Forum Bricolage Jardin - Assainissement - VRD andre171 Messages 166EnregistrĂ© le 23 Juil 2007 1029 Bonjour, Ce matin, j'ai achetĂ© un litre d'herbicide Clinic Ace dont notice ci-aprĂšs Sur base de cette derniĂšre, j'en arrive Ă considĂ©rer que pour traiter au pulvĂ©risateur Ă dos 10 mÂČ il faut diluer 4ml d'herbcide dans 0,3 litre d'eau. Cette quantitĂ© d'eau me paraĂźt bien faible pour traiter 10mÂČ, de sorte que je me permets de demander vos avis sur les proportions en cause ! jacmat Messages 2132EnregistrĂ© le 03 Jan 2009 1844 par jacmat » 09 Mar 2012 2217 bonjour, ton calcul est bon, car il faut 4 litres pour 10000 m2, soit 4000mlSi tu divises par 1000 pour atteidre tes 10 m2 il te faut donc 4 ml c est a peu prĂšs les mĂȘmes proportions que pour le roundup bonsoir! je planifie de traiter les plantes de mon jardin 45mÂČ et je me demandais s'il Ă©tait plus judicieux de faire appel Ă un professionnel car je ne suis pas un bon jardinier!! la question c'est ou le trouver ?? par » 25 Mar 2012 1539 et vous avez fait comment depuis ?? j'ai fait appel aux services d'un professionnel via une annonce Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 5 invitĂ©s
Largespectre d'action sur diffĂ©rents types de gazon. DOSE. DĂ©couvrez la quantitĂ© d'herbicide par litre d'eau avec le dosage adaptĂ© de TERTER : Pour le contrĂŽle de herbes annuelles et faciles supprimer, 125ml pour chaque sac Ă dos de 15 litres. (ml/ mÂČ). En cas de herbes difficiles ou vivaces, 250ml par sac Ă dos.
Navigation des articles Jean-Claude Pierre nâest pas un people ». Il cultive la simplicitĂ©. Depuis 40 ans, il enchaĂźne les confĂ©rences en Bretagne sur le dĂ©veloppement durable. AprĂšs plus de interventions, quatre livres et de multiples voyages, lâinfatigable militant associatif hausse le ton GaĂŻa, la terre, est en colĂšre. Lui aussi. Petit, son vert paradis des amours enfantines, câĂ©tait le LanguidouĂ©, une riviĂšre affluente du Leff 22. Le travail Ă la ferme lâĂ©tĂ©, la proximitĂ© des animaux, lui font dire encore aujourdâhui Jâai de la terre Ă mes sabots ». Tout cela lui rappelle aussi combien nous sommes en rupture avec le monde animal. En 1969, alors quâil se promĂšne avec sa fille, il voit des saumons agoniser dans une riviĂšre polluĂ©e par une papeterie. Cette dĂ©couverte marque le dĂ©but de son engagement. Il venait de lire Quelle terre laisserons-nous Ă nos enfants ? », de Barry Commoner. Sa force, il la tire aussi de son amitiĂ© avec Jacques de BollardiĂšre, ce gĂ©nĂ©ral breton qui sâest Ă©levĂ© contre la torture en AlgĂ©rie. Son combat Ă lui sera de sâopposer au conformisme, en lâoccurrence au culte du veau dâor », câest-Ă -dire le PIB, le profit⊠La plus grave des pollutions, câest lâindiffĂ©rence et la rĂ©signation », assĂšne-t-il. Porteur dâespĂ©rance Avec dâautres militants, il crĂ©e, en 1969, une association de dĂ©fense des saumons, qui deviendra Eau et riviĂšres, puis Nature et culture, le rĂ©seau CohĂ©rence et enfin lâInstitut de Silfiac. Mais celui qui a siĂ©gĂ© au Conseil Ă©conomique et social de Bretagne pendant dix ans accompagne aussi les acteurs qui cherchent Ă se rendre compte par eux-mĂȘmes des rĂ©alitĂ©s du terrain. Agriculteurs, politiques, techniciens, chefs dâentreprise participent Ă ses voyages dâĂ©tudes en Allemagne, Autriche, Suisse, Angleterre et dans dâautres rĂ©gions de France. Relocaliser lâĂ©conomie, diviser par quatre les consommations Ă©nergĂ©tiques, cultiver en prĂ©servant la qualitĂ© de lâeau et des sols autant dâexemples et dâalternatives Ă proposer. On nâa pas le droit dâexacerber les peurs si lâon nâest pas porteur dâespĂ©rance ». CoopĂ©rer Aujourdâhui, la question qui rĂ©sume pour lui toutes les autres, câest la solidaritĂ©. Entre les hommes, dans lâespace et le temps et avec lâensemble du vivant. Dans un monde oĂč tout se voit et tout se sait, lâhumiliation et la frustration ne peuvent dĂ©boucher que sur la violence. La paix sociale implique un partage plus Ă©quitable des ressources ». Mais il prĂ©vient Si tout pousse Ă la compĂ©tition dĂšs lâenfance, qui va enseigner la coopĂ©ration ? Or, coopĂ©ration, synergie et mutualisation sont les vrais enseignements de la nature et de ses multiples Ă©cosystĂšmes ». Lâhomme responsable AprĂšs 40 ans de lutte, le militant, adepte farouche de la non-violence, concĂšde Je suis scandalisĂ© par lâindiffĂ©rence de nos concitoyens face Ă la dĂ©gradation de la planĂšte. Alors que tous les clignotants sont au rouge et que la communautĂ© scientifique est formelle pour Ă©tablir une relation entre lâactivitĂ© humaine et cette dĂ©gradation. Nous sommes entrĂ©s dans lâĂšre de lâanthropocĂšne ». Lâhomme est devenu une force gĂ©ophysique en partie responsable du devenir de la planĂšte. Le cocktail entre rĂ©chauffement climatique, Ă©rosion de la biodiversitĂ© et aggravation des inĂ©galitĂ©s est, selon lui, explosif. Il faut agir sur ces trois flĂ©aux en mĂȘme temps ». Jean-Claude Pierre, loin dâĂȘtre dĂ©sabusĂ©, compte modestement les victoires contre le nuclĂ©aire, des projets de barrages ou des installations de piscicultures gĂ©antes. Oui, le regard de lâopinion a changĂ© ». Partout oĂč il va prĂ©senter la ville du futur », son dernier montage qui rassemble les exemples les plus parlants dâurbanisation rĂ©ussie, les gens ont la pĂȘche », rayonne-t-il. Lui aussi. 1937. Naissance, en fĂ©vrier, le mois des sources et du signe du poisson » sic !. 1969. Cofondateur de lâAssociation pour la protection du saumon et de la truite en Bretagne et en Basse-Normandie 500 membres en 1977. 1970. DĂ©but des chantiers bĂ©nĂ©voles de nettoyages des riviĂšres. 1983. Cofondateur dâEau et RiviĂšres. 