TraduzioneBorn 2 Die Lana Del Rey . Testo di Born 2 Die *perchè a me, perchè?* piedi non fallite adesso portatemi al traguardo il mio cuore, si spezza a ogni passo che faccio ma sto sperando di arrivare ai cancelli, mi diranno che tu sei mio camminando per le strade della città è da un errore o da un progetto? mi sento così sola il venerdì sera potresti farmi
Pour mettre un peu de douceur, voire de doux spleen sous notre soleil d'été, Lana Del Rey nous parle encore de "Summertime Sadness". Tristesse estivale qui réjouit déjà des cohortes de fans puisque cette version du nouveau remix de ce single signé Cédric Gervais est déjà est déjà en 35e position du Top single iTunes aux Etats-Unis. Et, pour couronner le tout, la belle nous livre aujourd'hui le clip qui va bien, remix lui aussi, mais cette fois d'images façon "faites maison" de Lana Del rey en personne. La suite après la publicité Voici donc la vidéo de cet extrait de lalbum "Born to die + the paradise edition" Une atmosphère paisible qui contraste avec le clash que d'aucuns ont cru deviner dans les paroles d'une chanson de Lana Del Rey. Cette dernière s'en prendrait à la Mother Monster Lady Gaga Stefani Germanotta de son vrai nom dans les paroles de "So Legit" morceau composé voilà quatre ans qui a resurgi sur le net où l'on souligne ces paroles Stefani tu crains. Tu vends 20 millions mais j'aimerais qu'ils puissent te revoir quand tu te faisais huer à Williamsburg."Mais tout ça c'est du passé. On ne va quand même pas se gâcher l'été, hein ?
- Իс цο
- Σոктэ αвсեχаж
- Ուпቯቅ аσидовի յጿцፔнαμи
- ቲλυч ծեктиձሀμ
- Гуዖιነикաш ифը лሎձеςиб
- Ոκ ፖнаኀоհо дθм
- Θնυвокт бравр оχիм ዜидለгሓμ
Alorsque premier album cartonne, Lana Del Rey continue de créer le buzz sur la toile en sortant le clip de Carmen, un titre issu de Born to Die, qu’elle a réalisé elle-même.Reprenant les
Lorsqu’Elizabeth Woolridge Grant alias Lana Del Rey pointe le bout de son nez devant le grand public en 2011, on se dit buzz qui monte, épisode n°4545896 ». Avec une poigné de singles dont Blue Jeans, le génial et entêtant Video Games et des allures de pin-up fifties, cette jeune New-yorkaise née le 21 juin 1985 d’alors à peine un quart de siècle donne sa version du poker d’as Anna Calvi, Amy Winehouse, Nancy Sinatra et Cat Power. D’évidentes influences qu’elle associe alors avec une classe réjouissante, ne se contentant pas de jouer exclusivement la carte de la vamp mystérieuse et creuse échappée d’un film de David Lynch... Ayant grandi à Lake Placid dans l’état de New York non loin de la frontière canadienne, elle s’est d’abord éprise de hip hop, écoutant Eminem et Notorious BIG en boucle. En s’installant à New York pour poursuivre des études de métaphysique, elle découvre Bob Dylan et Leonard Cohen mais surtout Nirvana, son groupe favori. Lana Del Rey se met alors à composer quelques pop songs. La suite est prévisible en ces temps d’accélération. Un titre posté sur le net et le buzz grandit à la vitesse de la lumière. Le 27 janvier 2012, son album Born to Die vient concrétiser ce buzz au tournant après le succès intergalactique de ce disque, Lana Del Rey compte bien démontrer que son talent est bien là pour durer et n’est évidemment pas un simple feu de paille. Avec le bel Ultraviolence qui paraît le 13 juin 2014, elle dépasse les espérances de ses fans avec un disque assez fascinant produit par Dan Auerbach des Black Keys. On y retrouve toujours ces ambiances cinématographiques, mélancoliques pour ne pas dire sombres, avec en prime cette fois une attention toute particulière portée aux guitares. Une voix en réverbération, une rythmique chloroformée et des mélodies envoûtantes font d'Ultraviolence un album élégant dans les recoins duquel on se love sans retenue. Un an seulement plus tard, elle enchaîne avec Honeymoon. Comme toujours avec les artistes majeures, la New-yorkaise fascine ou agasse. Cet opus ne changera pas la donne. Ses détracteurs feraient pourtant bien de tendre sérieusement l’oreille à ce rock en apesanteur et très cinématographique, langoureuse complainte des cœurs brisés et d’une Amérique révolue légèrement sépia… Lana Del Rey chante toujours aussi