une rĂ©alitĂ© bien singuliĂšre de notre hexagone », comme le dit encore son MalgrĂ© Nous, Elsaß © Thierry GLoris / Marie Terray - Soleil Quadrants MalgrĂ© Nous, Tome 1, Elsaß, de Thierry Gloris et Marie Terray, Soleil, 10 € 50
. 213 179 96 355 302 422 194 380

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