Dosage: 3-4.5 l/ha pour le renouvellement de prairies sans labour. Contre les adventices vivaces avant une rompue, appliquer 4.5 l/ha de Roundup PowerMax au plus tard 4 jours avant de labourer. Traitement plante par plante contre les vĂ©ratres et les rumex : 1 % (1 dl dans 10 l d'eau) avec la boille Ă  dos, 7.5 % avec l'appareil Rodoss avant Avoir un magnifique jardin, tout le monde en rĂȘve. Ainsi, on se lance dans un long processus de jardinage. Eh oui, prendre soin de son jardin ce n’est pas simple, cela nĂ©cessite plusieurs actions. Il faut planter des fleurs, tailler certaines plantes, tondre la pelouse, bref, on peut dire qu’il faut y mettre du cƓur. En revanche, Ă  quoi servirait de faire tout ça si on y laisse pousser des mauvaises herbes ? En effet, ce sont des plantes non dĂ©sirĂ©es qui viennent s’installer dans le jardin, alors il faut s’en dĂ©barrasser ! Pour ce faire, il existe des produits efficaces, car le faire Ă  la main peut s’avĂ©rer ĂȘtre une tĂąche trĂšs laborieuse. Il faudrait un dĂ©sherbant efficace Glyphosate 450 g/ l ultra concentrĂ© comme le capable d’exterminer toutes les mauvaises herbes. Toutes ses caractĂ©ristiques seront mises en exergue dans les lignes qui dĂ©sherbant ultra concentrĂ© puissant glyphosate 450 g/l est-il recommandĂ©?Bien sĂ»r! Et ceci est vĂ©rifiable Ă  travers plusieurs Ă©lĂ©ments on peut tout d’abord parler de sa puissance, c’est un produit trĂšs concentrĂ© qui agit puissamment sur les mauvaises herbes. Il agit sur une grande surface mĂȘme si on y met une petite quantitĂ©. De plus, il agit rapidement ; les rĂ©sultats sont visibles seulement aprĂšs quelques jours ; aussi, il n’élimine pas seulement un type d’herbe mais il convient Ă  diffĂ©rents types de plantes. Ce qui est vraiment apprĂ©ciable avec ce produit, c’est qu’aprĂšs l’avoir administrĂ© sur les mauvaises plantes, on peut recommencer le semis seulement aprĂšs 8 jours. Par contre, c’est un produit non seulement dangereux pour l’Homme mais aussi pour l’environnement. Il nĂ©cessite avant de l’utiliser de prendre des prĂ©cautions pour ainsi Ă©viter des incidents graves. Il reste nĂ©anmoins un produit trĂšs efficace pour lutter contre les herbes dĂ©sagrĂ©ables qui gĂąchent dans les espaces avantages et inconvĂ©niants du dĂ©sherbant ultra concentrĂ© puissant glyphosate 450 g/lPuissance extrĂȘmeRapiditĂ© d’actionAction sur tous les types de plantesSemis possible aprĂšs quelques jours seulementPrix abordableProduit nocif pour la santĂ©Dangereux pour l’environnementVoir le prix le plus basJe passe la plus grande partie de mon temps au travail, car je suis un autoentrepreneur. MalgrĂ© ça, je ne laisse pas tomber ma passion le jardinage. Et oui, peu importe ce que j’ai Ă  faire, je trouve toujours du temps pour m’occuper de mon jardin, j’aime bien le faire moi-mĂȘme. Mon jardin abonde de belles fleurs, il est vraiment agrĂ©able. Par contre, il y’a souvent des mauvaises herbes qui y poussent et puis ça me donne vraiment du fil Ă  retordre de les enlever. En parcourant un site, je suis tombĂ© sur ce produit dĂ©sherbant, et j’en suis trĂšs satisfait. Il Ă©limine les mauvaises herbes efficacement et ceci de maniĂšre trĂšs rapide. Je n’ai pas besoin d’en mettre beaucoup, il est trĂšs concentrĂ© et donc trĂšs puissant. Pour moi, c’est un excellent produit, car sa formule concentrĂ©e agit sur tout type de extrĂȘmeCombattre les mauvaises herbes c’est une tĂąche difficile. Il faut se servir de produits trĂšs puissants pour les Ă©liminer efficacement. Ce dĂ©sherbant ultra concentrĂ© fait preuve d’une grande puissance. Il agit trĂšs bien mĂȘme avec rien qu’une petite quantitĂ© et ceci mĂȘme sur une grande surface. Avec 1 litre seulement du produit, son action s’étend sur 5 hectares ou 5000 mÂČ. Mais comment ? C’est un produit hyper concentrĂ© qui dispose de 450 g/l. GrĂące Ă  sa forte concentration il agit rapidement et mĂȘme sur une grande surface. Vous vous battez sĂ»rement sans fin contre ces plantes qui viennent rivaliser avec celles que vous avez plantĂ©es dans votre jardin, et ça ne favorise pas la bonne pousse de vos plantes. Par contre, l’utilisation abusive de ce produit n’est pas forte concentration est non seulement trĂšs efficace mais cela permet aussi de ne pas utiliser une grande quantitĂ©, cela favorise une utilisation non abusive du produit. Contrairement Ă  d’autres produits qu’il faut utiliser plusieurs fois pour qu’ils agissent sur les mauvaises herbes, celui-ci agit de maniĂšre puissante sur l’ensemble des mauvaises herbes. Il est efficace sur plusieurs types de jardins, mĂȘme si votre jardin s’étend sur une grande surface, il agit correctement et seulement Ă  petites doses, Exterminer mĂȘme les herbes les plus coriaces est avec lui tout Ă  fait d’actionOn peut une fois de plus apprĂ©cier ce produit dĂ©sherbant car, celui-ci nous montre Ă  nouveau son efficience Ă  travers sa capacitĂ© Ă  agir rapidement. Lorsque vous en mettez sur les plantes indĂ©sirables, vous n’avez pas Ă  attendre longtemps pour commencer Ă  voir les rĂ©sultats. Avec sa rapiditĂ© d’action, vous commencez Ă  voir des rĂ©sultats en seulement 2 jours. Un produit comme celui-ci doit ĂȘtre assez efficace pour Ă©liminer toutes les herbes indĂ©sirables que l’on retrouve dans le jardin. Par contre, tous les produits ne sont pas trĂšs rapides. Il faut attendre plusieurs pour commencer Ă  voir la un peu gĂȘnant d’attendre, surtout si vous n’ĂȘtes pas trĂšs patient. Et franchement, tout le monde aime obtenir des rĂ©sultats rapidement. C’est ce que fait prĂ©cisĂ©ment ce dĂ©sherbant. Son effet est visible en quelques temps seulement. Vous pouvez donc rapidement vous remettre Ă  vos activitĂ©s de jardinage rapidement, mettre de nouvelles plantes. Pour n’importe quel produit, l’efficacitĂ© seule ne suffit pas, la rapiditĂ© d’action est un gros plus, cela montre Ă  quel point le produit est bon. Si vous aimez donc ce qui est bien fait et qui est fait rapidement, alors ce point ne vous laissera pas du tout sur tous les types de plantesEliminer une grande partie des plantes de son jardin c’est un rĂ©el dĂ©fi. En revanche, ce produit rĂ©ussit Ă  relever amplement ce dĂ©fi. Il arrive Ă  se dĂ©barrasser de toutes les plantes quelle que soit leur nature. Il dĂ©truit tout sur son passage et ne laisse aucune plante indĂ©sirable en vie. Son action est totale. Il existe en effet plusieurs plantes qui poussent dans le jardin, les unes agrĂ©ables et les autres, non. De ce fait, certains produits ne sont souvent adaptĂ©s qu’à un certain type de plantes, ils n’ont pas d’effet sur les autres, ce qui n’est pas le cas pour celui-ci. Ce dĂ©sherbant ultra puissant est un produit adaptĂ© pour un certain type de jardin. Si par exemple il s’agit d’un terrain laissĂ© sans entretien pendant une longue pĂ©riode, on y trouvera forcĂ©ment une multitude d’herbes qui l’ont pour s’en dĂ©barrasser complĂštement, le dĂ©sherbant ultra puissant fera amplement l’affaire. Il permet d’exterminer n’importe quelle plante mĂȘme la plus rĂ©calcitrante. Il n’est donc pas nĂ©cessaire que vous ayez plusieurs types de dĂ©sherbants pour combattre les mauvaises herbes de diffĂ©rents types, il permet d’éliminer toutes ces plantes de maniĂšre efficiente. Ce qui est trĂšs pratique, cela favorise un travail bien fait et la tĂąche moins possible aprĂšs quelques jours seulementQuand on Ă©limine les mauvaises herbes, cela permet d’avoir un jardin propre et de pouvoir y planter Ă  nouveau ce que l’on veut. En revanche, aprĂšs avoir dĂ©sherbĂ© votre jardin, il vous faut souvent patienter un bon moment afin de pouvoir planter Ă  nouveau. Ce n’est pas le cas pour le dĂ©sherbant ultra. Avec lui, il est possible de reprendre les semis aprĂšs 8 jours seulement. Vous pourrez continuer Ă  prendre soin et Ă  entretenir votre jardin rapidement sans avoir Ă  attendre longuement. L’entretien du jardin demande beaucoup, cela inclut non seulement de l’effort mais aussi une grande patience. Pour avoir un bon jardin ça ne se fera sĂ»rement pas par un coup de baguette magique. En pulvĂ©risant un dĂ©sherbant sur les mauvaises herbes, cela peut ralentir votre activitĂ© de jardinage et patienter, mais avec ce produit, l’attente est moins longue. Vous pouvez gagner du temps, travailler plus vite et obtenir le jardin dont vous rĂȘvez