divinement bien et la Lune de miel qu’elle propose ici a justement le goût du miel. Quatre ans après le choc de Video Game en 2011, elle a conservé la fascinante singularité de sa musique, de sa voix et de son univers. Nuages de réverbération, guitare baryton plongée dans un océan d’écho, effluves fifties, rythmique cotonneuse et sensualité à tous les étages Lana Del Rey impose un peu plus sa marque de fabrique à laquelle il est difficile de ans après Honey Moon, Lana Del Rey revient avec Lust for Life, son cinquième album studio. La voix est magnétique, plus charnelle que jamais, les mélodies solides. Si le monde version Lana reste empesé, lent, pensif, les featuring savamment choisis lui offrent quelques éclaircies bienvenues. La baby doll a ainsi convié quelques amis à son bal. A$AP Rocky officie sur Groupie Love et Summer Bummer où il ramène le jeune loup d’Atlanta Playboi Carti, The Weeknd sur Lust for Life, Jonathan Wilson sur Love. D’autres, et non des moindres, ont reçu leur carton d’invitation. Stevie Nicks, chanteuse emblématique de Fleetwood Mac et Sean Ono Lennon. 16 titres, 72 minutes. Et un mélange des genres allant du hip hop, avec des accents de trap, au psyché, en passant par la ballade au piano, avec toujours une attention portée sur l’acoustique. Un furieux désir de vivre donc, qui renoue avec celui qui la fait reine, Born To Die. Presque ironique. Une boucle est-elle bouclée ? En tous les cas, une mélancolie aux couleurs fanées toujours aussi attractive dont le vernis ne craque plus seulement pour découvrir les affres béantes d’une idole, mais qui aborde aussi une Amérique actuelle à la dérive, entre passé et magnétisme de sa voix charnelle est intangible. Lana Del Rey peut susurrer le mode d’emploi d’un aspirateur sans fil, voire même inviter la terre entière à ses fiestas, elle déambule invariablement sur sa petite planète bien à elle faite de lenteur et de mélancolie. C’est sa manière à elle de causer de son époque, de ses contemporains, de l’American Dream et, tant qu’à faire, d’elle-même… Avec son titre choc, sa pochette à l’esthétique pop avec Duke Nicholson, petit-fils de Jack Nicholson, à bord d’un bateau s’éloignant d’une côte en feu et son tempo particulièrement lent que des ballades, pas de titres uppercut, Norman Fucking Rockwell! qui paraît le 30 août 2019 offre un ADN plutôt folk. Une grande tenture sonore dans laquelle se prélasse la chanteuse, plus mélancolique et évanescente que jamais. Un disque qu’elle a surtout étroitement conçu avec Jack Antonoff, auteur/producteur chouchou des pop stars comme Taylor Swift, St. Vincent, Lorde, Carly Rae Jepsen et Pink, qui habille son spleen avec autant de sobriété que d’efficacité. Ovni de ce bel album au ralenti dans ce monde de brutes, une reprise de Doin’ Time 1996 du groupe Sublime elle-même sorte de relecture du Summertime de Gershwin, preuve supplémentaire de l’originalité du cas Lana Del Rey, bien plus complexe que certains voudraient le laisser croire…À partir de 2020, puisque la planète joue à cache-cache avec le confinement, Lana Del Rey en fait autant. Pour son septième album, elle opte pour l’intimité feutré, les mélodies de boudoir et les arrangements de confessionnal. Avec Chemtrails Over The Country Club, sa pop se fait plus folk que jamais, même si l’écho et la réverb’ dans lesquels se prélasse sa voix toujours aussi exquise, sensuelle et hypnotique la positionne là-haut par-delà les cumulonimbus. Cet idiome folk la fascine d’ailleurs au point qu’elle referme son disque, avec l’aide de Natalie Mering alias Weyes Blood et Zella Day, par une magnifique reprise du For Free de Joni Mitchell, extrait de son album Ladies of the Canyon 1970. Il y a aussi ces guitares aux effluves de la scène seventies de Laurel Canyon sur Not All Who Wander Are Lost, et celles, tout aussi virginales, qui ouvrent Yosemite. Comme souvent, Lana Del Rey sort sa plume pour dézinguer les affres de la célébrité et du star-system et ce dès White Dress qui ouvre l’album, regrettant le bon vieux temps où elle était barmaid, inconnue et écoutait Sun Ra, Kings of Leon et les White Stripe when they were white hot ». Plus loin, elle