1994. Ălu breton de lâannĂ©e par Le TĂ©lĂ©gramme. 1997. Cofondateur du rĂ©seau CohĂ©rence qui regroupe une centaine dâorganisations en Bretagne. 2008. Cofondateur de lâInstitut de Silfiac. Carole Le BĂ©chec Le TĂ©lĂ©gramme Collectif dâassociations paysannes et Ă©cologistes Lettre ouverte Ă Monsieur StĂ©phane Le Foll, Ministre de lâagriculture, de lâagroalimentaire et de la ForĂȘt pour que les annonces sur lâagro-Ă©cologie ne restent pas lettre morte. Monsieur le ministre, Face aux inquiĂ©tudes de la sociĂ©tĂ© française pour la qualitĂ© de son alimentation et ses attentes dans les domaines de lâagriculture, de la santĂ© et de lâenvironnement, le gouvernement français lançait il y a un an un projet de transformation de lâagriculture le projet agro-Ă©cologique pour la France ». Votre ministĂšre en a donnĂ© une dĂ©finition suffisamment large pour ne pas heurter certains intĂ©rĂȘts et pour mobiliser des soutiens divers parmi les agriculteurs et les acteurs de la recherche agronomique et du dĂ©veloppement agricole. MĂȘme sĂ©duisant, ce projet peine encore Ă susciter lâadhĂ©sion de la sociĂ©tĂ© civile. Ce projet agro-Ă©cologique comporte de multiples facettes et a pour ambition de concilier performances Ă©conomique, environnementale et sociale. Pour ce faire, deux leviers sont identifiĂ©s la politique agricole commune rĂ©formĂ©e et la Loi dâavenir pour lâagriculture, lâalimentation et la forĂȘt. DerriĂšre les mots, chacun y trouverait son compte mais selon nous, la cohĂ©rence nây est pas, et certains objectifs agro-Ă©cologiques semblent se soumettre Ă lâobsession de compĂ©titivitĂ© des filiĂšres agricoles. Pour mettre en Ćuvre cette triple performance, entendons-nous sur leur signification. Pour nos organisations, la performance Ă©conomique nâest ni la taille, ni les volumes produits, ni lâimportance du capital financier, ni le volume dâaides perçues, mais bien la capacitĂ© Ă crĂ©er de la valeur ajoutĂ©e. Selon nous, la performance sociale doit faire vivre des paysans nombreux une agriculture ne peut ĂȘtre Ă©conomiquement performante si elle repose sur de moins en moins de paysans. Or lâaspect social reste en jachĂšre des petits Ă©leveurs risquent dâĂȘtre exclus de certaines aides de la PAC, les aides du 2nd pilier de la PAC sont flĂ©chĂ©s sur la modernisation des bĂątiments dâĂ©levage et les soutiens Ă lâagrandissement, alors que la promotion de lâinstallation est encore insuffisante. Sur le plan environnemental, le projet chercherait Ă prolonger certains acquis du Grenelle de lâenvironnement, en amalgamant la rĂ©duction de la consommation des pesticides et des antibiotiques, le doublement des surfaces en agriculture biologique et du nombre dâapiculteurs. La monoculture de maĂŻs serait compatible avec le verdissement ! Mais le manque de cohĂ©rence est lĂ nĂ©gociant les derniers ajustements techniques de la PAC Ă Bruxelles, votre ministĂšre prĂ©pare une certification environnementale prĂ©voyant que la monoculture de maĂŻs serait compatible avec le verdissement et que des cultures utilisant pesticides et engrais minĂ©raux rentreraient dans les surfaces dâintĂ©rĂȘt Ă©cologique. De telles mĂ©thodes nâont clairement rien dâagro-Ă©cologique. Ni la PAC, ni la Loi dâavenir ne mettront en place de mesures permettant une rĂ©elle diminution de lâutilisation des pesticides. En revanche, le relĂšvement des seuils pour les installations classĂ©es augmentera celle des antibiotiques, dont la consommation est proportionnelle au nombre dâanimaux sur un mĂȘme site ! Par ailleurs, votre ministĂšre ne garantit pas la pĂ©rennitĂ© de lâaide au maintien de lâagriculture biologique. Comment les surfaces en agriculture biologique pourraient doubler en France sans soutien adĂ©quat et durable ? Le dĂ©veloppement de la mĂ©thanisation ne vise pas Ă orienter ces systĂšmes vers lâagro-Ă©cologie. Le but annoncĂ© serait de dĂ©charger les excĂ©dents azotĂ©s de lâĂ©levage industriel vers des zones de cultures tout aussi intensives, illusion techniciste. Ces usines Ă gaz entreront le plus souvent en concurrence avec la production alimentaire, appauvriront les sols en carbone, les fragilisant, et gĂ©nĂ©reront de nouvelles pollutions par lâammoniac ou le dioxyde dâazote. DĂšs lors, oĂč est lâagro-Ă©cologie mise en avant â et que nous soutenons â dans lâarticle premier de la Loi dâavenir, comme privilĂ©giant lâautonomie des exploitations agricoles et lâamĂ©lioration de leur compĂ©titivitĂ©, en diminuant la consommation dâĂ©nergie, dâeau, dâengrais, de produits phytopharmaceutiques et de mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires, en particulier les antibiotiques » ? Si nous partageons lâobjectif visant Ă âproduire autrement en agricultureâ, nous insistons sur lâimpĂ©rieuse nĂ©cessitĂ© dâĂ©valuer autrement la performance Ă©conomique, sociale et environnementale. Les critĂšres dâĂ©valuation standards basĂ©s sur la seule productivitĂ© Ă lâhectare ou sur les volumes sont obsolĂštes, puisquâils ne prennent en compte ni la disparition des emplois agricoles, ni les subventions injectĂ©es, ni la dĂ©gradation des ressources naturelles, ni les Ă©missions de gaz Ă effet de serre. A propos de lâagriculture biologique que vous avez intĂ©grĂ©e Ă lâambition agro-Ă©cologique, vous affirmez quâelle serait moins productive. Ce nâest pas le cas dans des agro-systĂšmes cohĂ©rents rotation longue, prĂ©sence de matiĂšres organiques, etc.. Le solde productif export moins intrants Ă lâhectare en tonne Ă©quivalent pĂ©trole par exemple est souvent supĂ©rieur Ă celui de lâagriculture conventionnelle. Une ambition agro-exportatrice basĂ©e sur lâaugmentation des volumes ne peut lĂ©gitimer le productivisme