depuis abordableVous ĂȘtes probablement heureux de tomber sur un produit qui comporte toutes ou presque toutes les caractĂ©ristiques que vous recherchez. Chacun sait ce qui le pousse Ă  acheter tel ou tel produit. Chez certaines personnes, c’est l’aspect physique, le design du produit qui est le plus important, chez d’autres, ça peut ĂȘtre la taille, la performance, bref chacun un critĂšre qui est plus important et qui influence en grande partie l’achat. Quoi que l’on dise, le critĂšre prix est un des plus importants. C’est lui qui aidera Ă  la dĂ©cision finale d’achat d’un produit. C’est ainsi que ce produit affiche un prix abordable, il est de ce fait accessible Ă  tous, mĂȘme de simples paysans peuvent se l’offrir. Comme vous l’avez vu plus haut, c’est un produit disposant d’une grande puissance sur toutes sortes de plantes. Bien qu’il soit aussi performant, son prix est trĂšs attractif. Il arrive donc Ă  se dĂ©marquer des autres non seulement de par son efficacitĂ©, mais aussi avec son prix. Avec lui pas besoin de se ruiner pour profiter de la nocif pour la santĂ©Le dĂ©sherbant ultra puissant Glyphosate 450g/l est, comme son nom l’indique un produit trĂšs puissant qui agit profondĂ©ment et Ă©limine les mauvaises herbes. En revanche, il dispose de quelques inconvĂ©nients notamment le fait qu’il soit nocif pour la santĂ©. En effet, les produits dĂ©sherbants encore appelĂ©s herbicides sont des produits conçus pour lutter et Ă©liminer les herbes indĂ©sirables. Ceux-ci sont constituĂ©s produits chimiques, on connait tous l’effet des produits chimiques sur l’organisme, ils sont toxiques et ils sont susceptibles de nuire Ă  la santĂ© d’un individu et surtout des tous petits qui sont plus fragiles. En entrant en contact avec la peau et les yeux qui sont des parties trĂšs sensibles, il peut crĂ©er des rĂ©actions trĂšs dangereuses voire est de ce fait vivement conseillĂ© avant utilisation de prendre de grandes prĂ©cautions il est conseillĂ© d’écarter les avant et toute autre personne avant de le diffuser dans le jardin ; de plus, il est important de porter des accessoires de protection comme des gants, un masque de protection, ainsi que des lunettes de protection. Afin d’éviter tout incident grave. Avoir un beau jardin c’est bien d’accord mais il faut se mĂ©fier de ce produit qui est d’ailleurs trĂšs concentrĂ©. La vigilance est donc Ă  prĂ©voir avant son pour l’environnementLe dĂ©sherbant est susceptible d’affecter plus que ça. Hormis l’individu, l’environnement est Ă©galement touchĂ©. Les herbicides sont trĂšs chimiques par consĂ©quent ont Ă©galement un effet nĂ©faste sur l’environnement. Il est composĂ© de glyphosate, il ne se dĂ©grade pas si facilement et les sols ne l’absorbe pas si facilement qu’on pourrait nous faire croire. Il est susceptible de prĂ©senter des risques pour la faune plus prĂ©cisĂ©ment les oiseaux sauvages et les abeilles. En le diffusant dans votre jardin, il est possible qu’il se propage et qu’il atteigne et affecte les animaux qui se nourrissent des produits de ce jardin. Le glyphosate est un Ă©lĂ©ment qui fait encore l’objet d’études approfondies, l’évaluation de l’étendue de ses risques n’est encore totalement connue. Quoi qu’il en soit, il est conseillĂ© de ne pas abuser de ces produits lĂ . Si vous faites partie de ces personnes-lĂ  qui font des efforts pour protĂ©ger l’environnement, vous serez assez déçus sur ce point. Toutes les prĂ©cautions sont donc Ă  prendre afin d’éviter des dĂ©sĂ©quilibres dans l’ le prix le plus basMerci d’avoir lu cet articleVous Ă©galement vous aimez prendre de soin de votre jardin et vous dĂ©barrasser des plantes que ne dĂ©sirez pas ? Alors, ce produit peut trĂšs bien vous intĂ©resser. Ce n’est pas facile comme on le sait de se dĂ©barrasser complĂštement des mauvaises herbes qui viennent remplir dans le jardin. Le dĂ©sherbant ultra puissant est plus que qualifiĂ© dans l’éradication de ces plantes-lĂ . Il a bien Ă©videmment une action puissante sur les mauvaises herbes car c’est un produit concentrĂ© qui agit rapidement et en plus il est possible reprendre le semis aprĂšs quelques jours seulement. Si vous voulez en revanche encore plus d’informations sur ce produit, il vous suffit d’envoyer un message Ă  gisele et vous obtiendrez des rĂ©ponses.
Selonles mauvaises herbes Ă  contrĂŽler , une dose de 40 ou 60 ml de Roundup Ultra Concentrate est utilisĂ©e par litre d'eau, ce qui suffit pour une pulvĂ©risation de 40 mÂČ . Il convient de prĂȘter attention Ă  la conversion trĂšs facile de la quantitĂ© de concentrĂ© nĂ©cessaire dans la dose de base, c'est-Ă -dire 1 ml de concentrĂ© pour 1 m2
DESHERBANT GLYPHOSATE 3J - Zep Industries d velopp es feuilles, cm de haut. Nombre maximum dapplications par an pour le traitement en plein. Le glyphosate est essentiellement une mati re active anti-gramin e. Verser la quantit n cessaire de DESHERBANT GLYPHOSATE 3J dans la cuve du pulv risateur demi remplie deau. Optimiser lutilisation du glyphosate Le choix de la dose est fonction de laposadventice vis e annuelle ou vivace et de son stade. Dosage litre pour 100L daposeau peut tre utiliser un autre dosage Mauvaises herbes r sistantes comme la queue de cheval, les ronces et autres litre pour 80L daposeau Herbicide non s lectif pour la lutte contre les mauvaises herbes. C Pr paration de la bouillie Il faut maintenant m langer la quantit de produit calcul e au point a dans le volume deau calcul au point b. Dose de glyphosate en gha adjuvant Association glyphosate en gha D gha adjuvant Repousses c r ales d but montaison 7- Repousses colza d but longation Repousses pois 8-feuilles Rep P de terre tub risation cm 14b Brome fin tallage 9- Ray-Grass fin tallage 9- Vulpin fin tallage 9- Ch nopode cm. Il versera l de TUMOUCHE dans chaque cuve de 4litres. Calculer les quantit s de produit phytosanitaire utiliser Raoul Dubois mesure litres deau n cessaires pour mouiller ses trois oliviers. Le bon usage du glyphosate en agriculture Le bon usage du glyphosate en agriculture Janvier 20De nouvelles doses demploi ont t fix es en octobre 20 Il est essentiel de respecter ces recommandations ainsi que les usages, et dadapter la dose en fonction de la flore et du stade de celle-ci. Exemples - Michel Martin o Il faudra au total litre de TUMOUCHE dans 10litres deau. Sur dicotyl dones, notamment sur les plus d velopp es, il est pr f rable de laposassocier avec du 2-D en interculture. Fourrages Mieux Formulation solution concentr e contenant 3g L ou p p de glyphosate sous forme de sel daposisopropylammonium Application pulv risation. Lutilisation de sp cialit s autoris es pour cet usage U Pro, CHARDOL 6 en association avec. Ne pr parer que la quantit de bouillie n cessaire. 20- NOMADEO BUTANE DE BUTAGAZ Grill daposext rieur, grillades, barbecue. Acc der au contenu principal LeLion- Caposest que mon avis. Bienvenue sur Fumig m Nos fumig nes vos couleurs sont l. Ce dernier peut tre utilis pour la totalit du balcon, ou bien. Le bon usage du glyphosate en agriculture Comment utiliser la consoude au jardin conseils Les utilisation du purin de consoude Le purin de consoude est en fait un extrait obtenu par mac ration dans de leau, puis fermentation. Coussin pour salon de jardin - Achat Vente pas cher. GARDIPOOL OBLONG x X MARGELLE IPE - PISCINE BOIS LIVRAISON OFFERTE - IPE. Girofl e arbustive vivace - Erysimum aposBowles Mauveapos Comment cultiver laposErysimum aposBowles Mauveapos - Girofl e arbustive Ils sont dans laposensemble dapos une bonne rusticit. H tel avec Spa Diane Barri re Les Neiges, Courchevel. Housse x x cm - Plancha SOMAGIC Housse de protection en polyester avec rev tement PVC, illets, cordon de serrage, stopper et protection anti-UV. Il se pr sente donc comme un excellent choix pour construire un balcon. Laposalliance des mati res, la beaut rustique des traverses de bois en teck, ainsi que la puret de son design en font une des collections pr f r e de nos clients. Dosagepour 1 litre de produit fini : diluer 130 mL du dĂ©sherbant concentrĂ© avec 870 mL d’eau pour traiter environ 10 mÂČ de surface. Comment doser le Roundup Ultra plus ? 1,5-2 l / ha contre les herbes annuelles peu cultivĂ©es. 2,0-3,0 l / ha contre les herbes annuelles plus vĂ©gĂ©tales. Contenus de la page Comment obtenir du glyphosate ?