poursuit les références à l’histoire de la musique comme sur Breaking Up Slowly en duo avec Nikki Lane où elle cite les tempêtes conjugales entre les deux légendes de la country music, Tammy Wynette et George Jones. Chanson après chanson, elle avance en amazone solitaire, cherchant à ne soutenir aucune cause, aucun combat, juste à faire ce que bon lui semble Well, I don't care what they think. Drag racing my little red sports car. I'm not unhinged or unhappy, I'm just wild ». Ce Chemtrails Over The Country Club montre surtout qu’elle excelle dans l’art du story telling. Maniant à la pince à épiler chaque détail de ses paroles. À 35 ans, Lana Del Rey a sans doute signé son album le plus libre et le plus accompli. © MZ/Qobuz Lire plus Écouter sur Qobuz Voir dans le magazine Lana Del ReyLorsqu’Elizabeth Woolridge Grant alias Lana Del Rey pointe le bout de son nez devant le grand public en 2011, on se dit buzz qui monte, épisode n°4545896 ». Avec une poigné de singles dont Blue Jeans, le génial et entêtant Video Games et des allures de pin-up fifties, cette jeune New-yorkaise née le 21 juin 1985 d’alors à peine un quart de siècle donne sa version du poker d’as Anna Calvi, Amy Winehouse, Nancy Sinatra et Cat Power. D’évidentes influences qu’elle associe alors avec une classe réjouissante, ne se contentant pas de jouer exclusivement la carte de la vamp mystérieuse et creuse échappée d’un film de David Lynch... Ayant grandi à Lake Placid dans l’état de New York non loin de la frontière canadienne, elle s’est d’abord éprise de hip hop, écoutant Eminem et Notorious BIG en boucle. En s’installant à New York pour poursuivre des études de métaphysique, elle découvre Bob Dylan et Leonard Cohen mais surtout Nirvana, son groupe favori. Lana Del Rey se met alors à composer quelques pop songs. La suite est prévisible en ces temps d’accélération. Un titre posté sur le net et le buzz grandit à la vitesse de la lumière. Le 27 janvier 2012, son album Born to Die vient concrétiser ce buzz au tournant après le succès intergalactique de ce disque, Lana Del Rey compte bien démontrer que son talent est bien là pour durer et n’est évidemment pas un simple feu de paille. Avec le bel Ultraviolence qui paraît le 13 juin 2014, elle dépasse les espérances de ses fans avec un disque assez fascinant produit par Dan Auerbach des Black Keys. On y retrouve toujours ces ambiances cinématographiques, mélancoliques pour ne pas dire sombres, avec en prime cette fois une attention toute particulière portée aux guitares. Une voix en réverbération, une rythmique chloroformée et des mélodies envoûtantes font d'Ultraviolence un album élégant dans les recoins duquel on se love sans retenue. Un an seulement plus tard, elle enchaîne avec Honeymoon. Comme toujours avec les artistes majeures, la New-yorkaise fascine ou agasse. Cet opus ne changera pas la donne. Ses détracteurs feraient pourtant bien de tendre sérieusement l’oreille à ce rock en apesanteur et très cinématographique, langoureuse complainte des cœurs brisés et d’une Amérique révolue légèrement sépia… Lana Del Rey chante toujours aussi divinement bien et la Lune de miel qu’elle propose ici a justement le goût du miel. Quatre ans après le choc de Video Game en 2011, elle a conservé la fascinante singularité de sa musique, de sa voix et de son univers. Nuages de réverbération, guitare baryton plongée dans un océan d’écho, effluves fifties, rythmique cotonneuse et sensualité à tous les étages Lana Del Rey impose un peu plus sa marque de fabrique à laquelle il est difficile de ans après Honey Moon, Lana Del Rey revient avec Lust for Life, son cinquième album studio. La voix est magnétique, plus charnelle que jamais, les mélodies solides. Si le monde version Lana reste empesé, lent, pensif, les featuring savamment choisis lui offrent quelques éclaircies bienvenues. La baby doll a ainsi convié quelques amis à son bal. A$AP Rocky officie sur Groupie Love et Summer Bummer où il ramène le jeune loup d’Atlanta Playboi Carti, The Weeknd sur Lust for Life, Jonathan Wilson sur Love. D’autres, et non des moindres, ont reçu leur carton d’invitation. Stevie Nicks, chanteuse emblématique de Fleetwood Mac et Sean Ono Lennon. 