Ă tout crin. De plus, les exportations agricoles et agroalimentaires françaises dĂ©pendent fortement des intrants importĂ©s aliments du bĂ©tail, fertilisants, pesticides⊠et des subventions directes et indirectes de la PAC. Enfin en matiĂšre de politique commerciale, nous attirons votre attention sur une autre incohĂ©rence. Le gouvernement a refusĂ©, avec raison, dâautoriser un maĂŻs gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ© tolĂ©rant aux herbicides. Au mĂȘme moment, son ministre de lâEconomie, Pierre Moscovici plaidait en faveur dâune accĂ©lĂ©ration des nĂ©gociations sur lâaccord de libre-Ă©change et dâinvestissement entre lâEurope et les Ătats-Unis. Pour ces derniers, les objectifs en matiĂšre agricole sont clairs et destructeurs pour lâagriculture ouvrir davantage le marchĂ© europĂ©en y compris pour les cultures OGM, la viande aux hormones ou issue dâanimaux clonĂ©s, affaiblir les rĂ©glementations existantes en matiĂšre de pesticides notamment en donnant le droit aux multinationales dâattaquer les gouvernements qui adopteraient des lois contraires Ă leurs intĂ©rĂȘts. Selon nous, cette orientation libĂ©rale va donc Ă lâencontre des faibles acquis de la PAC rĂ©formĂ©e, du projet agro-Ă©cologique français et de la Loi dâavenir. Elle enterre tout espoir de projet politique europĂ©en au prĂ©texte dâun bĂ©nĂ©fice global mal Ă©valuĂ© et non discutĂ©. Les enjeux sont de taille si le gouvernement français veut dĂ©fendre son projet agro-Ă©cologique, il doit dâabord viser lâambition et la cohĂ©rence, et le mettre Ă jour Ă lâaune des incohĂ©rences que nous avons soulignĂ©es. Câest dans ces conditions que les organisations que nous reprĂ©sentons y contribueront activement. Veuillez recevoir monsieur le ministre, lâexpression de notre sincĂšre considĂ©ration. RenĂ© BECKER, PrĂ©sident de Terre de Liens Allain BOUGRAIN DUBOURG, PrĂ©sident de la LPO Jean-Marc BUREAU, PrĂ©sident de la FNCIVAM BenoĂźt DROUIN, PrĂ©sident du RĂ©seau Agriculture Durable Nicolas HULOT, PrĂ©sident de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et lâHomme StĂ©phen KERCKOVE, DĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral dâAgir Pour lâEnvironnement Jacques MARET, administrateur de E3D StĂ©phanie PAGEOT, PrĂ©sidente de la FNAB Pierre PERBOS, PrĂ©sident du RĂ©seau Action Climat Laurent PINATEL, Porte-parole de la ConfĂ©dĂ©ration Paysanne Xavier POUX, Administrateur du Forum EuropĂ©en pour la protection de la nature et le pastoralisme Joseph RACAPE, Administrateur de Dossiers et DĂ©bats pour un DĂ©veloppement Durable 4D François VEILLERETTE, Porte-parole de GĂ©nĂ©rations Futures Avec ce dispositif technocratique arbitraire et tĂ©nĂ©breux, nos enfants vont Ă nouveau devoir se lever et commencer lâĂ©cole de nuit comme en hiver. Suite Ă lâabsence de la lumiĂšre du jour, leur horloge centrale nâest pas en phase. Lâimpact nĂ©gatif dâune telle amplitude horaire sur la rĂ©ussite scolaire de nos enfants est bien rĂ©el. La MĂ©ridienne a de nouveau Ă©crit au ministre de la SantĂ© dans ce sens, lui suggĂ©rant dâimpulser une dynamique sur le rĂ©gime horaire actuel auprĂšs des ministres concernĂ©s Ăconomie, Ăducation, IntĂ©rieur, Travail, Famille, Environnement⊠pour mettre un terme Ă cette âaberration chronobiologiqueâ. Câest ce que demandent des dizaines de milliers de personnes selon les derniers sondages dâopinion et les signataires de pĂ©titions citoyennes mises en Ćuvre successivement de 2009 Ă 2012. Câest aussi pourquoi lâEspagne envisage de revenir Ă lâheure de son fuseau horaire origine. Le rapport approuvĂ© par le parlement espagnol, avec lâappui du Ministre de lâĂconomie, Luis de Guindos, dĂ©montre, entre autres mĂ©faits*, quâune heure trop avancĂ©e nuit au sommeil des Espagnols horloge centrale et Ă leur Ă©conomie. Il prĂ©cise que reculer les aiguilles nâa aucun coĂ»t et prĂ©sente de nombreux bĂ©nĂ©fices les mĂȘmes que ceux mis en avant par La MĂ©ridienne. Il faut, sans plus tarder, revenir Ă lâheure de notre fuseau horaire pour dormir mieux afin de vivre mieux et de travailler mieux, dans la vie publique et privĂ©e, dans lâentreprise, Ă lâhĂŽpital, Ă lâĂ©cole, dans la famille⊠Si lâon veut que les autres rĂ©formes aboutissent, câest la premiĂšre rĂ©forme Ă faire ! LA MĂRIDIENNE * Moins de qualitĂ© de vie et de temps passĂ© en famille, impact nĂ©gatif sur la productivitĂ©, stress burn out, absentĂ©isme, dĂ©penses dâĂ©nergie, accidents du travail, courbe du chĂŽmage, Ă©chec scolaire, etc, etc⊠sans parler des graves atteintes Ă lâenvironnement pollution de lâair. Beaucoup dâargent, dont les familles ont grand besoin, est gaspillĂ©. On nous fait croire que la prĂ©occupation de la sĂ©curitĂ© NuclĂ©aire est prise en compte en France⊠et pourtant, si vous voulez avoir une idĂ©e de la pollution radioactive Ă©ventuelle, en un point du territoire, Ă un moment donnĂ©, voici les moyens dont vous disposez selon que vous habitez Berne, Munich ou Angers⊠Pour la Suisse, une carte globale du territoire qui donne la valeur moyenne quotidienne des dĂ©bits de dose ambiants en nanosieverts Ă lâheureâŠpour un ensemble de 66 lieux rĂ©partis sur lâensemble du territoire, câest simple, clair, et la rĂ©solution Ă la journĂ©e permet de suivre une Ă©ventuelle pollution liĂ©e Ă un accident en Suisse ou dans un pays voisin⊠En quatre langues sâil vous plaĂźtâŠOn peut consulter pour chaque point suivi le chronogramme des mesures pour visualiser dâĂ©ventuelles variations plus rapides que sur un jour⊠Lien Pour lâAllemagne, une carte globale du territoire lĂ encore, qui donne la valeur moyenne quotidienne des dĂ©bits de dose ambiants en microsieverts Ă lâheure⊠pour un ensemble de 1 