Dans le cadre du dispositif de phytopharmacovigilance, l'Anses fait le point sur les connaissances actuelles de l'exposition de l'Homme et des milieux au glyphosate. Selon ces données, les contaminations sont inférieures aux seuils nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail Anses publie, ce mercredi 29 octobre, une synthÚse des données de surveillance sur la présence du glyphosate dans les eaux, les aliments mais aussi les niveaux d'imprégnation chez l'Homme. La fiche de phytopharmacovigilance renseigne aussi sur la présence et les niveaux d'imprégnation de l'acide aminométhylphosphonique AMPA, le métabolite principal du glyphosate. Il ressort de ces analyses que le...Article publié le 30 octobre 2019
Verserun peu d'eau au fond du récipient. Agiter le bidon fermé de Barclay Gallup Super 360 Jardin puis verser la quantité requise pour le traitement (cf. tableau des usages). Compléter avec de l'eau au volume nécessaire. Agiter pour obtenir un mélange homogÚne. Appliquer sur la végétation à détruire en mouillant correctement le

Forum Bricolage Jardin - Assainissement - VRD andre171 Messages 166EnregistrĂ© le 23 Juil 2007 1029 Bonjour, Ce matin, j'ai achetĂ© un litre d'herbicide Clinic Ace dont notice ci-aprĂšs Sur base de cette derniĂšre, j'en arrive Ă  considĂ©rer que pour traiter au pulvĂ©risateur Ă  dos 10 mÂČ il faut diluer 4ml d'herbcide dans 0,3 litre d'eau. Cette quantitĂ© d'eau me paraĂźt bien faible pour traiter 10mÂČ, de sorte que je me permets de demander vos avis sur les proportions en cause ! jacmat Messages 2132EnregistrĂ© le 03 Jan 2009 1844 par jacmat » 09 Mar 2012 2217 bonjour, ton calcul est bon, car il faut 4 litres pour 10000 m2, soit 4000mlSi tu divises par 1000 pour atteidre tes 10 m2 il te faut donc 4 ml c est a peu prĂšs les mĂȘmes proportions que pour le roundup bonsoir! je planifie de traiter les plantes de mon jardin 45mÂČ et je me demandais s'il Ă©tait plus judicieux de faire appel Ă  un professionnel car je ne suis pas un bon jardinier!! la question c'est ou le trouver ?? par » 25 Mar 2012 1539 et vous avez fait comment depuis ?? j'ai fait appel aux services d'un professionnel via une annonce Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 5 invitĂ©s

Largespectre d'action sur diffĂ©rents types de gazon. DOSE. DĂ©couvrez la quantitĂ© d'herbicide par litre d'eau avec le dosage adaptĂ© de TERTER : Pour le contrĂŽle de herbes annuelles et faciles supprimer, 125ml pour chaque sac Ă  dos de 15 litres. (ml/ mÂČ). En cas de herbes difficiles ou vivaces, 250ml par sac Ă  dos.
Navigation des articles Jean-Claude Pierre n’est pas un people ». Il cultive la simplicitĂ©. Depuis 40 ans, il enchaĂźne les confĂ©rences en Bretagne sur le dĂ©veloppement durable. AprĂšs plus de interventions, quatre livres et de multiples voyages, l’infatigable militant associatif hausse le ton GaĂŻa, la terre, est en colĂšre. Lui aussi. Petit, son vert paradis des amours enfantines, c’était le LanguidouĂ©, une riviĂšre affluente du Leff 22. Le travail Ă  la ferme l’étĂ©, la proximitĂ© des animaux, lui font dire encore aujourd’hui J’ai de la terre Ă  mes sabots ». Tout cela lui rappelle aussi combien nous sommes en rupture avec le monde animal. En 1969, alors qu’il se promĂšne avec sa fille, il voit des saumons agoniser dans une riviĂšre polluĂ©e par une papeterie. Cette dĂ©couverte marque le dĂ©but de son engagement. Il venait de lire Quelle terre laisserons-nous Ă  nos enfants ? », de Barry Commoner. Sa force, il la tire aussi de son amitiĂ© avec Jacques de BollardiĂšre, ce gĂ©nĂ©ral breton qui s’est Ă©levĂ© contre la torture en AlgĂ©rie. Son combat Ă  lui sera de s’opposer au conformisme, en l’occurrence au culte du veau d’or », c’est-Ă -dire le PIB, le profit
 La plus grave des pollutions, c’est l’indiffĂ©rence et la rĂ©signation », assĂšne-t-il. Porteur d’espĂ©rance Avec d’autres militants, il crĂ©e, en 1969, une association de dĂ©fense des saumons, qui deviendra Eau et riviĂšres, puis Nature et culture, le rĂ©seau CohĂ©rence et enfin l’Institut de Silfiac. Mais celui qui a siĂ©gĂ© au Conseil Ă©conomique et social de Bretagne pendant dix ans accompagne aussi les acteurs qui cherchent Ă  se rendre compte par eux-mĂȘmes des rĂ©alitĂ©s du terrain. Agriculteurs, politiques, techniciens, chefs d’entreprise participent Ă  ses voyages d’études en Allemagne, Autriche, Suisse, Angleterre et dans d’autres rĂ©gions de France. Relocaliser l’économie, diviser par quatre les consommations Ă©nergĂ©tiques, cultiver en prĂ©servant la qualitĂ© de l’eau et des sols autant d’exemples et d’alternatives Ă  proposer. On n’a pas le droit d’exacerber les peurs si l’on n’est pas porteur d’espĂ©rance ». CoopĂ©rer Aujourd’hui, la question qui rĂ©sume pour lui toutes les autres, c’est la solidaritĂ©. Entre les hommes, dans l’espace et le temps et avec l’ensemble du vivant. Dans un monde oĂč tout se voit et tout se sait, l’humiliation et la frustration ne peuvent dĂ©boucher que sur la violence. La paix sociale implique un partage plus Ă©quitable des ressources ». Mais il prĂ©vient Si tout pousse Ă  la compĂ©tition dĂšs l’enfance, qui va enseigner la coopĂ©ration ? Or, coopĂ©ration, synergie et mutualisation sont les vrais enseignements de la nature et de ses multiples Ă©cosystĂšmes ». L’homme responsable AprĂšs 40 ans de lutte, le militant, adepte farouche de la non-violence, concĂšde Je suis scandalisĂ© par l’indiffĂ©rence de nos concitoyens face Ă  la dĂ©gradation de la planĂšte. Alors que tous les clignotants sont au rouge et que la communautĂ© scientifique est formelle pour Ă©tablir une relation entre l’activitĂ© humaine et cette dĂ©gradation. Nous sommes entrĂ©s dans l’ùre de l’anthropocĂšne ». L’homme est devenu une force gĂ©ophysique en partie responsable du devenir de la planĂšte. Le cocktail entre rĂ©chauffement climatique, Ă©rosion de la biodiversitĂ© et aggravation des inĂ©galitĂ©s est, selon lui, explosif. Il faut agir sur ces trois flĂ©aux en mĂȘme temps ». Jean-Claude Pierre, loin d’ĂȘtre dĂ©sabusĂ©, compte modestement les victoires contre le nuclĂ©aire, des projets de barrages ou des installations de piscicultures gĂ©antes. Oui, le regard de l’opinion a changĂ© ». Partout oĂč il va prĂ©senter la ville du futur », son dernier montage qui rassemble les exemples les plus parlants d’urbanisation rĂ©ussie, les gens ont la pĂȘche », rayonne-t-il. Lui aussi. 1937. Naissance, en fĂ©vrier, le mois des sources et du signe du poisson » sic !. 1969. Cofondateur de l’Association pour la protection du saumon et de la truite en Bretagne et en Basse-Normandie 500 membres en 1977. 1970. DĂ©but des chantiers bĂ©nĂ©voles de nettoyages des riviĂšres. 1983. Cofondateur d’Eau et RiviĂšres. 1994. Élu breton de l’annĂ©e par Le TĂ©lĂ©gramme. 1997. Cofondateur du rĂ©seau CohĂ©rence qui regroupe une centaine d’organisations en Bretagne. 