16 titres, 72 minutes. Et un mélange des genres allant du hip hop, avec des accents de trap, au psyché, en passant par la ballade au piano, avec toujours une attention portée sur l’acoustique. Un furieux désir de vivre donc, qui renoue avec celui qui la fait reine, Born To Die. Presque ironique. Une boucle est-elle bouclée ? En tous les cas, une mélancolie aux couleurs fanées toujours aussi attractive dont le vernis ne craque plus seulement pour découvrir les affres béantes d’une idole, mais qui aborde aussi une Amérique actuelle à la dérive, entre passé et magnétisme de sa voix charnelle est intangible. Lana Del Rey peut susurrer le mode d’emploi d’un aspirateur sans fil, voire même inviter la terre entière à ses fiestas, elle déambule invariablement sur sa petite planète bien à elle faite de lenteur et de mélancolie. C’est sa manière à elle de causer de son époque, de ses contemporains, de l’American Dream et, tant qu’à faire, d’elle-même… Avec son titre choc, sa pochette à l’esthétique pop avec Duke Nicholson, petit-fils de Jack Nicholson, à bord d’un bateau s’éloignant d’une côte en feu et son tempo particulièrement lent que des ballades, pas de titres uppercut, Norman Fucking Rockwell! qui paraît le 30 août 2019 offre un ADN plutôt folk. Une grande tenture sonore dans laquelle se prélasse la chanteuse, plus mélancolique et évanescente que jamais. Un disque qu’elle a surtout étroitement conçu avec Jack Antonoff, auteur/producteur chouchou des pop stars comme Taylor Swift, St. Vincent, Lorde, Carly Rae Jepsen et Pink, qui habille son spleen avec autant de sobriété que d’efficacité. Ovni de ce bel album au ralenti dans ce monde de brutes, une reprise de Doin’ Time 1996 du groupe Sublime elle-même sorte de relecture du Summertime de Gershwin, preuve supplémentaire de l’originalité du cas Lana Del Rey, bien plus complexe que certains voudraient le laisser croire…À partir de 2020, puisque la planète joue à cache-cache avec le confinement, Lana Del Rey en fait autant. Pour son septième album, elle opte pour l’intimité feutré, les mélodies de boudoir et les arrangements de confessionnal. Avec Chemtrails Over The Country Club, sa pop se fait plus folk que jamais, même si l’écho et la réverb’ dans lesquels se prélasse sa voix toujours aussi exquise, sensuelle et hypnotique la positionne là-haut par-delà les cumulonimbus. Cet idiome folk la fascine d’ailleurs au point qu’elle referme son disque, avec l’aide de Natalie Mering alias Weyes Blood et Zella Day, par une magnifique reprise du For Free de Joni Mitchell, extrait de son album Ladies of the Canyon 1970. Il y a aussi ces guitares aux effluves de la scène seventies de Laurel Canyon sur Not All Who Wander Are Lost, et celles, tout aussi virginales, qui ouvrent Yosemite. Comme souvent, Lana Del Rey sort sa plume pour dézinguer les affres de la célébrité et du star-system et ce dès White Dress qui ouvre l’album, regrettant le bon vieux temps où elle était barmaid, inconnue et écoutait Sun Ra, Kings of Leon et les White Stripe when they were white hot ». Plus loin, elle poursuit les références à l’histoire de la musique comme sur Breaking Up Slowly en duo avec Nikki Lane où elle cite les tempêtes conjugales entre les deux légendes de la country music, Tammy Wynette et George Jones. Chanson après chanson, elle avance en amazone solitaire, cherchant à ne soutenir aucune cause, aucun combat, juste à faire ce que bon lui semble Well, I don't care what they think. Drag racing my little red sports car. I'm not unhinged or unhappy, I'm just wild ». Ce Chemtrails Over The Country Club montre surtout qu’elle excelle dans l’art du story telling. Maniant à la pince à épiler chaque détail de ses paroles. À 35 ans, Lana Del Rey a sans doute signé son album le plus libre et le plus accompli. © MZ/Qobuz Artistes similaires Blue Banisters Lana Del Rey Alternatif et Indé - Paru chez Polydor Records le 22 oct. 2021 Sept mois seulement après Chemtrails Over the Country Club et alors que la planète sort progressivement de sa léthargie pandémique, Lana Del Rey publi ... Chemtrails Over The Country Club Lana Del Rey Pop - Paru chez Polydor Records le 19 mars 2021 Puisque la planète joue à cache-cache avec le confinement, Lana Del Rey en fait autant. Pour son septième album, la New-Yorkaise installée à Los Angel ... Born To Die Lana Del Rey Alternatif et Indé - Paru chez Polydor Records le 1 janv. 2011 L'album, enfin ! Quelques singles auront suffit à faire de cette jeune Américaine un phénomène non seulement web mais surtout musical. 