800 lieux rĂ©partis sur lâensemble du territoire, câest simple, clair, et la rĂ©solution Ă la journĂ©e etc.. On peut lĂ aussi suivre les variations Ă lâheure en cliquant sur un point quelconque ⊠on obtient le graphe des valeurs moyennes horaires en ”Sv/h⊠pour le point considĂ©ré⊠Lien LĂ encore en deux langues, allemand et anglais⊠Pour la France⊠tapez dans google âmesures de radioactivitĂ©â, vous trouverez le site et tomberez sur ActualitĂ©s. 26 AoĂ»t 2013 sic!!! câest dire la fraĂźcheur des infos sur ce site⊠Vous cliquez sur âLa carte des mesuresâ et tombez sur une carte de France, avec des petits signes, et en bas Ă droite âcarte des 1 231 689 mesuresâ ! Fichtre ! Mais pas moyen dâavoir dâun coup dâoeil rapide une idĂ©e de la pollution radioactive actuelle sur les X points reprĂ©sentĂ©s⊠Il faut aller chercher lâinformation pour un point dĂ©terminĂ©, pas de vision globale pratique⊠Ce serait trop simple !!! Je sĂ©lectionne donc CNPE Centrale NuclĂ©aire de Production dâElectricitĂ© de St Laurent des Eaux, aprĂšs avoir rĂ©glĂ© le zoom adĂ©quat pas Ă©vident, je tombe sur cette page Cliquant sur un point bleu proche de ladite centrale, je tombe sur cette page, relative Ă des mesures sur lâeau, alpha global en Becquerel par litre, cours dâeau non identifiĂ©, 6 mesures datent de 2009 et une de 2010, depuis plus rien !!! Les chiffres sont trĂšs petits, ou Ă©videmment avec un tel choix dâunitĂ© !!! Ăa câest de la surveillance efficace !!! revenu Ă la carte, Ă©chelle adĂ©quate, je clique sur le symbole reprĂ©sentant le CNPE de St Laurent des Eaux, je tombe sur la page suivante qui est relative enfin Ă quelque chose de semblable Ă ce que font nos voisins, Ă savoir le dĂ©bit de dose ambiant en micro sievert par heure, mais lĂ pas de carte globale, il sâagit de mesures âvalablesâ pour St Laurent des eaux. Allons voir de plus prĂšs ces mesures⊠Sont annoncĂ©s deux producteurs et 2533 mesures⊠Nous sommes en Mars, nous ne disposons au mieux sur la page 1/64 que des mesures faites en FĂ©vrier 2014, les autres pages Ă©tant les rĂ©sultats antĂ©rieurs, remontant jusquâen 2009⊠Je pense immĂ©diatement Ă Fukushima et au 11 Mars 2011, que va dĂ©tecter le systĂšme de mesure de lâASN Ă ces dates??? Facile RIEN. Conclusion Rideau⊠Dormez tranquilles braves gens, EDF & AREVA veillent sur leurs profits⊠Bernard P AFRIQUE du SUD â OGM Monsanto Ă nouveau condamnĂ© pour publicitĂ© non fondĂ©e » Les paysans indiens se mettent en rĂ©seau pour lutter contre lâappropriation de la biodiversitĂ© cultivĂ©e et les OGM RĂ©emploi câest bon pour la planĂšte, câest bon pour le business ! Lâinitiative citoyenne pour le droit Ă lâeau acceptĂ©e par la Commission europĂ©enne NuclĂ©aire la prolongation des centrales nâest pas acquise, insiste lâASN Ces bonnes nouvelles sont dans la revue de presse dâhier Elles doivent nous inciter Ă continuer Ă nous mobiliser mĂȘme quand le doute nous assaille. NuclĂ©aire Ă©nergie dâavenir ? Votre mobilisation a permis de faire passer de 73% de Oui Ă 64% de Non BRAVO la Bourgogne est la cinquiĂšme collectivitĂ© française Ă rĂ©pondre â ou Ă devancer â lâappel DĂ©clarons nos communes hors Tafta », publiĂ© le 14 mars par le collectif unitaire national contre le traitĂ©. Au nom du libre-Ă©change, les poulets de Bresse vont-ils cĂ©der la place aux volailles amĂ©ricaines lavĂ©es Ă la Javel? Merci de contribuer Ă faire pression sur vos collectivitĂ©s car beaucoup de nos combats communs dĂ©pendent de notre capacitĂ© Ă faire capoter ce projet dâaccord transatlantique. 1 Abandon du projet dâabattoir de Gueret Le projet dâabattoir sans Ă©tourdissement de GuĂ©ret est abandonnĂ© ! IMPORTANT ! La manifestation du 29 mars prochain, Ă GuĂ©ret, est maintenue ! Voir le texte complet du communiquĂ© du NARG en archives 2 Sentier de Beg Meil ouverture aprĂšs lâĂ©tĂ© 3 Bilan dâĂ©tape de la mobilisation âStop Ă lâĂ©touffement des paysansâ OĂč en sommes-nous ? La nouvelle annĂ©e sâest ouverte sur les premiers rĂ©sultats de notre action. Avec la premiĂšre lecture de la Loi dâAvenir Agricole LAAF en janvier puis lâadoption dĂ©finitive de la loi contrefaçons le 26 fĂ©vrier, nous avons gagnĂ© une reconnaissance partielle de lâexception agricole et alimentaire gĂ©nĂ©rale » que nous rĂ©clamons, notre mobilisation doit continuer jusquâĂ sa reconnaissance totale ! La dĂ©sobĂ©issance des paysans, contre un cadre lĂ©gal illĂ©gitime, est lĂ©gitime A de trĂšs rares exceptions prĂšs les variĂ©tĂ©s reproductibles inscrites au catalogue qui conditionne lâautorisation de commercialiser des semences sont protĂ©gĂ©es par un Certificat dâObtention VĂ©gĂ©tale COV. Les brevets sur leurs caractĂšres et ceux des animaux se multiplient. Les prĂ©parations naturelles produites Ă la ferme PNPP, levains, levures, ferments⊠peuvent Ă©galement ĂȘtre soumises Ă des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelles Ă travers le dĂ©veloppement de brevets sur les micro-organismes ou les substances chimiques. Celles qui sont qualifiĂ©es de produit phytopharmaceutiques » sont de fait interdites dâutilisation et de commercialisation dĂšs quâelles ne sont pas protĂ©gĂ©es par un brevet. En renforçant, les moyens pour lutter de maniĂšre indiffĂ©renciĂ©e contre la contrefaçon de tous types de droit de propriĂ©tĂ© intellectuelle, le projet de base de la loi contrefaçon de novembre 2013 Ă©tait une menace importante pour les paysans qui produisent leurs semences, leurs animaux reproducteurs et leurs prĂ©parations naturelles. Vous avez soutenu la mobilisation du Collectif Semons la BiodiversitĂ© et de ses partenaires sur ces enjeux qui concernent deux textes juridiques lâun, la loi pour lâAvenir de lâAgriculture, de