2008. Cofondateur de l’Institut de Silfiac. Carole Le BĂ©chec Le TĂ©lĂ©gramme Collectif d’associations paysannes et Ă©cologistes Lettre ouverte Ă  Monsieur StĂ©phane Le Foll, Ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la ForĂȘt pour que les annonces sur l’agro-Ă©cologie ne restent pas lettre morte. Monsieur le ministre, Face aux inquiĂ©tudes de la sociĂ©tĂ© française pour la qualitĂ© de son alimentation et ses attentes dans les domaines de l’agriculture, de la santĂ© et de l’environnement, le gouvernement français lançait il y a un an un projet de transformation de l’agriculture le projet agro-Ă©cologique pour la France ». Votre ministĂšre en a donnĂ© une dĂ©finition suffisamment large pour ne pas heurter certains intĂ©rĂȘts et pour mobiliser des soutiens divers parmi les agriculteurs et les acteurs de la recherche agronomique et du dĂ©veloppement agricole. MĂȘme sĂ©duisant, ce projet peine encore Ă  susciter l’adhĂ©sion de la sociĂ©tĂ© civile. Ce projet agro-Ă©cologique comporte de multiples facettes et a pour ambition de concilier performances Ă©conomique, environnementale et sociale. Pour ce faire, deux leviers sont identifiĂ©s la politique agricole commune rĂ©formĂ©e et la Loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forĂȘt. DerriĂšre les mots, chacun y trouverait son compte mais selon nous, la cohĂ©rence n’y est pas, et certains objectifs agro-Ă©cologiques semblent se soumettre Ă  l’obsession de compĂ©titivitĂ© des filiĂšres agricoles. Pour mettre en Ɠuvre cette triple performance, entendons-nous sur leur signification. Pour nos organisations, la performance Ă©conomique n’est ni la taille, ni les volumes produits, ni l’importance du capital financier, ni le volume d’aides perçues, mais bien la capacitĂ© Ă  crĂ©er de la valeur ajoutĂ©e. Selon nous, la performance sociale doit faire vivre des paysans nombreux une agriculture ne peut ĂȘtre Ă©conomiquement performante si elle repose sur de moins en moins de paysans. Or l’aspect social reste en jachĂšre des petits Ă©leveurs risquent d’ĂȘtre exclus de certaines aides de la PAC, les aides du 2nd pilier de la PAC sont flĂ©chĂ©s sur la modernisation des bĂątiments d’élevage et les soutiens Ă  l’agrandissement, alors que la promotion de l’installation est encore insuffisante. Sur le plan environnemental, le projet chercherait Ă  prolonger certains acquis du Grenelle de l’environnement, en amalgamant la rĂ©duction de la consommation des pesticides et des antibiotiques, le doublement des surfaces en agriculture biologique et du nombre d’apiculteurs. La monoculture de maĂŻs serait compatible avec le verdissement ! Mais le manque de cohĂ©rence est lĂ  nĂ©gociant les derniers ajustements techniques de la PAC Ă  Bruxelles, votre ministĂšre prĂ©pare une certification environnementale prĂ©voyant que la monoculture de maĂŻs serait compatible avec le verdissement et que des cultures utilisant pesticides et engrais minĂ©raux rentreraient dans les surfaces d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique. De telles mĂ©thodes n’ont clairement rien d’agro-Ă©cologique. Ni la PAC, ni la Loi d’avenir ne mettront en place de mesures permettant une rĂ©elle diminution de l’utilisation des pesticides. En revanche, le relĂšvement des seuils pour les installations classĂ©es augmentera celle des antibiotiques, dont la consommation est proportionnelle au nombre d’animaux sur un mĂȘme site ! Par ailleurs, votre ministĂšre ne garantit pas la pĂ©rennitĂ© de l’aide au maintien de l’agriculture biologique. Comment les surfaces en agriculture biologique pourraient doubler en France sans soutien adĂ©quat et durable ? Le dĂ©veloppement de la mĂ©thanisation ne vise pas Ă  orienter ces systĂšmes vers l’agro-Ă©cologie. Le but annoncĂ© serait de dĂ©charger les excĂ©dents azotĂ©s de l’élevage industriel vers des zones de cultures tout aussi intensives, illusion techniciste. Ces usines Ă  gaz entreront le plus souvent en concurrence avec la production alimentaire, appauvriront les sols en carbone, les fragilisant, et gĂ©nĂ©reront de nouvelles pollutions par l’ammoniac ou le dioxyde d’azote. DĂšs lors, oĂč est l’agro-Ă©cologie mise en avant – et que nous soutenons – dans l’article premier de la Loi d’avenir, comme privilĂ©giant l’autonomie des exploitations agricoles et l’amĂ©lioration de leur compĂ©titivitĂ©, en diminuant la consommation d’énergie, d’eau, d’engrais, de produits phytopharmaceutiques et de mĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires, en particulier les antibiotiques » ? Si nous partageons l’objectif visant Ă  “produire autrement en agriculture”, nous insistons sur l’impĂ©rieuse nĂ©cessitĂ© d’évaluer autrement la performance Ă©conomique, sociale et environnementale. Les critĂšres d’évaluation standards basĂ©s sur la seule productivitĂ© Ă  l’hectare ou sur les volumes sont obsolĂštes, puisqu’ils ne prennent en compte ni la disparition des emplois agricoles, ni les subventions injectĂ©es, ni la dĂ©gradation des ressources naturelles, ni les Ă©missions de gaz Ă  effet de serre. A propos de l’agriculture biologique que vous avez intĂ©grĂ©e Ă  l’ambition agro-Ă©cologique, vous affirmez qu’elle serait moins productive. Ce n’est pas le cas dans des agro-systĂšmes cohĂ©rents rotation longue, prĂ©sence de matiĂšres organiques, etc.. Le solde productif export moins intrants Ă  l’hectare en tonne Ă©quivalent pĂ©trole par exemple est souvent supĂ©rieur Ă  celui de l’agriculture conventionnelle. Une ambition agro-exportatrice basĂ©e sur l’augmentation des volumes ne peut lĂ©gitimer le productivisme Ă  tout crin. De plus, les exportations agricoles et agroalimentaires françaises dĂ©pendent fortement des intrants importĂ©s aliments du bĂ©tail, fertilisants, pesticides
 et des subventions directes et indirectes de la PAC. Enfin en matiĂšre de politique commerciale, nous attirons votre attention sur une autre incohĂ©rence. Le gouvernement a refusĂ©, avec raison, d’autoriser un maĂŻs gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ© tolĂ©rant aux herbicides. Au mĂȘme moment, son ministre de l’Economie, Pierre Moscovici plaidait en faveur d’une accĂ©lĂ©ration des nĂ©gociations sur l’accord de libre-Ă©change et d’investissement entre l’Europe et les États-Unis. Pour ces derniers, les objectifs en matiĂšre agricole sont clairs et destructeurs pour l’agriculture ouvrir davantage le marchĂ© europĂ©en y compris pour les cultures OGM, la viande aux hormones ou issue d’animaux clonĂ©s, affaiblir les rĂ©glementations existantes en matiĂšre de pesticides notamment en donnant le droit aux multinationales d’attaquer les gouvernements qui adopteraient des lois contraires Ă  leurs intĂ©rĂȘts. Selon nous, cette orientation libĂ©rale va donc Ă  l’encontre des faibles acquis de la PAC rĂ©formĂ©e, du projet agro-Ă©cologique français et de la Loi d’avenir. Elle enterre tout espoir de projet politique europĂ©en au prĂ©texte d’un bĂ©nĂ©fice global mal Ă©valuĂ© et non discutĂ©. Les enjeux sont de taille si le gouvernement français veut dĂ©fendre son projet agro-Ă©cologique, il doit d’abord viser l’ambition et la cohĂ©rence, et le mettre Ă  jour Ă  l’aune des incohĂ©rences que nous avons soulignĂ©es. C’est dans ces conditions que les organisations que nous reprĂ©sentons y contribueront activement. Veuillez recevoir monsieur le ministre, l’expression de notre sincĂšre considĂ©ration. RenĂ© BECKER, PrĂ©sident de Terre de Liens Allain BOUGRAIN DUBOURG, PrĂ©sident de la LPO Jean-Marc BUREAU, PrĂ©sident de la FNCIVAM BenoĂźt DROUIN, PrĂ©sident du RĂ©seau Agriculture Durable Nicolas HULOT, PrĂ©sident de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme StĂ©phen KERCKOVE, DĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral d’Agir Pour l’Environnement Jacques MARET, administrateur de E3D StĂ©phanie PAGEOT, PrĂ©sidente de la FNAB Pierre PERBOS, PrĂ©sident du RĂ©seau Action Climat Laurent PINATEL, Porte-parole de la ConfĂ©dĂ©ration Paysanne Xavier POUX, Administrateur du Forum EuropĂ©en pour la protection de la nature et le pastoralisme Joseph RACAPE, Administrateur de Dossiers et DĂ©bats pour un DĂ©veloppement Durable 4D François VEILLERETTE, Porte-parole de GĂ©nĂ©rations Futures Avec ce dispositif technocratique arbitraire et tĂ©nĂ©breux, nos enfants vont Ă  nouveau devoir se lever et commencer l’école de nuit comme en hiver. Suite Ă  l’absence de la lumiĂšre du jour, leur horloge centrale n’est pas en phase. L’impact nĂ©gatif d’une telle amplitude horaire sur la rĂ©ussite scolaire de nos enfants est bien rĂ©el. La MĂ©ridienne a de nouveau Ă©crit au ministre de la SantĂ© dans ce sens, lui suggĂ©rant d’impulser une dynamique sur le rĂ©gime horaire actuel auprĂšs des ministres concernĂ©s Économie, Éducation, IntĂ©rieur, Travail, Famille, Environnement