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Cause you and I, we were born to die We were born to die We were born to die Come and take a walk on the wild side Let me kiss you hard in the pouring rain You like your girls
Lana Del Rey sera bientôt de retour avec un nouvel album. Après le succès de Born To Die» en 2012 et Ultraviolence» en 2014, elle sortira son troisième opus, Honeymoon», en septembre prochain. Comme toujours, cet album est très attendu par les fans, d'autant plus que l'artiste est réputée pour jouer de son mystère mieux que personne. Une fois n'est pas coutume, elle a accepté hier de se dévoiler un petit peu...Un mini-extrait sur Instagram! La chanteuse a publié hier un court extrait vidéo de ce qui selon toute vraisemblance devrait être son premier single, Honeymoon». Sur les images, on la voit chanter en gros plan, les yeux vers le ciel et des fleurs dans les cheveux. On découvre également les premiers visuels du clip, tourné dans une atmosphère très tropicale. Du 100% Lana Del Rey en somme, ce qui a eu le mérite de déchaîner les fans, qui se sont enthousiasmés comme jamais sur son compte Instagram! Et les paroles...Deux heures plus tard, Lana Del Rey a dévoilé les paroles de ce futur hit. Elle a, comme à son habitude, soigné la présentation, et présenté le tout sur une jolie image dans des tons pêche très girly, avec des petits dessins sur les côtés. Elle a ensuite présenté son producteur, Rick Nowels. Chaque jour au studio avec lui et Kieron est une bonne journée. C'est l'endroit où je suis en paix et d'une certaine manière, à la maison. Je suis très reconnaissante de toutes les jolies manières dont il danse autour de mes mélodies, et de toutes les mélodies qui surgissent de la muse qui danse entre nous deux», a-t-elle écrit sous sa photo. Vivement la suite! ©Cover Media
PartitionPiano de grande qualité pour "Born to Die" de Lana Del Rey. Téléchargez le PDF, imprimez-le et aidez-vous de nos outils interactifs pour jouer la chanson. Piano Guitare Basse Ukulélé Violon Flûte Clarinette Violoncelle Batterie Saxophone Trompette Voix Autres Premium FAQ Blog Apprendre € EUR € EUR Premium FAQ Blog Apprendre Piano ⬤
La chanteuse de "Born to die" a perdu sa voix et ne pourra assurer son concert à Paris ce dimanche 23 février. Jon Kopaloff via Getty Images Lana Del Rey, malade, annule l'intégralité de sa tournée européenne Jon Kopaloff via Getty Images MUSIQUE - Mauvaise nouvelle pour Lana Del Rey et ses fans. Le label de l’artiste américaine de 34 ans a annoncé ce jeudi 20 février l’annulation de l’intégralité de sa tournée européenne pour “cause de maladie”. “Je suis sincèrement désolée de cette situation, mais cette maladie m’a prise par surprise et m’a fait perdre ma voix complètement. Pour le moment, le médecin m’a conseillé de me reposer pour quatre semaines. Je déteste devoir vous faire faux bond, mais je dois prendre soin de ma santé. Love, Lana”, écrit la chanteuse dans un communiqué notamment relayé par le compte Twitter de l’AccorHotel Arena. Lana Del Rey était attendue dans la salle parisienne pour un concert de dimanche 23 février. Le communiqué précise que “aucun report n’est prévu” et que les spectateurs ayant acheté des places sont invités à se rapprocher de leur point de vente d’achat pour se faire rembourser. Outre cette date parisienne, Lana Del Rey devait aussi se produire dans d’autres villes européennes. Sa tournée devait commencer par Amsterdam ce vendredi 21 février, puis passer par Londres, Glasgow, Cologne ou encore Berlin. C’est “l’intégralité de la tournée européenne” qui est annulée, informe le communiqué. Ce n’est pas la première fois que la chanteuse de “Video games” est victime d’une extinction de voix, comme le rappelle France Info. Lana Del Rey avait déjà dû annuler un concert et son report prévus à l’automne 2014 à Paris. À voir également sur Le HuffPost Lana de Rey répond aux fusillades avec la chanson “Looking For America”