lâAlimentation et de la ForĂȘt LAAF est encore Ă©tudiĂ©e par les parlementaires, alors que le second, la loi contre les contrefaçons, a Ă©tĂ© adoptĂ© dĂ©finitivement le 26-02. Des avancĂ©es sont effectives grĂące Ă votre soutien mais la mobilisation reste dâactualitĂ©. Pour cela signez la cyber action actualisĂ©e LE BILANVers un dĂ©tricotage de lois beaucoup trop favorables aux obtenteurs ⊠Lors de la premiĂšre lecture de la LAAF dĂ©but janvier , cinq nouveaux articles ont Ă©tĂ© introduits les paysans pourront Ă©changer leurs semences de variĂ©tĂ©s non protĂ©gĂ©es par un COV, ce qui facilitera les sĂ©lections et la conservation de semences paysannes libres de droit de propriĂ©tĂ© », les paysans qui produisent leurs semences de ferme1 ne seront plus obligĂ©s de sâenregistrer, les accords interprofessionnels destinĂ©s Ă prĂ©lever les royalties sur les semences de ferme devront ĂȘtre approuvĂ©s par des organisations dâagriculteurs ayant recueilli plus de 70 % des voix aux Ă©lections professionnelles, la suppression de la protection du brevet en cas de prĂ©sence fortuite dâune information gĂ©nĂ©tique brevetĂ©e dans des plantes les paysans dont les cultures seraient contaminĂ©es par des caractĂšres gĂ©nĂ©tiques brevetĂ©s pourront vendre librement leur rĂ©colte, les Ă©leveurs garderons la libertĂ© dâacheter des reproducteurs ailleurs que dans des Ă©levages certifiĂ©s. Le SĂ©nat doit encore confirmer ces avancĂ©es, restons mobilisĂ©s pour quâil ne fasse pas marche arriĂšre ! Restait la contrefaçon il est Ă©vident quâavec une telle menace, aucun transformateur nâachĂšterait une rĂ©colte sans la garantie quâelle est issue de semences certifiĂ©es ou de semences de ferme ayant acquittĂ© les royalties exigĂ©es. Le 21 janvier 2014, en point dâorgue de la vaste campagne de sensibilisation organisĂ©e par le Collectif Semons la BiodiversitĂ©, la ConfĂ©dĂ©ration paysanne sâinstallait dans les locaux parisiens de lâinterprofession semenciĂšre GNIS pour obtenir une exception agricole » Ă lâapplication de la loi sur la contrefaçon. Quelques heures aprĂšs, le Ministre de lâagriculture promettait de lui donner satisfaction. Le 4 fĂ©vrier, les dĂ©putĂ©s votaient deux amendements, le premier dĂ©clarant que lâutilisation des semences de ferme des 21 espĂšces dĂ©rogatoires ne constitue pas une contrefaçon », le deuxiĂšme que la loi sur la lutte contre la contrefaçon nâest pas applicable aux semences de ferme de toutes les espĂšces ». Cela a Ă©tĂ© confirmĂ© par le vote dĂ©finitif de la loi contrefaçon le 26 fĂ©vrier. ⊠pour une premiĂšre victoire politique Ă transformer ! Dâun point de vue technique, il sâagit de nouveaux clous enfoncĂ©s dans lâapplication des droits des obtenteurs Les semences de ferme des 21 espĂšces dĂ©rogatoires ne sont plus des contrefaçons. Certes la loi oblige encore le paysan Ă payer des royalties, mais les obtenteurs ont perdu tous les moyens juridiques de lutte contre les contrefaçons qui leur auraient permis de les rĂ©cupĂ©rer. La promesse dâaccords interprofessionnels ou de dĂ©crets en Conseil dâĂtat quâon attend depuis plus de deux ans nous dira sâils en trouveront dâautres. Ăa ne fait aprĂšs tout que 43 ans quâils les cherchent⊠Pour les autres espĂšces, les semences de ferme restent des contrefaçons interdites, mais lĂ encore les obtenteurs ont perdu un puissant levier juridique ils ne pourront pas faire pression sur les acheteurs des rĂ©coltes en les menaçant de saisie et de destruction des rĂ©coltes quâils ont achetĂ©es. Et les seuls moyens qui nâont pas Ă©tĂ© abrogĂ©s car issus de lois prĂ©cĂ©dentes huissiers, saisies de document administratifs chez les paysans⊠ont dĂ©jĂ fait la preuve de leur inefficacitĂ©. Avec cette loi contrefaçon, les paysans ont renforcĂ© leurs moyens de continuer Ă dĂ©sobĂ©ir aux lois sur les COV et les brevets sur le vivant beaucoup trop favorables aux multinationales des semences. Câest le meilleur moyen de pouvoir continuer Ă lutter pour les abroger article aprĂšs article. Les membres du collectif Semons la BiodiversitĂ© sây emploieront dĂšs les prochaines discussions françaises sur la loi sur lâAvenir de lâAgriculture, de lâAlimentation et de la ForĂȘt LAAF et les prochaines discussions europĂ©ennes sur le COV, le brevet, la commercialisation des semences, la santĂ© des vĂ©gĂ©taux et le contrĂŽle de la chaĂźne alimentaire. 1 reproduction des semences produites par lâindustrie semenciĂšre Dans CĂŽtĂ© Quimper Alain Uguen votera pluriel Alain Uguen votera pluriel Son idĂ©e dâorganiser une primaire entre les forces de gauche nâa pas eu dâĂ©cho. Quinze jours avant le 1er tour des Ă©lections municipales, le QuimpĂ©rois Alain Uguen lance lâinitiative du vote pluriel. LâidĂ©e est de mettre deux bulletins dans la mĂȘme enveloppe. Ce qui permet aux Ă©lecteurs dâindiquer les listes quâils souhaitent voir gĂ©rer la ville, explique le militant Ă©cologiste, non encartĂ©. Le vote pluriel est aussi un moyen de lutter contre lâabstention. » Lui, câest certain, se fera plaisir. Il espĂšre tout de mĂȘme faire le meilleur score possible pour inviter les listes concernĂ©es Ă regarder de prĂšs le dĂ©pouillement. Pour lâheure, il va diffuser son idĂ©e sur internet et mĂȘme coller des affiches sur les panneaux Ă©lectoraux en place depuis le dĂ©but de semaine Ă Quimper. Pour rappel, tout de mĂȘme, le vote pluriel tel que le dĂ©finit Alain Uguen sera considĂ©rĂ© comme nul. Du 10 au 14 mars, se tient Ă Bruxelles le quatriĂšme cycle de la nĂ©gociation du partenariat transatlantique de commerce et dâinvestissement PTCI entre lâUnion europĂ©enne et les Etats-Unis. Le manque de transparence et le contenu mĂȘme des nĂ©gociations de