 pour mettre un terme Ă  cette “aberration chronobiologique”. C’est ce que demandent des dizaines de milliers de personnes selon les derniers sondages d’opinion et les signataires de pĂ©titions citoyennes mises en Ɠuvre successivement de 2009 Ă  2012. C’est aussi pourquoi l’Espagne envisage de revenir Ă  l’heure de son fuseau horaire origine. Le rapport approuvĂ© par le parlement espagnol, avec l’appui du Ministre de l’Économie, Luis de Guindos, dĂ©montre, entre autres mĂ©faits*, qu’une heure trop avancĂ©e nuit au sommeil des Espagnols horloge centrale et Ă  leur Ă©conomie. Il prĂ©cise que reculer les aiguilles n’a aucun coĂ»t et prĂ©sente de nombreux bĂ©nĂ©fices les mĂȘmes que ceux mis en avant par La MĂ©ridienne. Il faut, sans plus tarder, revenir Ă  l’heure de notre fuseau horaire pour dormir mieux afin de vivre mieux et de travailler mieux, dans la vie publique et privĂ©e, dans l’entreprise, Ă  l’hĂŽpital, Ă  l’école, dans la famille
 Si l’on veut que les autres rĂ©formes aboutissent, c’est la premiĂšre rĂ©forme Ă  faire ! LA MÉRIDIENNE * Moins de qualitĂ© de vie et de temps passĂ© en famille, impact nĂ©gatif sur la productivitĂ©, stress burn out, absentĂ©isme, dĂ©penses d’énergie, accidents du travail, courbe du chĂŽmage, Ă©chec scolaire, etc, etc
 sans parler des graves atteintes Ă  l’environnement pollution de l’air. Beaucoup d’argent, dont les familles ont grand besoin, est gaspillĂ©. On nous fait croire que la prĂ©occupation de la sĂ©curitĂ© NuclĂ©aire est prise en compte en France
 et pourtant, si vous voulez avoir une idĂ©e de la pollution radioactive Ă©ventuelle, en un point du territoire, Ă  un moment donnĂ©, voici les moyens dont vous disposez selon que vous habitez Berne, Munich ou Angers
 Pour la Suisse, une carte globale du territoire qui donne la valeur moyenne quotidienne des dĂ©bits de dose ambiants en nanosieverts Ă  l’heure
pour un ensemble de 66 lieux rĂ©partis sur l’ensemble du territoire, c’est simple, clair, et la rĂ©solution Ă  la journĂ©e permet de suivre une Ă©ventuelle pollution liĂ©e Ă  un accident en Suisse ou dans un pays voisin
 En quatre langues s’il vous plaĂźt
On peut consulter pour chaque point suivi le chronogramme des mesures pour visualiser d’éventuelles variations plus rapides que sur un jour
 Lien Pour l’Allemagne, une carte globale du territoire lĂ  encore, qui donne la valeur moyenne quotidienne des dĂ©bits de dose ambiants en microsieverts Ă  l’heure
 pour un ensemble de 1 800 lieux rĂ©partis sur l’ensemble du territoire, c’est simple, clair, et la rĂ©solution Ă  la journĂ©e etc.. On peut lĂ  aussi suivre les variations Ă  l’heure en cliquant sur un point quelconque 
 on obtient le graphe des valeurs moyennes horaires en ”Sv/h
 pour le point considĂ©ré  Lien LĂ  encore en deux langues, allemand et anglais
 Pour la France
 tapez dans google “mesures de radioactivitĂ©â€, vous trouverez le site et tomberez sur ActualitĂ©s. 26 AoĂ»t 2013 sic!!! c’est dire la fraĂźcheur des infos sur ce site
 Vous cliquez sur “La carte des mesures” et tombez sur une carte de France, avec des petits signes, et en bas Ă  droite “carte des 1 231 689 mesures” ! Fichtre ! Mais pas moyen d’avoir d’un coup d’oeil rapide une idĂ©e de la pollution radioactive actuelle sur les X points reprĂ©sentĂ©s
 Il faut aller chercher l’information pour un point dĂ©terminĂ©, pas de vision globale pratique
 Ce serait trop simple !!! Je sĂ©lectionne donc CNPE Centrale NuclĂ©aire de Production d’ElectricitĂ© de St Laurent des Eaux, aprĂšs avoir rĂ©glĂ© le zoom adĂ©quat pas Ă©vident, je tombe sur cette page Cliquant sur un point bleu proche de ladite centrale, je tombe sur cette page, relative Ă  des mesures sur l’eau, alpha global en Becquerel par litre, cours d’eau non identifiĂ©, 6 mesures datent de 2009 et une de 2010, depuis plus rien !!! Les chiffres sont trĂšs petits, ou Ă©videmment avec un tel choix d’unitĂ© !!! Ça c’est de la surveillance efficace !!! revenu Ă  la carte, Ă©chelle adĂ©quate, je clique sur le symbole reprĂ©sentant le CNPE de St Laurent des Eaux, je tombe sur la page suivante qui est relative enfin Ă  quelque chose de semblable Ă  ce que font nos voisins, Ă  savoir le dĂ©bit de dose ambiant en micro sievert par heure, mais lĂ  pas de carte globale, il s’agit de mesures “valables” pour St Laurent des eaux. Allons voir de plus prĂšs ces mesures
 Sont annoncĂ©s deux producteurs et 2533 mesures
 Nous sommes en Mars, nous ne disposons au mieux sur la page 1/64 que des mesures faites en FĂ©vrier 2014, les autres pages Ă©tant les rĂ©sultats antĂ©rieurs, remontant jusqu’en 2009
 Je pense immĂ©diatement Ă  Fukushima et au 11 Mars 2011, que va dĂ©tecter le systĂšme de mesure de l’ASN Ă  ces dates??? Facile RIEN. Conclusion Rideau
 Dormez tranquilles braves gens, EDF & AREVA veillent sur leurs profits
 Bernard P AFRIQUE du SUD – OGM Monsanto Ă  nouveau condamnĂ© pour publicitĂ© non fondĂ©e » Les paysans indiens se mettent en rĂ©seau pour lutter contre l’appropriation de la biodiversitĂ© cultivĂ©e et les OGM RĂ©emploi c’est bon pour la planĂšte, c’est bon pour le business ! L’initiative citoyenne pour le droit Ă  l’eau acceptĂ©e par la Commission europĂ©enne NuclĂ©aire la prolongation des centrales n’est pas acquise, insiste l’ASN Ces bonnes nouvelles sont dans la revue de presse d’hier Elles doivent nous inciter Ă  continuer Ă  nous mobiliser mĂȘme quand le doute nous assaille. NuclĂ©aire Ă©nergie d’avenir ? Votre mobilisation a permis de faire passer de 73% de Oui Ă  64% de Non BRAVO la Bourgogne est la cinquiĂšme collectivitĂ© française Ă  rĂ©pondre – ou Ă  devancer – l’appel DĂ©clarons nos communes hors Tafta », publiĂ© le 14 mars par le collectif unitaire national contre le traitĂ©. Au nom du libre-Ă©change, les poulets de Bresse vont-ils cĂ©der la place aux volailles amĂ©ricaines lavĂ©es Ă  la Javel? Merci de contribuer Ă  faire pression sur vos collectivitĂ©s car beaucoup de nos combats communs dĂ©pendent de notre capacitĂ© Ă  faire capoter ce projet d’accord transatlantique. 1 Abandon du projet d’abattoir de Gueret Le projet d’abattoir sans Ă©tourdissement de GuĂ©ret est abandonnĂ© ! IMPORTANT ! La manifestation du 29 mars prochain, Ă  GuĂ©ret, est maintenue ! Voir le texte complet du communiquĂ© du NARG en archives 2 Sentier de Beg Meil ouverture aprĂšs l’étĂ© 3 Bilan d’étape de la mobilisation “Stop Ă  l’étouffement des paysans” OĂč en sommes-nous ? La nouvelle annĂ©e s’est ouverte sur les premiers rĂ©sultats de notre action. Avec la premiĂšre lecture de la Loi d’Avenir Agricole LAAF en janvier puis l’adoption dĂ©finitive de la loi contrefaçons le 26 fĂ©vrier, nous avons gagnĂ© une reconnaissance partielle de l’exception agricole et alimentaire gĂ©nĂ©rale » que nous rĂ©clamons, notre mobilisation doit continuer jusqu’à sa reconnaissance totale ! La dĂ©sobĂ©issance des paysans, contre un cadre lĂ©gal illĂ©gitime, est lĂ©gitime A de trĂšs rares exceptions prĂšs les variĂ©tĂ©s reproductibles inscrites au catalogue qui conditionne l’autorisation de commercialiser des semences sont protĂ©gĂ©es par un Certificat d’Obtention VĂ©gĂ©tale COV. Les brevets sur leurs caractĂšres et ceux des animaux se multiplient. Les prĂ©parations naturelles produites Ă  la ferme PNPP, levains, levures, ferments