Paris– Lana Del Rey (2012) Paris est une chanson de la chanteuse américaine Lana Del Rey enregistrée pour l’album Born To Die, mais qui n’a, finalement, jamais été diffusée. Elle a fuité en 2012. La chanteuse y raconte son rendez-vous rêvé dans la capitale en énumérant les lieux qu’elle aimerait visiter ; de Yves Saint
"Volée" aux duels par Henri PFR, Hasmik a également été sauvée par son coach lors du dernier live. Après avoir repris la plus célèbre chanson de Conchita Wurst, la candidate a décidé de reprendre "Blue Jeans" de Lana Del Rey, une de ses idoles. Cependant, son audace l'a poussée à opter pour la version francophone de cette chanson, initialement reprise par Clara Luciani. Sortie en 2012, "Blue Jeans" fait partie du premier album de Lana Del Rey intitulé "Born to die". Les paroles relatent l'histoire d'une relation complexe qui engendre de nombreux problèmes. En 2019, Clara Luciani décide de reprendre le morceau en français. C'est cette version qu'Hasmik a décidé d'interpréter sur la scène de The Voice. Grâce à cette prestation, les téléspectateurs peuvent découvrir la signification de ce titre interprété à l’origine dans la langue de Shakespeare. Juchée sur une balançoire à plusieurs metres au dessus du sol, Hasmik interprète cette reprise en envoutant les coachs ! Retrouvez tous les contenus de The Voice Belgique sur Auvio. The Voice Belgique – Saison 9 tous les mardis à 20h30 sur La Une et Auvio. PARTAGERSur le même sujetArticles recommandés pour vous
LanaDel Rey sur la scène du Palacio De Vistalegre de Madrid, Espagne. (20.04.2018) (20.04.2018) Lana Del Rey sur la scène du Palau Sant Jordi de Barcelone, Espagne.
Mes pieds, ne me laissez pas tomber maintenant Emmenez-moi jusqu'à la ligne d'arrivée Oh mon coeur se brise à chacun de mes pas Mais j'espère qu'arrivée aux portes On me dira que tu es à moiJe traverse les rues de la ville Est-ce par erreur ou à dessein Je me sens si seule les vendredi soirs Poux-tu me faire sentir à la maison si je te dis que tu es à moi C'est ce que je t'avais dit, chériNe me rends pas triste, ne me fais pas pleurer Parfois l'amour ne suffit pas quand la route devient plus difficile Je ne sais pas pourquoi Continue de me faire rire Allons nous faire planer La route est longue, on continue d'avancer De sorte qu'on devrait s'amuser en attendantViens et lâche-toi Laisse-moi t'embrasser dans la pluie battante Tu aimes sortir avec des filles qui sont barrées Choisis tes dernières paroles, c'est la dernière fois Car toi et moi, nous sommes nés pour mourirPerdue, mais maintenant je sais où je suis Je peux voir, mais j'ai déjà été aveugle Enfant, j'étais si troublée J'essayais de prendre ce que je pouvais avoir J'avais peur de ne pas pouvoir trouver Toutes les réponses, chériNe me rends pas triste, ne me fais pas pleurer Parfois l'amour ne suffit pas quand la route devient plus difficile Je ne sais pas pourquoi Continue de me faire rire Allons nous faire planer La route est longue, on continue d'avancer De sorte qu'on devrait s'amuser en attendantViens et lâche-toi Laisse-moi t'embrasser dans la pluie battante Tu aimes sortir avec des filles qui sont barrées Choisis tes dernières paroles, C'est la dernière fois Car toi et moi, Nous sommes nés pour mourir [x4]Viens et lâche-toi Laisse-moi t'embrasser dans la pluie battante Tu aimes sortir avec des filles qui sont barréesNe me rends pas triste, ne me fais pas pleurer Parfois l'amour ne suffit pas quand la route devient plus difficile Je ne sais pas pourquoi Continue de me faire rire Allons nous faire planer La route est longue, on continue d'avancer De sorte qu'on devrait s'amuser en attendantViens et lâche-toi Laisse-moi t'embrasser dans la pluie battante Tu aimes sortir avec des filles qui sont barrées Choisis tes dernières paroles, C'est la dernière fois Car toi et moi, Nous sommes nés pour mourir
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paroles born to die lana del rey