cet accord prĂ©occupent les et des plateformes dâassociations, de syndicats, dâONG, de partis et dâorganisations de consommateurs se crĂ©ent partout en Europe pour mener campagne contre ce projet dâaccord. Les collectivitĂ©s locales sâassocient Ă©galement Ă la dynamique les rĂ©gions Ile-de-France, PACA et la municipalitĂ© de Besançon ont rĂ©cemment adoptĂ© des dĂ©clarations demandant lâarrĂȘt des nĂ©gociations du grand marchĂ© transatlantique et se dĂ©clarant symboliquement zone hors PTCI». Redoutant ces mobilisations citoyennes dâampleur contre lâaccord, le Commissaire europĂ©en au commerce, Karel de Gucht, a annoncĂ© une consultation de trois mois sur le volet investissement des nĂ©gociations. Mais cette consultation est loin de satisfaire aux exigences dâun vrai dĂ©bat dĂ©mocratique et des fuites confirment nos inquiĂ©tudes concernant le trĂšs controversĂ© mĂ©canisme de rĂšglement des diffĂ©rends investisseur-Ătat. Ă lâoccasion de ce nouveau cycle de nĂ©gociations,de nombreuses initiatives seront organisĂ©es cette semaine par les cadres unitaires opposĂ©s au TAFTA les 11 et 12 mars, Ă Bruxelles premiĂšre rĂ©union transatlantique des mouvements, Ă lâinitiative de Seattle to Brussels Network, Rosa-Luxemburg â Stiftung Brussels Office, Citizens Trade Campaign, Coalition of Sensible Safeguards, ARC2020, Forum Umwelt & Entwicklung. Les reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile europĂ©enne et Ă©tats-unienne se rĂ©unissent pour adopter une agenda commun de mobilisation -> Lors de cette rĂ©union sera rendue publique une dĂ©claration commune de la sociĂ©tĂ© civile europĂ©enne *** le 12 mars Ă 14h, Ă Bruxelles confĂ©rence du collectif Altersommet sur le PTCI *** 13 mars Ă 10h00, Ă Bruxelles rassemblement devant la DG Commerce, Ă lâinitiative du collectif Altersommet et de D19 Des membres du collectif français seront prĂ©sent-es Ă Bruxelles pour participer Ă ces diffĂ©rentes initiatives. En France et en Europe, nous sommes mobilisĂ©s et unis pour que ce projet de traitĂ© ne puisse pas voir le jour! Nous ne pouvons accepter que la dĂ©mocratie soit laissĂ©e aux mains des entreprises transnationales et des marchĂ©s financiers. Organisations membres du collectif âStop Taftaâ Au niveau national Agir pour lâenvironnement, Aitec-Ipam, Les Alternatifs, Amis de la confĂ©dĂ©ration paysanne, Amis de la Terre, Attac, CADTM France, Cedetim, Colibris, Collectif citoyen les engraineurs, Collectif des associations citoyennes, Collectif Roosevelt, ConfĂ©dĂ©ration paysanne, Convergence citoyenne pour la transition Ă©nergĂ©tique, Convergences et alternative, Copernic, Economistes atterrĂ©s, Ecologie sans frontiĂšres, Ensemble, Europe Ă©cologie les verts, Faucheurs volontaires, FĂ©dĂ©ration Nationale Accueil Paysan, FĂ©dĂ©ration pour une alternative sociale et Ă©cologique, Fondation sciences citoyennes, France AmĂ©rique Latine, FSU, GAĂŻA SOS planĂšte en danger, Gauche anticapitaliste, GĂ©nĂ©rations futures, Golias, Jeunes Ă©cologistes, Mouvement de la paix, Mouvement des objecteurs de croissance, MPEP, NPA, la Nouvelle Ă©cole Ă©cologiste, Objectif transition, Parti de gauche, PCF, RĂ©seau action climat, RĂ©elle dĂ©mocratie maintenant IndignĂ©-e-s, RĂ©seau environnement santĂ©, collectif Semons la biodiversitĂ©, Solidaires national, Solidaires douanes, Syndicat national des arts vivants, UFISC, Utopia Au niveau local Collectifs locaux anti-gaz de schiste Orb Taurou, Anduze, PĂ©zenas, Castelneau de Guers, Clapiers, SĂšte, Bassin de Thau, Vigan, Briard, Florac, MontĂ©limar DrĂŽme Sud, Orb-Jaur, Roynac, Toulon, BĂ©ziers, Campagnan, Haut-Bugey, Narbonnais, CorbiĂšres, Causse MĂ©jean, Jaujac-ArdĂšche-Lignon, Pays cigalois, Littoral 34, ArdĂšche, Ain, Pays de Savoie et de lâAin, RĂ©seau Rhonalpin, Jura, IsĂšre, Lot-et-Garonne, RhĂŽne, Var, Vaucluse, Houille-ouille-ouille 59/62, Ăcolectif DĂ©gaze Gignac et Environs 34, Montpellier Littoral contre les gaz, pĂ©trole de schiste! et Basta Gaz AlĂšs, Garrigue-Vaunage, Collectif de Vigilance Gaz de Gardanne, Touche pas Ă mon schiste, Non aux forages dâhydrocarbures Haut-Jura, Carmen ChĂąteau-Thierry, ARPE 69, collectif anti-OGM 31 Les Instances EuropĂ©ennes travaillent-elles pour lâagro-industrie? Ces derniers jours les Ă©lĂ©ments Ă charge se multiplient. A premiĂšre vue le rejet par le Parlement europĂ©en ce mardi 11 mars de la proposition de rĂšglement de la Commission europĂ©enne sur la commercialisation des semences et plants peut sembler aller dans le bon sens. Mais nâoublions pas quâentre temps câest la rĂ©glementation actuelle qui sâapplique, celle qui restreint de maniĂšre inacceptable les droits des paysans dâĂ©changer leurs semences et dâaccĂ©der Ă la biodiversitĂ© cultivĂ©e. Nâoublions pas non plus que ce rĂšglement fait partie dâun paquet » lĂ©gislatif qui comprend 4 autres propositions de rĂšglement ContrĂŽles, SantĂ© des Plantes, SantĂ© Animale et Cadre Financier le Parlement europĂ©en doit aussi les rejeter. Ces textes, particuliĂšrement dangereux, gĂ©nĂ©ralisent les auto-contrĂŽles sous contrĂŽles officiels ». Ce qui se prĂ©pare, câest en fait la privatisation du systĂšme de contrĂŽle public non seulement des semences, de la santĂ© animale et vĂ©gĂ©tale, mais aussi de toute la chaĂźne alimentaire. Sans contrĂŽle public, lâagro-industrie devra se contrĂŽler elle-mĂȘme câest ce qui a permis Ă lâentreprise Spanghero de commercialiser des lasagnes contenant de la viande de cheval Ă la place de bĆuf. Mais les mĂ©faits de ce paquet lĂ©gislatif ne sâarrĂȘteraient pas aux scandales alimentaires les petits artisans et paysans qui ne pourront pas respecter les normes et le coĂ»t de ces auto-contrĂŽles