 peuvent Ă©galement ĂȘtre soumises Ă  des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelles Ă  travers le dĂ©veloppement de brevets sur les micro-organismes ou les substances chimiques. Celles qui sont qualifiĂ©es de produit phytopharmaceutiques » sont de fait interdites d’utilisation et de commercialisation dĂšs qu’elles ne sont pas protĂ©gĂ©es par un brevet. En renforçant, les moyens pour lutter de maniĂšre indiffĂ©renciĂ©e contre la contrefaçon de tous types de droit de propriĂ©tĂ© intellectuelle, le projet de base de la loi contrefaçon de novembre 2013 Ă©tait une menace importante pour les paysans qui produisent leurs semences, leurs animaux reproducteurs et leurs prĂ©parations naturelles. Vous avez soutenu la mobilisation du Collectif Semons la BiodiversitĂ© et de ses partenaires sur ces enjeux qui concernent deux textes juridiques l’un, la loi pour l’Avenir de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la ForĂȘt LAAF est encore Ă©tudiĂ©e par les parlementaires, alors que le second, la loi contre les contrefaçons, a Ă©tĂ© adoptĂ© dĂ©finitivement le 26-02. Des avancĂ©es sont effectives grĂące Ă  votre soutien mais la mobilisation reste d’actualitĂ©. Pour cela signez la cyber action actualisĂ©e LE BILANVers un dĂ©tricotage de lois beaucoup trop favorables aux obtenteurs 
 Lors de la premiĂšre lecture de la LAAF dĂ©but janvier , cinq nouveaux articles ont Ă©tĂ© introduits les paysans pourront Ă©changer leurs semences de variĂ©tĂ©s non protĂ©gĂ©es par un COV, ce qui facilitera les sĂ©lections et la conservation de semences paysannes libres de droit de propriĂ©tĂ© », les paysans qui produisent leurs semences de ferme1 ne seront plus obligĂ©s de s’enregistrer, les accords interprofessionnels destinĂ©s Ă  prĂ©lever les royalties sur les semences de ferme devront ĂȘtre approuvĂ©s par des organisations d’agriculteurs ayant recueilli plus de 70 % des voix aux Ă©lections professionnelles, la suppression de la protection du brevet en cas de prĂ©sence fortuite d’une information gĂ©nĂ©tique brevetĂ©e dans des plantes les paysans dont les cultures seraient contaminĂ©es par des caractĂšres gĂ©nĂ©tiques brevetĂ©s pourront vendre librement leur rĂ©colte, les Ă©leveurs garderons la libertĂ© d’acheter des reproducteurs ailleurs que dans des Ă©levages certifiĂ©s. Le SĂ©nat doit encore confirmer ces avancĂ©es, restons mobilisĂ©s pour qu’il ne fasse pas marche arriĂšre ! Restait la contrefaçon il est Ă©vident qu’avec une telle menace, aucun transformateur n’achĂšterait une rĂ©colte sans la garantie qu’elle est issue de semences certifiĂ©es ou de semences de ferme ayant acquittĂ© les royalties exigĂ©es. Le 21 janvier 2014, en point d’orgue de la vaste campagne de sensibilisation organisĂ©e par le Collectif Semons la BiodiversitĂ©, la ConfĂ©dĂ©ration paysanne s’installait dans les locaux parisiens de l’interprofession semenciĂšre GNIS pour obtenir une exception agricole » Ă  l’application de la loi sur la contrefaçon. Quelques heures aprĂšs, le Ministre de l’agriculture promettait de lui donner satisfaction. Le 4 fĂ©vrier, les dĂ©putĂ©s votaient deux amendements, le premier dĂ©clarant que l’utilisation des semences de ferme des 21 espĂšces dĂ©rogatoires ne constitue pas une contrefaçon », le deuxiĂšme que la loi sur la lutte contre la contrefaçon n’est pas applicable aux semences de ferme de toutes les espĂšces ». Cela a Ă©tĂ© confirmĂ© par le vote dĂ©finitif de la loi contrefaçon le 26 fĂ©vrier. 
 pour une premiĂšre victoire politique Ă  transformer ! D’un point de vue technique, il s’agit de nouveaux clous enfoncĂ©s dans l’application des droits des obtenteurs Les semences de ferme des 21 espĂšces dĂ©rogatoires ne sont plus des contrefaçons. Certes la loi oblige encore le paysan Ă  payer des royalties, mais les obtenteurs ont perdu tous les moyens juridiques de lutte contre les contrefaçons qui leur auraient permis de les rĂ©cupĂ©rer. La promesse d’accords interprofessionnels ou de dĂ©crets en Conseil d’État qu’on attend depuis plus de deux ans nous dira s’ils en trouveront d’autres. Ça ne fait aprĂšs tout que 43 ans qu’ils les cherchent
 Pour les autres espĂšces, les semences de ferme restent des contrefaçons interdites, mais lĂ  encore les obtenteurs ont perdu un puissant levier juridique ils ne pourront pas faire pression sur les acheteurs des rĂ©coltes en les menaçant de saisie et de destruction des rĂ©coltes qu’ils ont achetĂ©es. Et les seuls moyens qui n’ont pas Ă©tĂ© abrogĂ©s car issus de lois prĂ©cĂ©dentes huissiers, saisies de document administratifs chez les paysans
 ont dĂ©jĂ  fait la preuve de leur inefficacitĂ©. Avec cette loi contrefaçon, les paysans ont renforcĂ© leurs moyens de continuer Ă  dĂ©sobĂ©ir aux lois sur les COV et les brevets sur le vivant beaucoup trop favorables aux multinationales des semences. C’est le meilleur moyen de pouvoir continuer Ă  lutter pour les abroger article aprĂšs article. Les membres du collectif Semons la BiodiversitĂ© s’y emploieront dĂšs les prochaines discussions françaises sur la loi sur l’Avenir de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la ForĂȘt LAAF et les prochaines discussions europĂ©ennes sur le COV, le brevet, la commercialisation des semences, la santĂ© des vĂ©gĂ©taux et le contrĂŽle de la chaĂźne alimentaire. 1 reproduction des semences produites par l’industrie semenciĂšre Dans CĂŽtĂ© Quimper Alain Uguen votera pluriel Alain Uguen votera pluriel Son idĂ©e d’organiser une primaire entre les forces de gauche n’a pas eu d’écho. Quinze jours avant le 1er tour des Ă©lections municipales, le QuimpĂ©rois Alain Uguen lance l’initiative du vote pluriel. L’idĂ©e est de mettre deux bulletins dans la mĂȘme enveloppe. Ce qui permet aux Ă©lecteurs d’indiquer les listes qu’ils souhaitent voir gĂ©rer la ville, explique le militant Ă©cologiste, non encartĂ©. Le vote pluriel est aussi un moyen de lutter contre l’abstention. » Lui, c’est certain, se fera plaisir. Il espĂšre tout de mĂȘme faire le meilleur score possible pour inviter les listes concernĂ©es Ă  regarder de prĂšs le dĂ©pouillement. Pour l’heure, il va diffuser son idĂ©e sur internet et mĂȘme coller des affiches sur les panneaux Ă©lectoraux en place depuis le dĂ©but de semaine Ă  Quimper. Pour rappel, tout de mĂȘme, le vote pluriel tel que le dĂ©finit Alain Uguen sera considĂ©rĂ© comme nul. Du 10 au 14 mars, se tient Ă  Bruxelles le quatriĂšme cycle de la nĂ©gociation du partenariat transatlantique de commerce et d’investissement PTCI entre l’Union europĂ©enne et les Etats-Unis. Le manque de transparence et le contenu mĂȘme des nĂ©gociations de cet accord prĂ©occupent les et des plateformes d’associations, de syndicats, d’ONG, de partis et d’organisations de consommateurs se crĂ©ent partout en Europe pour mener campagne contre ce projet d’accord. Les collectivitĂ©s locales s’associent Ă©galement Ă  la dynamique les rĂ©gions Ile-de-France, PACA et la municipalitĂ© de Besançon ont rĂ©cemment adoptĂ© des dĂ©clarations demandant l’arrĂȘt des nĂ©gociations du grand marchĂ© transatlantique et se dĂ©clarant symboliquement zone hors PTCI». Redoutant ces mobilisations citoyennes d’ampleur contre l’accord, le Commissaire europĂ©en au commerce, Karel de Gucht, a annoncĂ© une consultation de trois mois sur le volet investissement des nĂ©gociations. Mais cette consultation est loin de satisfaire aux exigences d’un vrai dĂ©bat dĂ©mocratique et des fuites confirment nos inquiĂ©tudes concernant le trĂšs controversĂ© mĂ©canisme de rĂšglement des diffĂ©rends investisseur-État. À l’occasion de ce nouveau cycle de nĂ©gociations,de nombreuses initiatives seront organisĂ©es cette semaine par les cadres unitaires opposĂ©s au TAFTA les 11 et 12 mars, Ă  Bruxelles premiĂšre rĂ©union transatlantique des mouvements, Ă  l’initiative de Seattle to Brussels Network, Rosa-Luxemburg – Stiftung Brussels Office, Citizens Trade Campaign, Coalition of Sensible Safeguards, ARC2020, Forum Umwelt & Entwicklung. Les reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile europĂ©enne et Ă©tats-unienne se rĂ©unissent pour adopter une agenda commun de mobilisation -> Lors