faits sur mesure pour lâagro-industrie, seront Ă©liminĂ©s. Au mĂȘme moment, la Commission et le Conseil se concertent sur la meilleure maniĂšre pour lâEurope dâautoriser les OGM refusĂ©s par la majoritĂ© des citoyens et des Ătats. Un rapport trĂšs favorable Ă une utilisation accrue des pesticides et des biotechnologies brevetĂ©es en agriculture vient dâailleurs dâĂȘtre validĂ© par le Parlement. Pour la ConfĂ©dĂ©ration paysanne, le Parlement europĂ©en qui sera Ă©lu en mai devra empĂȘcher les cultures de plantes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©es, refuser lâouverture du marchĂ© aux semences brevetĂ©es, et informer clairement le consommateur sur toutes les manipulations gĂ©nĂ©tiques des plantes. Il est urgent que les instances europĂ©ennes reconnaissent enfin le droit des paysans et des jardiniers dâĂ©changer leurs semences, et ouvrent largement le marchĂ© des semences Ă toute la biodiversitĂ© disponible sans la contraindre par les normes imposĂ©es par lâindustrie. Navigation des articles
Pouratteindre la dose journaliĂšre critique, il faudrait boire quotidiennement quelque 80 baignoires dâeau (10â000 litres). Les agriculteurs ne sont pas des empoisonneurs Les professionnels de la terre sont des personnes responsables qui tiennent Ă la santĂ© de la population, de leur sol (on ne dĂ©truit pas son outil de travail!) et des eaux de surface et
Haut de pageDoses prĂ©conisĂ©es Le produit s'utilise Ă des doses variant de 1 Ă L/Ha selon les types de mauvaises herbes et leur stade de dĂ©veloppement consulter les tables de doses recommandĂ©es. L'Avis au JO du 8 octobre 2004 rĂ©glemente les quantitĂ©s maximales de glyphosate Ă appliquer par hectare et par de traitement Ă©poque, stade, seuil d'interventionTraiter sur des mauvaises herbes vertes saines, en condition poussante, et non recouvertes de rosĂ©e. En cas d'utilisation d'adjuvant rĂ©ducteur de dĂ©rive, veiller Ă utiliser une formulation sans effet antagoniste sur l'efficacitĂ© du produit. Pour plus d'information consulter BSI ou votre technicien. L'utilisation du produit doit se faire dans le cadre des bonnes pratiques agricoles Ne pas appliquer ce produit ou toute autre spĂ©cialitĂ© commerciale contenant du glyphosate au-delĂ des doses maximales dĂ©finies dans l'Avis au JORF 8 octobre 2004 et des conclusions de l'Evaluation Comparative du 30/09/2020. Traiter en dehors des pĂ©riodes de gel et des heures chaudes tempĂ©ratures comprises entre 1 et 30 °C et hygromĂ©trie supĂ©rieure Ă 50%. PrivilĂ©gier un traitement lorsque la tempĂ©rature se situe entre 12 et 25°C et l'hygromĂ©trie supĂ©rieure Ă 70%. Ne pas traiter en cas de risque de pluie imminente. Ne pas traiter si l'intensitĂ© du vent est supĂ©rieure Ă 3 sur l'Ă©chelle de Beaufort supĂ©rieur Ă 19 km/h. Eviter toute pulvĂ©risation ou embruns sur le feuillage des cultures voisines, en particulier en Ă©tĂ© ou en automne pour les plantations arbustives. Ne pas traiter les fossĂ©s en eau et les talus, bordures de champs ou pieds de clĂŽture situĂ©s le long des points d'eau. Afin de rĂ©duire et limiter la contamination des eaux de surface, mettre en place Ă l'Ă©chelle de la parcelle et/ou du bassin versant, des mesures de gestion appropriĂ©es telles que la mise en place de bandes enherbĂ©es et les restrictions d'utilisation dans les zones vulnĂ©rables. Conditions particuliĂšres en cultures pĂ©rennes. Pour la dĂ©vitalisation des souches de vignes, l'emploi de panneaux rĂ©cupĂ©rateurs est obligatoire et permet de dĂ©roger Ă l'application d'une zone non traitĂ©e par rapport Ă la zone non cultivĂ©e adjacente. Utiliser des dispositifs de protection de la vigne afin d'Ă©viter, lors du traitement, tout contact entre le produit pulvĂ©risĂ©, les grappes et les feuilles. Ne pas rĂ©colter les fruits ayant Ă©tĂ© en contact direct avec le sol ou ayant reçu le traitementAttention en cas de recours Ă des techniques culturales nouvellement mises en oeuvre par l'utilisateur ou prĂ©sentant une quelconque spĂ©cificitĂ©, l'utilisateur doit en informer son fournisseur avant toute utilisation du produit, afin que ce dernier puisse en vĂ©rifier la faisabilitĂ© avec le fabricant du de traitementPrĂ©paration des semis de printemps et d'automneL'utilisation du produit permet de se dĂ©barrasser en un seul passage de la plupart des mauvaises herbes annuelles et vivaces levĂ©es avant les semis de printemps et d'automne. Remarque Les rhizomes non repoussĂ©s non atteints par le traitement avec le produit seront susceptibles de lever rĂ©colte sur chaumes de toutes culturesLe produit s'utilise aprĂšs rĂ©colte de toutes les cultures, et permet de se dĂ©barrasser complĂštement de la plupart des mauvaises herbes annuelles et vivaces prĂ©sentes. Un seul passage avec ce produit remplace jusqu'Ă 4 passages la moisson des cĂ©rĂ©ales blĂ© tendre d'hiver, blĂ© dur, triticale, Ă©peautre, orge de printemps, orge d'hiver hors production de semencesLe produit permet d'Ă©liminer les dicotylĂ©dones et graminĂ©es vivaces, sensibles Ă un stade dĂ©veloppĂ© lorsque la sĂšve est descendante. Le produit pĂ©nĂštre par les parties vertes des plantes pour ĂȘtre vĂ©hiculĂ© par la sĂšve. Il n'est donc pas absorbĂ© par les cĂ©rĂ©ales Ă maturitĂ© la qualitĂ© du grain et des produits dĂ©rivĂ©s est Ă 60-80 cm au-dessus de l'infestation lorsque l'humiditĂ© du grain est infĂ©rieure Ă 25 %.Respecter un dĂ©lai avant rĂ©colte est de 7 maraichĂšresLe produit permet d'Ă©liminer toute vĂ©gĂ©tation indĂ©sirable plantes invasives, toxiques, sans rĂ©manence pour la culture maraĂźchĂšre suivante. L'usage en interculture maraĂźchĂšre, se pratique avant plantation et aprĂšs pas traiter avec ce produit