de cette rĂ©union sera rendue publique une dĂ©claration commune de la sociĂ©tĂ© civile europĂ©enne *** le 12 mars Ă  14h, Ă  Bruxelles confĂ©rence du collectif Altersommet sur le PTCI *** 13 mars Ă  10h00, Ă  Bruxelles rassemblement devant la DG Commerce, Ă  l’initiative du collectif Altersommet et de D19 Des membres du collectif français seront prĂ©sent-es Ă  Bruxelles pour participer Ă  ces diffĂ©rentes initiatives. En France et en Europe, nous sommes mobilisĂ©s et unis pour que ce projet de traitĂ© ne puisse pas voir le jour! Nous ne pouvons accepter que la dĂ©mocratie soit laissĂ©e aux mains des entreprises transnationales et des marchĂ©s financiers. Organisations membres du collectif “Stop Tafta” Au niveau national Agir pour l’environnement, Aitec-Ipam, Les Alternatifs, Amis de la confĂ©dĂ©ration paysanne, Amis de la Terre, Attac, CADTM France, Cedetim, Colibris, Collectif citoyen les engraineurs, Collectif des associations citoyennes, Collectif Roosevelt, ConfĂ©dĂ©ration paysanne, Convergence citoyenne pour la transition Ă©nergĂ©tique, Convergences et alternative, Copernic, Economistes atterrĂ©s, Ecologie sans frontiĂšres, Ensemble, Europe Ă©cologie les verts, Faucheurs volontaires, FĂ©dĂ©ration Nationale Accueil Paysan, FĂ©dĂ©ration pour une alternative sociale et Ă©cologique, Fondation sciences citoyennes, France AmĂ©rique Latine, FSU, GAĂŻA SOS planĂšte en danger, Gauche anticapitaliste, GĂ©nĂ©rations futures, Golias, Jeunes Ă©cologistes, Mouvement de la paix, Mouvement des objecteurs de croissance, MPEP, NPA, la Nouvelle Ă©cole Ă©cologiste, Objectif transition, Parti de gauche, PCF, RĂ©seau action climat, RĂ©elle dĂ©mocratie maintenant IndignĂ©-e-s, RĂ©seau environnement santĂ©, collectif Semons la biodiversitĂ©, Solidaires national, Solidaires douanes, Syndicat national des arts vivants, UFISC, Utopia Au niveau local Collectifs locaux anti-gaz de schiste Orb Taurou, Anduze, PĂ©zenas, Castelneau de Guers, Clapiers, SĂšte, Bassin de Thau, Vigan, Briard, Florac, MontĂ©limar DrĂŽme Sud, Orb-Jaur, Roynac, Toulon, BĂ©ziers, Campagnan, Haut-Bugey, Narbonnais, CorbiĂšres, Causse MĂ©jean, Jaujac-ArdĂšche-Lignon, Pays cigalois, Littoral 34, ArdĂšche, Ain, Pays de Savoie et de l’Ain, RĂ©seau Rhonalpin, Jura, IsĂšre, Lot-et-Garonne, RhĂŽne, Var, Vaucluse, Houille-ouille-ouille 59/62, Écolectif DĂ©gaze Gignac et Environs 34, Montpellier Littoral contre les gaz, pĂ©trole de schiste! et Basta Gaz AlĂšs, Garrigue-Vaunage, Collectif de Vigilance Gaz de Gardanne, Touche pas Ă  mon schiste, Non aux forages d’hydrocarbures Haut-Jura, Carmen ChĂąteau-Thierry, ARPE 69, collectif anti-OGM 31 Les Instances EuropĂ©ennes travaillent-elles pour l’agro-industrie? Ces derniers jours les Ă©lĂ©ments Ă  charge se multiplient. A premiĂšre vue le rejet par le Parlement europĂ©en ce mardi 11 mars de la proposition de rĂšglement de la Commission europĂ©enne sur la commercialisation des semences et plants peut sembler aller dans le bon sens. Mais n’oublions pas qu’entre temps c’est la rĂ©glementation actuelle qui s’applique, celle qui restreint de maniĂšre inacceptable les droits des paysans d’échanger leurs semences et d’accĂ©der Ă  la biodiversitĂ© cultivĂ©e. N’oublions pas non plus que ce rĂšglement fait partie d’un paquet » lĂ©gislatif qui comprend 4 autres propositions de rĂšglement ContrĂŽles, SantĂ© des Plantes, SantĂ© Animale et Cadre Financier le Parlement europĂ©en doit aussi les rejeter. Ces textes, particuliĂšrement dangereux, gĂ©nĂ©ralisent les auto-contrĂŽles sous contrĂŽles officiels ». Ce qui se prĂ©pare, c’est en fait la privatisation du systĂšme de contrĂŽle public non seulement des semences, de la santĂ© animale et vĂ©gĂ©tale, mais aussi de toute la chaĂźne alimentaire. Sans contrĂŽle public, l’agro-industrie devra se contrĂŽler elle-mĂȘme c’est ce qui a permis Ă  l’entreprise Spanghero de commercialiser des lasagnes contenant de la viande de cheval Ă  la place de bƓuf. Mais les mĂ©faits de ce paquet lĂ©gislatif ne s’arrĂȘteraient pas aux scandales alimentaires les petits artisans et paysans qui ne pourront pas respecter les normes et le coĂ»t de ces auto-contrĂŽles faits sur mesure pour l’agro-industrie, seront Ă©liminĂ©s. Au mĂȘme moment, la Commission et le Conseil se concertent sur la meilleure maniĂšre pour l’Europe d’autoriser les OGM refusĂ©s par la majoritĂ© des citoyens et des États. Un rapport trĂšs favorable Ă  une utilisation accrue des pesticides et des biotechnologies brevetĂ©es en agriculture vient d’ailleurs d’ĂȘtre validĂ© par le Parlement. Pour la ConfĂ©dĂ©ration paysanne, le Parlement europĂ©en qui sera Ă©lu en mai devra empĂȘcher les cultures de plantes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©es, refuser l’ouverture du marchĂ© aux semences brevetĂ©es, et informer clairement le consommateur sur toutes les manipulations gĂ©nĂ©tiques des plantes. Il est urgent que les instances europĂ©ennes reconnaissent enfin le droit des paysans et des jardiniers d’échanger leurs semences, et ouvrent largement le marchĂ© des semences Ă  toute la biodiversitĂ© disponible sans la contraindre par les normes imposĂ©es par l’industrie. Navigation des articles
Pouratteindre la dose journaliĂšre critique, il faudrait boire quotidiennement quelque 80 baignoires d’eau (10’000 litres). Les agriculteurs ne sont pas des empoisonneurs Les professionnels de la terre sont des personnes responsables qui tiennent Ă  la santĂ© de la population, de leur sol (on ne dĂ©truit pas son outil de travail!) et des eaux de surface et Haut de pageDoses prĂ©conisĂ©es Le produit s'utilise Ă  des doses variant de 1 Ă  L/Ha selon les types de mauvaises herbes et leur stade de dĂ©veloppement consulter les tables de doses recommandĂ©es. L'Avis au JO du 8 octobre 2004 rĂ©glemente les quantitĂ©s maximales de glyphosate Ă  appliquer par hectare et par de traitement Ă©poque, stade, seuil d'interventionTraiter sur des mauvaises herbes vertes saines, en condition poussante, et non recouvertes de rosĂ©e. En cas d'utilisation d'adjuvant rĂ©ducteur de dĂ©rive, veiller Ă  utiliser une formulation sans effet antagoniste sur l'efficacitĂ© du produit. Pour plus d'information consulter BSI ou votre technicien. L'utilisation du produit doit se faire dans le cadre des bonnes pratiques agricoles Ne pas appliquer ce produit ou toute autre spĂ©cialitĂ© commerciale contenant du glyphosate au-delĂ  des doses maximales dĂ©finies dans l'Avis au JORF 8 octobre 2004 et des conclusions de l'Evaluation Comparative du 30/09/2020. Traiter en dehors des pĂ©riodes de gel et des heures chaudes tempĂ©ratures comprises entre 1 et 30 °C et hygromĂ©trie supĂ©rieure Ă  50%. PrivilĂ©gier un traitement lorsque la tempĂ©rature se situe entre 12 et 25°C et l'hygromĂ©trie supĂ©rieure Ă  70%. Ne pas traiter en cas de risque de pluie imminente. Ne pas traiter si l'intensitĂ© du vent est supĂ©rieure Ă  3 sur l'Ă©chelle de Beaufort supĂ©rieur Ă  19 km/h. Eviter toute pulvĂ©risation ou embruns sur le feuillage des cultures voisines, en particulier en Ă©tĂ© ou en automne pour les plantations arbustives. Ne pas traiter les fossĂ©s en eau et les talus, bordures de champs ou pieds de clĂŽture situĂ©s le long des points d'eau. Afin de rĂ©duire et limiter la contamination des eaux de surface, mettre en place Ă  l'Ă©chelle de la parcelle et/ou du bassin versant, des mesures de gestion appropriĂ©es telles que la mise en place de bandes enherbĂ©es et les restrictions d'utilisation dans les zones vulnĂ©rables. Conditions particuliĂšres en cultures pĂ©rennes. Pour la dĂ©vitalisation des souches de vignes, l'emploi de panneaux rĂ©cupĂ©rateurs est obligatoire et permet de dĂ©roger Ă  l'application d'une zone non traitĂ©e par rapport Ă  la zone non cultivĂ©e adjacente. Utiliser