sur substrat de sable ou de pas traiter sous serre ni au contact du et limitation de la pousse des jachĂšres et couvertsLe produit peut ĂȘtre utilisĂ© pour la destruction complĂšte de couverts ou jachĂšres semĂ©es ou spontanĂ©es, et Ă©viter les risques de repiquages dans la culture suivante. Pour les diffĂ©rents types de couverts d'interculture implantĂ©s en Zone VulnĂ©rables aux nitrates, respecter la rĂ©glementation en des vignes et vergersHormis les vignes installĂ©es en fortes pentes ou en terrasses, sols caillouteux, vignes-mĂšres de porte-greffes, le traitement doit ĂȘtre localisĂ© uniquement sous le traitement avec le produit ne doit pas toucher les ceps des vignes de moins de 2 ans, les Ă©corces des arbres Ă pĂ©pins de moins de 3 ans et celles des arbres Ă noyaux de moins de 4 tout contact de la bouillie herbicide avec les parties vertes ou non aoĂ»tĂ©es de la culture ainsi qu'avec les plaies non garantir la meilleure efficacitĂ© du traitement sur les flores complexes Ă gĂ©rer, veillez Ă appliquer le produit au stade optimal de sensibilitĂ© des adventices ex rosette pour l'Ă©rigĂ©ron. PrivilĂ©giez la mise en oeuvre du traitement aprĂšs un diagnostic de la flore prĂ©sente plutĂŽt qu'Ă pĂ©riode fixe du cycle En hiver, le traitement est Ă rĂ©aliser avant dĂ©bourrement de la En Ă©tĂ©, afin d'Ă©viter les contacts de la bouillie herbicide avec des parties sensibles, il peut ĂȘtre nĂ©cessaire de prĂ©parer la culture avant traitement Ă©bourgeonner, Ă©pamprer, supprimer les rejets de porte-greffe, relever et attacher la vigne si des ceps de vignesLa dĂ©vitalisation avec le produit est une solution unique permettant la destruction complĂšte des racines avant l'arrachage des des forĂȘts, dĂ©gagement et dĂ©vitalisationLe produit permet le contrĂŽle ou l'Ă©radication de la plupart des espĂšces indĂ©sirables en dĂ©vitalisation avec ce produit permet une destruction complĂšte des souches, et facilite ainsi leur HRAC9 - Absorption foliaire, vĂ©hiculĂ© par la sĂšve jusqu'Ă l'extrĂ©mitĂ© des racines et des rhizomes. Agit par blocage de la biosynthĂšse des acides aminĂ©s matĂ©riel, pressionLors de la pulvĂ©risation du produit, il est nĂ©cessaire de s'assurer de la bonne rĂ©partition des gouttelettes sur la surface foliaire des herbes visĂ©es. Les gouttelettes ne doivent ĂȘtre ni trop petites risque de dĂ©rive, ni trop grosses risque de ruissellement. Le matĂ©riel de pulvĂ©risation doit ĂȘtre adaptĂ©, rĂ©glĂ© et en bon Ă©tat de fonctionnement pour permettre une pulvĂ©risation l'emploiLIMITATION DES CAS D'APPARITION DE RESISTANCE Toute population d'adventices peut comporter des plantes naturellement plus tolĂ©rantes Ă certains modes d'action des herbicides, qui peuvent de fait prĂ©senter des baisses d'efficacitĂ©. Le glyphosate est classĂ© dans le groupe HRAC G. Certains biotypes de mauvaises herbes rĂ©sistantes aux herbicides de ce groupe G Lolium spp., Conyza sumatrensis ont Ă©tĂ© confirmĂ©s en France, en cultures pĂ©rennes. Afin de prĂ©venir les risques d'apparition de rĂ©sistances, nous recommandons de respecter les conditions optimales de traitement tempĂ©rature entre 12-25°C et une hygromĂ©trie>70%. En dehors de ces conditions, les adventices peuvent ĂȘtre stressĂ©es ou entrer en Ă©tat de dormance l'efficacitĂ© du produit pourrait ĂȘtre rĂ©duite et la plante susceptible de dĂ©velopper une tolĂ©rance Ă la substance active. Le stade optimal de traitement des adventices en-dehors de ce stade les plantes peuvent augmenter leurs capacitĂ©s de dĂ©toxification et ainsi limiter leur sensibilitĂ© Ă la substance active. A long terme, des individus rĂ©sistants se multiplient et une population qualifiĂ©e de rĂ©sistante » pourrait se dĂ©velopper. Les doses recommandĂ©es par adventice celles-ci ont Ă©tĂ© dĂ©finies aprĂšs plusieurs annĂ©es de tests et d'essais, elles font partie du dossier d'homologation et constituent une garantie d'efficacitĂ© du produit sur l'espĂšce si les conditions de traitement et le stade sont respectĂ©s. Un sous dosage peut entrainer une tolĂ©rance de la flore Ă la substance active, un sur dosage peut aussi entrainer des risques pour l'environnement. Le fabricant ne saurait ĂȘtre tenu responsable de l'absence d'efficacitĂ© de son produit sur des biotypes rĂ©sistants au glyphosate, non identifiĂ©s avant l'application du Eliminer les fonds de cuve conformĂ©ment Ă la rĂ©glementation en responsablesAVERTISSEMENT Toute reproduction totale ou partielle de cette Ă©tiquette est interdite. Respecter les usages, doses, conditions et prĂ©cautions d'emploi mentionnĂ©s sur l'emballage. Ils ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©s en fonction des caractĂ©ristiques du produit et des applications pour lesquelles il est prĂ©conisĂ©. Conduire sur ces bases la culture et les traitements selon la bonne pratique agricole en tenant compte, sous la responsabilitĂ© de l'utilisateur, de tous les facteurs particuliers concernant votre exploitation, tels que la nature du sol, les conditions mĂ©tĂ©orologiques, les mĂ©thodes culturales, les variĂ©tĂ©s vĂ©gĂ©tales, la rĂ©sistance des espĂšces... Le fabricant garantit la qualitĂ© du produit vendu dans son emballage d'origine et stockĂ© selon les conditions prĂ©conisĂ©es, ainsi que sa conformitĂ© Ă l'Autorisation de Mise sur le MarchĂ© dĂ©livrĂ©e par les autoritĂ©s compĂ©tentes françaises. Pour les denrĂ©es issues de cultures protĂ©gĂ©es avec cette spĂ©cialitĂ© et destinĂ©es Ă l'exportation, il est de la responsabilitĂ© de l'exportateur de s'assurer de la conformitĂ© avec la rĂ©glementation en vigueur dans le pays importateur
. 115 267 381 266 40 237 415 189
dosage de glyphosate pour 10 litres d eau