des dispositifs de protection de la vigne afin d'Ă©viter, lors du traitement, tout contact entre le produit pulvĂ©risĂ©, les grappes et les feuilles. Ne pas rĂ©colter les fruits ayant Ă©tĂ© en contact direct avec le sol ou ayant reçu le traitementAttention en cas de recours Ă  des techniques culturales nouvellement mises en oeuvre par l'utilisateur ou prĂ©sentant une quelconque spĂ©cificitĂ©, l'utilisateur doit en informer son fournisseur avant toute utilisation du produit, afin que ce dernier puisse en vĂ©rifier la faisabilitĂ© avec le fabricant du de traitementPrĂ©paration des semis de printemps et d'automneL'utilisation du produit permet de se dĂ©barrasser en un seul passage de la plupart des mauvaises herbes annuelles et vivaces levĂ©es avant les semis de printemps et d'automne. Remarque Les rhizomes non repoussĂ©s non atteints par le traitement avec le produit seront susceptibles de lever rĂ©colte sur chaumes de toutes culturesLe produit s'utilise aprĂšs rĂ©colte de toutes les cultures, et permet de se dĂ©barrasser complĂštement de la plupart des mauvaises herbes annuelles et vivaces prĂ©sentes. Un seul passage avec ce produit remplace jusqu'Ă  4 passages la moisson des cĂ©rĂ©ales blĂ© tendre d'hiver, blĂ© dur, triticale, Ă©peautre, orge de printemps, orge d'hiver hors production de semencesLe produit permet d'Ă©liminer les dicotylĂ©dones et graminĂ©es vivaces, sensibles Ă  un stade dĂ©veloppĂ© lorsque la sĂšve est descendante. Le produit pĂ©nĂštre par les parties vertes des plantes pour ĂȘtre vĂ©hiculĂ© par la sĂšve. Il n'est donc pas absorbĂ© par les cĂ©rĂ©ales Ă  maturitĂ© la qualitĂ© du grain et des produits dĂ©rivĂ©s est Ă  60-80 cm au-dessus de l'infestation lorsque l'humiditĂ© du grain est infĂ©rieure Ă  25 %.Respecter un dĂ©lai avant rĂ©colte est de 7 maraichĂšresLe produit permet d'Ă©liminer toute vĂ©gĂ©tation indĂ©sirable plantes invasives, toxiques, sans rĂ©manence pour la culture maraĂźchĂšre suivante. L'usage en interculture maraĂźchĂšre, se pratique avant plantation et aprĂšs pas traiter avec ce produit sur substrat de sable ou de pas traiter sous serre ni au contact du et limitation de la pousse des jachĂšres et couvertsLe produit peut ĂȘtre utilisĂ© pour la destruction complĂšte de couverts ou jachĂšres semĂ©es ou spontanĂ©es, et Ă©viter les risques de repiquages dans la culture suivante. Pour les diffĂ©rents types de couverts d'interculture implantĂ©s en Zone VulnĂ©rables aux nitrates, respecter la rĂ©glementation en des vignes et vergersHormis les vignes installĂ©es en fortes pentes ou en terrasses, sols caillouteux, vignes-mĂšres de porte-greffes, le traitement doit ĂȘtre localisĂ© uniquement sous le traitement avec le produit ne doit pas toucher les ceps des vignes de moins de 2 ans, les Ă©corces des arbres Ă  pĂ©pins de moins de 3 ans et celles des arbres Ă  noyaux de moins de 4 tout contact de la bouillie herbicide avec les parties vertes ou non aoĂ»tĂ©es de la culture ainsi qu'avec les plaies non garantir la meilleure efficacitĂ© du traitement sur les flores complexes Ă  gĂ©rer, veillez Ă  appliquer le produit au stade optimal de sensibilitĂ© des adventices ex rosette pour l'Ă©rigĂ©ron. PrivilĂ©giez la mise en oeuvre du traitement aprĂšs un diagnostic de la flore prĂ©sente plutĂŽt qu'Ă  pĂ©riode fixe du cycle En hiver, le traitement est Ă  rĂ©aliser avant dĂ©bourrement de la En Ă©tĂ©, afin d'Ă©viter les contacts de la bouillie herbicide avec des parties sensibles, il peut ĂȘtre nĂ©cessaire de prĂ©parer la culture avant traitement Ă©bourgeonner, Ă©pamprer, supprimer les rejets de porte-greffe, relever et attacher la vigne si des ceps de vignesLa dĂ©vitalisation avec le produit est une solution unique permettant la destruction complĂšte des racines avant l'arrachage des des forĂȘts, dĂ©gagement et dĂ©vitalisationLe produit permet le contrĂŽle ou l'Ă©radication de la plupart des espĂšces indĂ©sirables en dĂ©vitalisation avec ce produit permet une destruction complĂšte des souches, et facilite ainsi leur HRAC9 - Absorption foliaire, vĂ©hiculĂ© par la sĂšve jusqu'Ă  l'extrĂ©mitĂ© des racines et des rhizomes. Agit par blocage de la biosynthĂšse des acides aminĂ©s matĂ©riel, pressionLors de la pulvĂ©risation du produit, il est nĂ©cessaire de s'assurer de la bonne rĂ©partition des gouttelettes sur la surface foliaire des herbes visĂ©es. Les gouttelettes ne doivent ĂȘtre ni trop petites risque de dĂ©rive, ni trop grosses risque de ruissellement. Le matĂ©riel de pulvĂ©risation doit ĂȘtre adaptĂ©, rĂ©glĂ© et en bon Ă©tat de fonctionnement pour permettre une pulvĂ©risation l'emploiLIMITATION DES CAS D'APPARITION DE RESISTANCE Toute population d'adventices peut comporter des plantes naturellement plus tolĂ©rantes Ă  certains modes d'action des herbicides, qui peuvent de fait prĂ©senter des baisses d'efficacitĂ©. Le glyphosate est classĂ© dans le groupe HRAC G. Certains biotypes de mauvaises herbes rĂ©sistantes aux herbicides de ce groupe G Lolium spp., Conyza sumatrensis ont Ă©tĂ© confirmĂ©s en France, en cultures pĂ©rennes. Afin de prĂ©venir les risques d'apparition de rĂ©sistances, nous recommandons de respecter les conditions optimales de traitement tempĂ©rature entre 12-25°C et une hygromĂ©trie>70%. En dehors de ces conditions, les adventices peuvent ĂȘtre stressĂ©es ou entrer en Ă©tat de dormance l'efficacitĂ© du produit pourrait ĂȘtre rĂ©duite et la plante susceptible de dĂ©velopper une tolĂ©rance Ă  la substance active. Le stade optimal de traitement des adventices en-dehors de ce stade les plantes peuvent augmenter leurs capacitĂ©s de dĂ©toxification et ainsi limiter leur sensibilitĂ© Ă  la substance active. A long terme, des individus rĂ©sistants se multiplient et une population qualifiĂ©e de rĂ©sistante » pourrait se dĂ©velopper. Les doses recommandĂ©es par adventice celles-ci ont Ă©tĂ© dĂ©finies aprĂšs plusieurs annĂ©es de tests et d'essais, elles font partie du dossier d'homologation et constituent une garantie d'efficacitĂ© du produit sur l'espĂšce si les conditions de traitement et le stade sont respectĂ©s. Un sous dosage peut entrainer une tolĂ©rance de la flore Ă  la substance active, un sur dosage peut aussi entrainer des risques pour l'environnement. Le fabricant ne saurait ĂȘtre tenu responsable de l'absence d'efficacitĂ© de son produit sur des biotypes rĂ©sistants au glyphosate, non identifiĂ©s avant l'application du Eliminer les fonds de cuve conformĂ©ment Ă  la rĂ©glementation en responsablesAVERTISSEMENT Toute reproduction totale ou partielle de cette Ă©tiquette est interdite. Respecter les usages, doses, conditions et prĂ©cautions d'emploi mentionnĂ©s sur l'emballage. Ils ont Ă©tĂ© dĂ©terminĂ©s en fonction des caractĂ©ristiques du produit et des applications pour lesquelles il est prĂ©conisĂ©. Conduire sur ces bases la culture et les traitements selon la bonne pratique agricole en tenant compte, sous la responsabilitĂ© de l'utilisateur, de tous les facteurs particuliers concernant votre exploitation, tels que la nature du sol, les conditions mĂ©tĂ©orologiques, les mĂ©thodes culturales, les variĂ©tĂ©s vĂ©gĂ©tales, la rĂ©sistance des espĂšces... Le fabricant garantit la qualitĂ© du produit vendu dans son emballage d'origine et stockĂ© selon les conditions prĂ©conisĂ©es, ainsi que sa conformitĂ© Ă  l'Autorisation de Mise sur le MarchĂ© dĂ©livrĂ©e par les autoritĂ©s compĂ©tentes françaises. Pour les denrĂ©es issues de cultures protĂ©gĂ©es avec cette spĂ©cialitĂ© et destinĂ©es Ă  l'exportation, il est de la responsabilitĂ© de l'exportateur de s'assurer de la conformitĂ© avec la rĂ©glementation en vigueur dans le pays importateur
\n\n\ndosage de glyphosate pour 10 litres d eau
. 115 267 381 266 40 237 415 189

dosage de glyphosate pour 10 litres d eau